Monaco. Le soleil de mai chauffe doucement ma peau alors que je sirote mon Spritz au champagne sur le
rooftop du De Charme’s Hotel. Je jette un œil à la course en contrebas se déroulant dans les rues étroites de la principauté. Alors qu’ils étaient autrefois un rendez-vous glamour pour passionnés de courses automobiles, les Grand Prix de Formule 1 ne sont plus que des vitrines publicitaires pour célébrités ou politiques sur le retour. De la chair à cancans
pour Netflix. Apparemment, ils essayent même d’être écologiques ! Ah ah ah, quelle bonne blague; rien ne remplace l’exquise odeur d’essence brûlée déguerpissant des échappements de rutilants bolides à la pointe de la technologie… Je soupire et décide de descendre dans ma chambre pour lancer le nouveau F1 de
Codemasters et me reconnecter à l’essentiel : la course.