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ACTU

Jeu sorti, Junji Ito Maniac: An Infinite Gaol

Buck Rogers par Buck Rogers,  email
 
On ne présente plus Junji Itō, mangaka japonais et maître incontesté de l’horreur. Si ses bandes dessinées avaient eu le droit à des adaptations en animations, voire en longs métrages, son univers était malheureusement totalement absent de la sphère vidéoludique. Une erreur qui a essayé d’être réparée par les développeurs de chez Softstar Entertainment, à qui l’on doit les deux jeux The Bridge Curse ou bien encore Incantation.

Dans Junji Ito Maniac: An Infinite Gaol, sorti depuis le 11 novembre dernier, vous incarnerez un étudiant qui se réveille dans un mystérieux manoir, et comme cela arrive souvent dans ce genre de jeu, vous avez perdu la mémoire. Vous devrez essayer de trouver le moyen de sortir et surtout de protéger une protagoniste emblématique de l’auteur, la "délicieuse" Tomie.

Comme vous n’êtes ni fort, ni endurant, vous devrez compter sur des pièges ou sur l’environnement pour vous défendre. Juste après vous être caché comme le gros lâche que vous êtes, tout cela entre deux énigmes à résoudre. Heureusement, vous serez parfois assisté par une détective venue enquêter sur le mystère que renferme ce manoir. Le rythme a l’air tout de même moins effréné que dans d'autres titres vidéoludiques d'horreur psychologique comme Amnesia ou Soma.

En revanche, le fan service est bien là. On a ainsi le droit à une retranscription assez fidèle de l’univers cauchemardesque de Junji Itō. Reprenant les classiques qui ont été adaptées dans la série animée sur Netflix, Maniac par Junji Itō : Anthologie Macabre, il y aura entre autres les fameuses statues sans têtes qui ont pris vie, les ballons flottants à tête humaine très flippantes ou encore les intrigantes mèches de cheveux noirs animées…

Même si le titre à la première personne est à petit prix sur Steam, c’est-à-dire 10,99 euros (9,89 euros jusqu’au 25 novembre), n’hésitez pas à essayer la démo avant. Il s’agit d’un petit jeu sans grandes ambitions, mis à part poser son atmosphère qui vise à rendre hommage à l’univers de l’auteur, malheureusement à moindre coût.

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