La plupart des développeurs et éditeurs vous le diront: pour qu’un jeu trouve son public, il faut que le joueur puisse s’identifier par rapport au héros. Que ce soit à travers d’un Guybrush Threepwood, d’un agent 47 ou d’une Lara Croft, si le joueur ne se sent pas proche du héros, ce jeu perdra rapidement son intérêt. Je ne sais pas si c’est le cas pour vous, mais je ne me suis jamais senti proche de Mario. Je ne suis ni plombier ni moustachu, et ai au moins eu la décence de choisir une âme sœur qui ne se fait pas kidnapper dès que j’ai le dos tourné. De plus, le
dernier épisode sur console de salon et ses décors beaucoup trop picaux m’avaient laissé un petit goût amer. Pour cette nouvelle aventure galactique sur la Wii, on nous promet monts et merveilles. Alors, ce
Super Mario Galaxy: Big Bang ou Naine Blanche?