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TEST

Dicey Dungeons, un concept 1D100

Nicaulas par Nicaulas,  email  @nicaulasfactor
Développeur / Editeur : Terry Cavanagh
Support : PC
Après un retard à l’allumage entièrement de notre fait, on a enfin pu passer quelques heures sur la version finale de Dicey Dungeons. En early access depuis un an, le dernier-né de Terry Cavanagh (Super Hexagon, VVVVVV) nous faisait de l'œil depuis son annonce. Pensez-donc : un roguelite qui se joue avec des dés, il y avait de quoi faire frétiller les fans d'Isaac, Dead Cells et autres Slay the Spire. Sans compter la présence à la composition de Chipzel, surdouée de la chiptune derrière de géniales BO (Interstellaria, Super Hexagon, Octahedron) et des albums mémorables (Spectra, Poetic Symphony, Disconnected). De quoi augmenter les chances au tirage.
Parce qu'il faut souvent une justification rationnelle aux idées les plus étranges, Dicey Dungeons dispose d'un embryon de scénario. La très cynique Lady Aléa présente un spectacle au succès phénoménal : des candidats et candidates, motivées par l'appât du gain, s'y retrouvent changées en dés, projetées sur des plateaux de jeux remplis de monstres, et doivent progresser jusqu'au plateau 6 où les attendent des boss. En cas d'échec, on meurt. En cas de succès, on gagne... le droit de recommencer. On est dans un roguelite, après tout.


On vous mets la BO, pour la couleur émotionnelle du test.

La bataille de mon dé au casino

Initialement seul sur le projet à l'époque où l'alpha était gratuitement disponible sur itch.io, Terry Cavanagh avait fait le choix de l'early access pour se payer les services de gens capables de rendre le jeu visuellement et auditivement chatoyant. Côté sonore, on l'a vu, il a à nouveau fait appel à Chipzel, dont les rythmes entêtants avaient magnifié l'expérience  de flow typique de Super Hexagon. Mais oubliez tout ce que vous connaissez de Chipzel, car si tout est numérique et que les beats du chip sonore de la/le Gameboy sont toujours là, il s'agit sans aucun doute d'un tournant, ou au moins d'une sacrée respiration dans la carrière de la Britannique. L'ajout de rythmiques un poil plus douces, parfois exotiques, couplé à une utilisation massive de cuivres (principalement du saxophone, mais aussi des trompettes et des trucs qui ressemblent à du tuba ou du trombone) ainsi que des compositions moins répétitives, a de quoi surprendre. Mais l'efficacité est redoutable, et tandis que certains thèmes sont (volontairement ?) plus en retrait, comme les cartes de niveaux ou la fanfare de victoire, on passe souvent les combats à dodeliner de la tête avec un sourire béat. On peut regretter cependant que le sound design, très vite redondant et pas toujours très heureux, vienne de temps en temps un peu gâcher la fête, mais rien de catastrophique.



Côté visuel, c'est Marlowe Dobbe, une artiste et animatrice de Portland, qui permet à Cavanagh d'abandonner son pixel art placeholder un peu feignant pour donner une identité plus marquée au jeu. Avec ses traits épais et ses aplats de couleurs brossées, la direction artistique dégage une impression de fausse naïveté parfaitement dans le ton du scénario. Les ennemis n'étant pas là pour faire peur ou impressionner, mais plutôt faire rire ou attendrir, ils sont un charmant mélange entre des designs classiques de dungeon crawler et des héros de BD pour enfants. Ce hérisson a beau être une plaie à combattre à cause de ses multitudes d'attaques de faible puissance, il n'en reste pas moins un "Rhumisson", la morve au nez et les larmes aux yeux parce qu'il est "allergique aux donjons", le regard tremblant et les cris de douleur attendrissants. De la sorcière instagrameuse à la poterie vivante, de la grenouille équipée d'une épée plus grosse qu'un bœuf à un homme stéréo, de la flamme qui se protège avec un parapluie au bébé calmar, le bestiaire est rempli de monstres tous plus stupides et mignons les uns que les autres. Et on vous passe le design et les expressions des dés. Tout est charmant, et c'est incontestablement une grande réussite du titre.

La gloire de mon pair

Depuis le départ, on qualifie Dicey Dungeons de roguelite avec des dés. Mais une fois pris en main sur la durée, les choses sont un peu plus compliquées que cela. Certes, on y progresse d'étage en étage en affrontant des monstres, puis un boss à la fin. Certes, on déniche des items et on gagne de l'expérience tout au long du parcours, pour améliorer ses capacités, diversifier son inventaire et créer des synergies entre ses actions. Les combats sont au tour par tour, à chaque début de tour on jette ses dés, et en fonction du tirage on peut les dépenser dans des cartes d'actions (attaque, défense, buff, débuff...), quand on tombe à court de dés ou de cartes jouables c'est au tour de l'ennemi, puis on reprend la main. Sur le papier, rien que du très classique. Mais là où un Isaac, un Dead Cells ou un Slay the Spire ressemblent à de gigantesques boîtes de Lego dans lesquelles on tire des blocs au hasard en croisant les doigts pour tomber sur quelque chose d'utile à la run spécifique qu'on est en train de jouer, Dicey Dungeons est beaucoup plus condensé. Et ressemble en fait à un dungeon crawler à scénario, avec seulement une légère pointe d'aléatoire.



En début de partie, on choisit un personnage parmi 6, un scénario parmi 6, et sur la base de cette configuration de départ le jeu construit une run avec très peu de variables. Seules quelques cartes d'action peuvent apparaître pour un personnage donné. Cela ne veut pas dire qu'il n'y pas de variantes possibles, ni quelques excellentes surprises qui peuvent surgir quand on ne s'y attend pas (la première fois qu'on se transforme en ours est une expérience assez sympathique), mais le jeu s'impose des contraintes de contenu pour maîtriser son équilibrage et son challenge.  Un parallèle pertinent pourrait être celui de Thronebreaker : sur la base assez permissive du Gwent, le jeu de CDProjekt multipliait les petits scénarios à contraintes et objectifs précis. Dicey Dungeons ressemble un peu à ça : quand on choisit par exemple le scénario du Guerrier où l'on perd 2PV à chaque gain de niveau, il n'y a pas des dizaines de façons de jouer sa run : il faut limiter les combats pour gagner le moins d'XP possible. A chaque situation de départ sa façon de jouer. Au lieu de retourner toute la boîte devant vous, le jeu vous offre une poignée de blocs précis et vous demande de construire la meilleure, et possiblement la seule, tour possible. Ce qui ne veut pas dire que tout ça est inintéressant ou facile, bien au contraire : on meurt souvent et on y retourne à chaque fois pour enfin comprendre comment maîtriser chaque personnage et passer tel scénario précis. Parce que s'il n'y a pas beaucoup de variété dans la façon de finir une run donnée, les situations de départ sont nombreuses.

Les dés manageurs

Les six personnages sont tous uniques, se débloquent au fur et à mesure et par ordre de difficulté à maîtriser. Le Guerrier, personnage de base, commence avec une carte d'attaque et la capacité de relancer un dé trois fois. Le Voleur dispose d'une dague qui fait peu de dégâts mais est réutilisable indéfiniment, peut casser un dé en deux (si on place un 4 dessus, on récupère aléatoirement un 3 et un 1 ou deux 2), et d'une carte d'action volée aléatoirement à l'ennemi à chaque tour. Malgré des cartes actions classiques, le Robot se joue d'une façon radicalement différente : il faut tirer un dé après l'autre, et leurs résultats font grimper une jauge de CPU (si on tire un 4, la jauge se remplit de 4), et c'est comme pour le Blackjack : si on remplit pile poil la jauge c'est le jackpot (on a le droit à une action bonus), si on la dépasse tout est perdu pour ce tour et on passe la main à l'ennemi. L'Inventrice démarre avec trois cartes d'actions, mais c'est anecdotique car sa spécificité c'est qu'elle recycle obligatoirement, à la fin de chaque combat, une de ses cartes en un gadget (une action gratuite), vidant en permanence son inventaire pour créer de nouveaux gadgets. La Sorcière dispose d'un grimoire, dans lequel on va ranger les cartes actions qu'on trouve comme autant d'incantations. Admettons que vous ayez rangé une action de soin dans l'emplacement "3" du grimoire, il vous faut alors dépenser un 3 pour pouvoir le disposer sur le plateau. Dernier personnage à dénicher, le Fou dispose d'un deck de cartes actions, qu'on remplit au fil de la run et dans lequel on pioche trois cartes à chaque tour.



Et si on a pris le temps de détailler chaque personnage, c'est parce qu'aucun ne se joue de la même façon. C'est précisément pour ça que Dicey Dungeons ne lasse pas, en tous cas pas aussi vite qu'on le craignait après quelques parties avec le Guerrier. A chaque nouveau personnage, il faut réapprendre à jouer d'une nouvelle façon, et c'est alors que la construction étriquée et l'aléatoire très contraint du game design apparaissent comme des évidences. Le jeu restreint ses possibilités, pour son propre bien et pour le nôtre, et tout ça fleure bon l'équilibrage fait main, lentement affiné au fil de l'early access. L'Inventrice, par exemple : puisqu'elle consomme une carte de son inventaire à chaque fin de combat, pour crafter un nouveau gadget, les niveaux sont principalement remplis de coffres permettant de récupérer suffisamment de cartes pour tenir le rythme. Et si le côté très mécanique de la chose vous inquiète, pas de panique, Dicey Dungeons a d'autres arguments, à commencer par les ennemis.

6-6, impair, matrice

On a déjà mentionné leur look improbable lorsqu'on a parlé de la direction artistique, mais tout ceci est évidemment au service du gameplay et sert d'indication visuelle. Un yéti craint le feu, une sorcière résiste au poison, l'homme stéréo craint l'électricité... En plus de son style, chaque ennemi dispose d'une panoplie de coups qui lui sont propres, limitant la redondance des combats. Il faut s'adapter, changer de stratégie, éviter certains ennemis si on peut le faire, car se lancer à l'assaut d'un monstre avec le mauvais équipement équivaut à un suicide, immédiat ou lors du combat suivant. Puisqu'on ne récupère sa vie qu'en grimpant de niveau (6 niveaux maximum, évidemment), en ramassant des pommes ou en en achetant à la marchande si elle en a, la progression dans le donjon ressemble à une course de fond où il faut soigneusement calculer le parcours et les ravitaillement. Et on ne vous parle même pas des mini-boss parfois présents à l'étage 5, et des boss de l'étage 6, de sacrés challenges sacrément bien pensés. On en vient même parfois à regretter de ne pas pouvoir jouer un ennemi tant leurs panels d'actions sont cools.



Enfin, au cœur de chaque combat, on retrouve l'adrénaline de la gestion du risque, composante essentielle de tout bon roguelite qui se respecte. L'aléatoire est finalement assez limité : une chance sur six qu'un dé donne un résultat satisfaisant, c'est un taux relativement élevé pour un jeu du genre. Il est beaucoup plus question de tactique, de stratégie. Car ce qu'on n'a pas encore expliqué, c'est que les cartes d'actions n'acceptent pas toutes n'importe quel dé. Parfois il faut un dé pair ou impair, parfois il y a une valeur minimale ou maximale, parfois certaines cartes doivent être chargées en y ajoutant des dés au fil des tours jusqu'à atteindre le bon montant. De plus, l'inventaire est limité en taille : six cases, chaque carte prenant une ou deux cases. Parmi toutes les cartes d'action qu'on va récupérer, il va donc falloir faire un tri, en fonction de leurs tailles, effets et conditions d'utilisation. Les cartes non utilisées étant stockées dans un sac à dos (lui aussi limité, mais assez grand pour tout une partie), on peut réorganiser son inventaire entre chaque combat, en prévision d'un type d'ennemi particulier. Vous avez accumulé des cartes violettes qui empoisonnent l'ennemi mais le chemin vers la sortie est bloqué par un adversaire résistant au poison ? Prenez quelques secondes pour équiper d'autres actions à la place et vous éviter bien du souci. 

Réussite critique

Si on y ajoute toute une flopée de petites subtilités, le jeu devient beaucoup plus qu'une simple succession de scénarios à solution unique. Il  faut essayer, échouer, apprendre, maîtriser. Citons par exemple la barre de limite qui se remplit quand on prend des dégâts et permet de déclencher une action spécifique à chaque personnage (le Guerrier lance deux fois sa prochaine attaque, le Robot fait automatiquement jackpot, etc.) : il sera parfois intéressant de prendre des dégâts, voire pourquoi pas de se les infliger soi-même, pour atteindre plus rapidement ce "limit break". Par ailleurs, il y a une multitude de buffs et surtout de débuffs : on peut geler un dé (le plus grand résultat est transformé en 1), le brûler (on peut l'utiliser mais en prenant 2PV de dégâts), l'aveugler, envoyer un shock (une carte action est bloquée à moins de dépenser un dé pour la débloquer), une malédiction (50% de chance que la carte et le dé disparaissent quand on veut les utiliser) ou encore réduire au silence (empêcher d'utiliser le limit break et les capacités spéciales), et on n'est pas exhaustif. Chaque tour de combat est un puzzle, lui-même inséré dans le puzzle du combat, lui-même inséré dans le puzzle de l'étage, lui-même inséré dans le puzzle de la run entière. 



Jongler avec tout ça pendant une vingtaine d'heures ne nous a pas encore permis de terminer les 36 scénarios, et s'il est délicat d'estimer la durée de vie globale, les scénarios les plus difficiles demanderont sûrement un bon paquet d'essais avant d'être réussis. Mais on ne se fait guère d'illusion : une fois tous vaincus, et sans ajout de contenu ultérieur, il est peu probable qu'on s'attarde longtemps chez Lady Aléa. C'est un peu la malédiction de Dicey Dungeons, et ce qui nous empêche de le ranger avec certitude à côté des mastodontes du roguelite mais plutôt dans une catégorie à part. Parfaitement et subtilement équilibré, le jeu transpire le fait-main et l'expérience d'un artisan doué, et propose une expérience unique, si unique qu'on l'identifie immédiatement lorsqu'on la revit à nouveau. Puisqu'un même personnage tirera toujours ses cartes dans un pool restreint et qu'il n'existe qu'une poignée de façons de venir à bout d'un scénario, une tenace impression de rejouer en boucle les mêmes parties s'installe, venant ternir légèrement le tableau. Heureusement, pour les plus acharnés, reste la possibilité de débloquer un mode "Remix" mélangeant toutes les règles et objets. Mais en supprimant l'efficacité de la simplicité. On ne peut pas tout avoir.
Moins roguelite, plus répétitif et plus guindé qu'on ne l'imaginait, Dicey Dungeons n'en reste pas moins un excellent jeu. Visuellement charmant, musicalement entraînant, ludiquement entêtant, suffisamment riche en contenu pour nous occuper un moment, le dungeon crawler de Terry Cavanagh  est une belle réussite.

SCREENSHOTS

 

Commentaires

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armeleven
 
J'adore alors moi j'ai payer 50 € pour l'echange de la free box que j'ai toujour pas recu depuis 2 mois , et maintenant il baisse les prix ...il ferait mieux de tenir leur paroles .

Mais bon apres tout etre vu le debit que j'arrive a avoir en degroupé avec mon sagem ( pres de 570 Ko/s ) je veut bien leur pardonner ...
Niko
 
armeleven > Si j'ai bien compris, Free n'a pas commencé à envoyer les freebox. Il vont proposer les nouvelles conditions à tout le monde, y compris à ceux qui dont déjà fait la demande. Libre a eux d'accepter ou de rester avec leur sagem (mais ne pas profiter d'une FB V1 ou 2 gratos, ce serait quand même dommage ...).
armeleven
 
si si justement ils ont deja commencé a envoyé les freebox mais c'est juste que je note un certain manque d'organisation , vu que normalement j'aurai du recevoir ma freebox quelque semaine apres le degroupage de ma region qui dates d'environ 3 mois . Par ailleur free laissait croire au debut qu'il n'y aurai aucun frais lors de l'echange alors qu'il y en a bien ( d'ailleur il le cachait un peu a mon gout ).

Et si j'ai bien compris ce qui est dit sur leur site la freebox est gratuite mais ce que moi je vais payer c'est mon ancien modem que je garderai ( je voit pas trop l'utilité que j'en aurai apres ) c'est pour cela que je trouve ( tout comme certain mag specialisé sur le haut debit ) que cela ressemble a de la vente forcé .

En fait, c'est comme si free me disait " La freebox est gratuite si vous nous rachetait le modem sagem en votre possession ".
Netsabes
 
Dans tous les cas, tu ne garderas pas le Sagem. Et aucune freebox n'a pour l'instant été envoyée dans le cadre de l'échange Sagem/Freebox.
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Tribune

choo.t
(23h45) choo.t Que ce soit Mario qui est fait vendre la NES ou la NES qui ai fait vendre Mario c'est complètement hors sujet et on s'en fout.
choo.t
(23h45) choo.t Par contre comme hiers t'a louvoyé dans tous les sens, mon propos initial c'est que le take de The Great review est éclaté, et que placer Nintendo en sauveur du JV post "crash" est tout aussi éclaté.
choo.t
(23h26) choo.t kirk.roundhouse > Mario a été en bundle dans le action set pack, entre autre. Et oui le marché US allait pas rester au plus bas très longtemps, y'a aucune raison de croire que les US allez devenir le seul pays à bouder le JV.
Palido
(23h12) Palido Oh, mais c'était bien 28 Years Later ! (mais les haïsseurs vont haïsser)
kirk.roundhouse
(22h47) kirk.roundhouse Ah donc la NES a permi de faire vendre du Mario, et ce n'est pas Mario qui était un system seller ? Et le marché a progressé de lui même après le crash et nintendo n'a fait qu'en profiter ? Soyons sérieux quoi...
choo.t
(22h45) choo.t Et l'affirmation que je contredit c'est pas "la NES a eu un énorme succès" mais "la nes a fait redécoller l'industrie". Ils ont pris la vague montante et son retrait sur le marcher us quand d'autres en sortait, mais c'est pas les sauveur du truc
choo.t
(22h36) choo.t C'est pas la même gen ni le même marché, assez littéralement. Et Mario était souvent bundled.
kirk.roundhouse
(21h57) kirk.roundhouse Par exemple, le jeu le plus vendu sur atari2600 étai pacman pour 8M. Mario sur NES c'est 40M. C'est juste incomparable.
choo.t
(21h57) choo.t Y'a eu une remontée du marché us après le crash, rien d'étonnant à ça, nintendo en a profité, tant mieux pour eux.
kirk.roundhouse
(21h56) kirk.roundhouse Move the goalspot ? On parle de jeux vidéo, pas de vente d'ordinateurs de centre administratif.
choo.t
(21h55) choo.t Mais surtout, l'affirmation que je contredit c'est que Nintendo aurait sauver l'industrie du jv. Celui ci se portait bien partout hors des US,
choo.t
(21h49) choo.t T'oublies aussi qu'à la même époque la Nes n'était pas la seule console. Par contre elle dominait le marcher US, c'est vrai.
choo.t
(21h48) choo.t Non mais mec, tu me dit qu'y avait pas un dixième du nombre de mes en ordinateur personnel. Je te démontre que tu as tord et tu viens move the goalpost.
kirk.roundhouse
(21h45) kirk.roundhouse Tu oublies dans tes chiffres que si il y a beaucoup plus de PC dans le monde que de switch, je ne pense pas que le PC de Nadine à la compta lui serve à jouer.
choo.t
(21h44) choo.t Bientot tu vas me dire que la Switch se vend mieux que les PC car aucun modèle de PC ne s'est vendu autant que la Switch.
kirk.roundhouse
(21h43) kirk.roundhouse Ah bah ça progresse.
choo.t
(21h43) choo.t La MSX c'est 9M
kirk.roundhouse
(21h42) kirk.roundhouse Plus que 55 millions et le compte est bon :D
choo.t
(21h41) choo.t Le concept de "trauma" qu'il avance pour justifier ce lien, c'est de la psychanalyse de comptoir transposé sur une multinationale. C'est complètement con.
choo.t
(21h39) choo.t et va falloir vraiment être souple pour essayer de justifier les procès de merde que j'ai cité, les procès actuel, et le fameux crash.
choo.t
(21h37) choo.t kirk.roundhouse > (21h36) Rien que la ZX c'est 5 millions d'unité.
choo.t
(21h37) choo.t kirk.roundhouse > (21h34) Non c'est pour arrêter de foutre Nintendo comme le sauveur du JV alors qu'il n'en est rien.
kirk.roundhouse
(21h36) kirk.roundhouse La NES c'est plus de 60 millions de consoles. Je ne pense pas que l'ordinateur personnel avait atteint ne serait ce que le 10ème de ce score.
choo.t
(21h36) choo.t MSX, Acorn, BBC Micro, Comodore, ZX Spectrum etc.
choo.t
(21h34) choo.t kirk.roundhouse > (21h32) Car en 83 c'était pas le PC au sens moderne de compatible PC, t'avais des ordinateur personnel (PC) incompatible entre eux, mais y'avait un marché du JV dessus.
kirk.roundhouse
(21h34) kirk.roundhouse Si c'est nier pour juste pour être anti Nintendo, c'est pas très constructif.
choo.t
(21h33) choo.t Nintendo a pas sauver l'industrie, par contre il a mis en places des mécanisme pour en extraire plus facilement la valeur par les constructeur de consoles.
kirk.roundhouse
(21h32) kirk.roundhouse En 83 je ne me rappelle pas que le JV PC était populaire. Et à part les US et le Japon à cette époque, y avait pas beaucoup de marchés pour l'industrie.
choo.t
(21h30) choo.t Le fameux modèle que Nintendo à éviter de reproduire, celui ouvert où n'importe qui peu dev, il se porte toujours aussi bien, c'est le modèle PC>
choo.t
(21h29) choo.t (21h26) Uniquement aux US et si on oublie le jeu PC. Et si on est très souple sur corrélation et causation.
kirk.roundhouse
(21h26) kirk.roundhouse C'est la popularité de la NES qui a fait redécoller l'industrie.
kirk.roundhouse
(21h25) kirk.roundhouse Non c'est un fait.
choo.t
(21h25) choo.t Y’a eu une grosse recession JV au states en 83, mais ça s'arrête là.
choo.t
(21h23) choo.t Le délire du crash de 83 et Nintendo en sauveur du JV ça relève plus de la légende qu'autre chose.
kirk.roundhouse
(20h58) kirk.roundhouse The Great review a une version différente de la raison pour laquelle Nintendo protège ses IP.
choo.t
(20h46) choo.t Toutes leur existence ils ont été des sales merdes, c'est juste que plus jeunes on ne s'en rendait pas compte, et que les infos sur leur procès ne circulait pas dans le grand public.
choo.t
(20h43) choo.t Ils avaient cherché à faire disparaitre la first-sale doctrine quand Blockbuster proposait des jeux à la location (et on fini par reussir en faisant des EULA de l'enfer)
choo.t
(20h41) choo.t Big Apple > Ninendo a toujours été anti-consumer, ils sont presque sages par rapport à leur début. Ils cherchaient à faire interdire les actions-replay car ça bouffé dans leur marge des appel surtaxé sur leur hotline d'aide de jeu.
choo.t
(20h39) choo.t Par contre c'est peut-être le bon plan pour les pirates pour choper des Switch 2 à prix cassé, encore mieux c'est des switch 2 du premier batch donc celle potentiellement les plus vulnérables aux hacks.
Big Apple
(20h39) Big Apple Un bon résumé de ce qu'est devenu Nintendo par une ancienne fan : [youtube.com]
BeatKitano
(18h25) BeatKitano Big Apple > (17h17) Ouais mais il aime ça. On me fera pas croire qu'il est pas maso... payer deux switch2...
Big Apple
(17h23) Big Apple A sa place, je fabriquerai un EMP portatif pour griller l'électronique de sa switch bricked puis je la retournerai au SAV pour me faire rembourser :-)
Big Apple
(17h17) Big Apple C'est marrant quand il rachète une autre Switch2 est se trouve à la limite de la crise cardiaque au moment du démarrage. [youtube.com]
choo.t
(15h57) choo.t Ça ne les empêchera pas de changer leur méthode de detection durant les prochaine MAJ par contre.
choo.t
(15h45) choo.t Ah bha même plus besoin de faire la manip, le MigSwitch a reçu une mise à jour de firmware [reddit.com]
choo.t
(15h43) choo.t Après il me semble que c'est contournable en changeant une resistance sur le MigSwitch, mais y'a toujours le risque de conflit d'ID de jeu.
choo.t
(15h42) choo.t BeatKitano > et encore c'est la version soft ça, c'est pas encore le brick à coup d'efuse.
BeatKitano
(14h24) BeatKitano Nintendo a effectivement ttué l'occasion au passage.
BeatKitano
(14h23) BeatKitano En plus c'est une super idée a la con, parce que tu peux supprimer ton compte mais dès que tu utilises un autre compte t'es rebanni. Du coup... vla les arnaques !
BeatKitano
(14h22) BeatKitano Bon ben c'est confirmé les switch2 deviennent des presse-papiers une fois bannies [youtube.com] On peut plus rien en faire. Faut être con pour acheter cette merde, entre le prix et ça... ahah.
BeatKitano
(03h49) BeatKitano Des jeux très très moyens faits par des gens qui respectent le matériel d’origine. 4/10
Le vertueux
(00h28) Le vertueux Palido > Nous avons hâte d'avoir ta review de Robocop.
Palido
(00h24) Palido Merci donc à Zaza sans qui ces 8 longues heures de jeu ne me seraient jamais arrivé et que je ne récupèrerai jamais.
Palido
(00h24) Palido Mais au final, j'ai réussi à terminer Terminator: Resistance et j'ai pas trop détesté et il y a quelques petites bonne idées. Mais quand même, ohlalala ces dialogues, OHLALALA cette scène de "romance" génante...
Palido
(00h23) Palido Y avait quand même un tas de truc incroyablement nuls mais j'ai pas pu m'empêcher de sourire à plusieurs reprises sur la fin. Je ne sais pas s'ils m'ont eu à l'usure ou si c'est la nostalgie qui a gagné...
Zaza le Nounours
(00h12) Zaza le Nounours Bref, ils savent plus quoi faire et tentent de se rattraper à toutes les branches qu'ils peuvent dans l'espoir d'arrêter une chute absolument inéluctable.
Zaza le Nounours
(00h10) Zaza le Nounours Un PC verrouillé et non-upgradable, évidemment.
Zaza le Nounours
(00h10) Zaza le Nounours rEkOM > si c'est effectivement le plan du moment chez MS (mais qui sait ce qu'ils prévoiront de faire la semaine prochaine ?), ça voudrait juste dire que la nouvelle Xbox serait un PC avec Windows et une surcouche d'UI Xbox.
Tuesday 17 June 2025
rEkOM
(23h03) rEkOM Je lis mal ou on pourra vraiment mettre steam sur la prochaine Xbox ? [theverge.com]
Mascouell
(22h59) Mascouell Combien de fois j'ai vu des parents au resto ou ailleirs foutre leur môme parfois en poussette devant un smartphone pour avoir la paix. L'argument de la précarité ne couvre absolument pas tous les types d'abus, il y a pas mal de marge de manœuvre.
Laurent
(22h58) Laurent choo.t > ya aussi des lames céramiques, mais elles sont plutôt courtes il me semble (la mienne fait pas plus de 1cm). Mais ça se nettoie facile et ça ne coupe pas les doigts.
Mascouell
(22h57) Mascouell Pour les écrans interdits avant 3 ans je vois pas trop le problème. Les dégâts sont connus, avoir une base un peu formelle pour habituer les gens au fait que c'est pas bien, c'est pas plus mal. Personne ne s'attend à des plaintes et des procès.
choo.t
(21h51) choo.t BeatKitano > Y’a des lames inox (et sans besoin d'huile de protection), c'est pas réellement food-safe mais notre bouffe elle même n'est plus food-safe de toute façon :(
BeatKitano
(21h23) BeatKitano Déjà 90TO pleins. Quizivienne avec leurs souscriptions !
BeatKitano
(21h22) BeatKitano J'aime tellement les opendir...
BeatKitano
(21h21) BeatKitano Je vais finir par prendre des actions STX moi. Internet est formidable. [i.imgur.com]
BeatKitano
(21h17) BeatKitano Non j'utiliserais absolument pas pour la bouffe, rien que l'huile d'usinage et l'oxydation rapide c'est niet pour le contact alimentaire.
choo.t
(21h15) choo.t J'avais lâché les cuter car mon problème c'était que c'était chiant pour laver la lame, et que pour couper une pomme, c'était l'enfer. Mais si tu t'en sers pas pour la bouffe ça va très bien.
Le vertueux
(21h15) Le vertueux À quoi bon interdire les couteaux alors que le Karate reste légal ? Cet art qui fera de n'importe qui une arme humaine ambulante ?
BeatKitano
(20h55) BeatKitano (et aussi c'est fou ce qu'on peut mettre dans le corps d'un cutter)
BeatKitano
(20h53) BeatKitano Non non le cutter c'est très bien. les lames ont jamais besoin d'être aiguisée. On peut toujours être proche d'un chantier et donc LE CONTEXTE et ensuite c'est très fin, donc très pratique pour certaines opérations qui ne relèvent pas de la découpe...
choo.t
(20h50) choo.t Par contre ça a une tolérance très faible, donc faut bien s'en occuper (j'en avait une dans la poche qui a fini par se bloquer avec les peluche de tissu )
choo.t
(20h48) choo.t (20h47) Haha
choo.t
(20h48) choo.t Sinon, selon le truc que t'as à coupé, les raptor shear ça me semble le bon plan, c'est surtout un outil de sécu (brise vitre, coupe ceinture, vetement) et c'est plus proche du ciseau que tu couteau donc je vois mal les flics t'embarquer pour ça.
BeatKitano
(20h47) BeatKitano choo.t > Non moi c'est pour ouvrir les emballages de couteau. ;D
choo.t
(20h45) choo.t BeatKitano > Ouai les combo cuter de sécu/brise-vitre c'est super utile.
BeatKitano
(20h35) BeatKitano choo.t > J'ai toujours un cutter sur moi ou dans mon véhicule parce que ça m'a sauvé la peau dans quelques situations ou j'avais besoin de découper des trucs (et je parle pas de violence).
choo.t
(20h31) choo.t Perso, presque tout mon entourage à toujours un couteau sur lui, que ce soit un opinel, un couteau suisse ou un Deejo pour les plus chics.
BeatKitano
(20h22) BeatKitano Laurent > (19h56) IFIXIT DEALERS DE SURINS§ AU TROU §
choo.t
(20h20) choo.t (20h15) Ça s'applique aussi hors des établissement scolaire, c'est préciser la ligne du dessous…
kirk.roundhouse
(20h15) kirk.roundhouse choo.t > la partie sanctions.
kirk.roundhouse
(20h13) kirk.roundhouse choo.t > non. Jamais.
choo.t
(20h12) choo.t kirk.roundhouse > Tu cites quoi là ? Mon lieu ne contient pas cette citation.
choo.t
(20h10) choo.t kirk.roundhouse > T'as pas un couteau suisse sur toi ?
kirk.roundhouse
(20h10) kirk.roundhouse choo.t > (20h00) "dans l'enceinte de l'école". C'est là encore très limité comme interdiction. La justesse amène la justice.
kirk.roundhouse
(20h09) kirk.roundhouse choo.t > (20h00) je ne me ballade pas avec ce genre d'ustensiles, et encore moins en manif ou teuf si j'y allais. Je ne comprends pas cette offuscation.
choo.t
(20h06) choo.t Bref, c'est clairement n'importe quel couteau, et j'ai apporté les sources de mon affirmation.
choo.t
(20h04) choo.t Le truc est déjà abusé, c'est souvent utilisé pour foutre des amendes à proximité des manifs, teufs etc.
choo.t
(20h02) choo.t Rajouter des lois par dessus ça, ça ne sert à rien, hormis les frite de piscine, tous les objets sont déjà la catégorie D.
choo.t
(20h01) choo.t (Ce qui fait que grosso modo, la vaste majorité de la population est quotidiennement en infraction)
choo.t
(20h00) choo.t Je cite leur exemple de catégorie D : «les poignards, les couteaux-poignards, opinel, couteau suisse, cutters, tournevis »
choo.t
(20h00) choo.t [masecurite.interieur.gouv.fr]
choo.t
(19h59) choo.t je cite : « Mais dans les faits, cela ne changera pas grand-chose, puisque les couteaux de cuisine entrent de fait dans la catégorie D, celle des armes blanches, déjà interdites à la vente aux mineurs. »
choo.t
(19h59) choo.t kirk.roundhouse > Bha : [francebleu.fr]
Laurent
(19h56) Laurent ah bah, ils n'ont même pas attendu demain [pbs.twimg.com]
kirk.roundhouse
(19h49) kirk.roundhouse Au moins avec la nouvelle loi, il n'y aura pas d'ambiguïté.
kirk.roundhouse
(19h49) kirk.roundhouse Ah mais non. Arme de catégorie D-a : arme non à feu camouflée, poignard, couteau-poignard, matraque, projecteur hypodermique. Clairement pas n'importe quel couteau :) Mais librement interprétable.
choo.t
(19h42) choo.t C'est parfait pour apprendre la soumission à l'autorité, par contre faudra vraiment plus se moquer de la corée du nord.
choo.t
(19h41) choo.t Par contre on se dirige vers une éduc-nat qui ressemble toujours plus à un lieu carcéral (surveille punir tout ça tout ça), maintenant on invite les keuf pour fouilles les gosses et on pense à coller des portiques/scanner.
choo.t
(19h40) choo.t Et le délire ne servira à rien, rien qu'aujourd'hui le fait divers c'est clairement pas un achat [leparisien.fr]
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