ACTU
MINDSEYE!!

Ça ressemble un peu au cri que pousserait un kamikaze japonais avant de s'écraser sur un porte-avion US, sauf que dans le cas présent, le kamikaze est un studio de jeu et le porte-avion un gros mur en béton. MindsEye se vend très mal et Build a Rocket Boy se prépare déjà à des licenciements. Alors, que s'est-il passé ?
C'est un complot selon la direction de BARB. Un mois avant la sortie du jeu, Mark Gerhard, co-CEO du studio, annonçait sans preuve que les avis négatifs sur le jeu étaient payés par la concurrence. Récemment, Leslie Benzies, fondateur et co-CEO de BARB, parlait carrément de saboteurs internes et externes. Il explique qu'il ne va pas laisser tomber pour autant et compte relancer le jeu. Avec une vingtaine de joueurs Steam au compteur, ressusciter serait un meilleur terme que relancer.
Je ne sais plus qui disait que les théories du complot étaient plus faciles à accepter que la réalité mais ça s'applique ici. La direction semble être incapable de se remettre en question alors que toute la com (et probablement le développement) a été au mieux chaotique.
"Alors, on fait un genre de Roblox à base d'Unreal Engine mais pas vraiment comme Fortnite. Vous pourez faire ce que vous voudrez dedans mais pas vraiment. Aussi, on fait un jeu avec ce moteur et ce sera un des modules de base. Et puis on final, on va vendre le jeu en question comme un titre à part. Et dans le jeu, vous pourrez aussi construire tout ce que vous voulez. Mais pas vraiment. Et que sur PC".
IO Interactive, qui publie le jeu, a par contre très bien compris ce qui se passe et doit être en train de compter combien ils ont perdu dans l'opération. En demandant au patron d'IO, Hakan Abrak, s'il croyait aux accusations de Mark Herhard, sa réponse a été : "Je ne sais pas. Je n'y crois pas. Je n'y crois pas. Je pense juste que le jeu devrait parler pour lui-même à sa sortie le 10 juin".
C'est un complot selon la direction de BARB. Un mois avant la sortie du jeu, Mark Gerhard, co-CEO du studio, annonçait sans preuve que les avis négatifs sur le jeu étaient payés par la concurrence. Récemment, Leslie Benzies, fondateur et co-CEO de BARB, parlait carrément de saboteurs internes et externes. Il explique qu'il ne va pas laisser tomber pour autant et compte relancer le jeu. Avec une vingtaine de joueurs Steam au compteur, ressusciter serait un meilleur terme que relancer.
Je ne sais plus qui disait que les théories du complot étaient plus faciles à accepter que la réalité mais ça s'applique ici. La direction semble être incapable de se remettre en question alors que toute la com (et probablement le développement) a été au mieux chaotique.
"Alors, on fait un genre de Roblox à base d'Unreal Engine mais pas vraiment comme Fortnite. Vous pourez faire ce que vous voudrez dedans mais pas vraiment. Aussi, on fait un jeu avec ce moteur et ce sera un des modules de base. Et puis on final, on va vendre le jeu en question comme un titre à part. Et dans le jeu, vous pourrez aussi construire tout ce que vous voulez. Mais pas vraiment. Et que sur PC".
IO Interactive, qui publie le jeu, a par contre très bien compris ce qui se passe et doit être en train de compter combien ils ont perdu dans l'opération. En demandant au patron d'IO, Hakan Abrak, s'il croyait aux accusations de Mark Herhard, sa réponse a été : "Je ne sais pas. Je n'y crois pas. Je n'y crois pas. Je pense juste que le jeu devrait parler pour lui-même à sa sortie le 10 juin".