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Un Rédacteur Factornews vous demande :

Forums

Le dernier film que vous avez regardé²
fireman
Membre Factor
Membre 153 msgs
ET oui Dupieux est un génie, rien que pour sa sortie sur Luc Besson

"Quand Luc Besson fait les story-boards de son truc de SF pourri, on voit bien qu’il vise le rêve enfantin, mais comme un vieux monsieur qui est passé du côté de la technique, du calibrage, du professionnalisme. Et c’est là que ça devient un peu tragique. "
 
Crusing
Membre Factor
Membre 3915 msgs
Critiquer Besson sur valerian, c'est comme se moquer d'un vieux atteint de parkinson qui se serait chié dessus.
 
Khdot
Membre Factor
Membre 525 msgs
Mouais. Il manquait pas grand chose pour en faire un équivalent au 5ême élements. Les grands films se sont joués sur des détails, pareil pour les loupés comme Valérian ou Jupiter Ascending.
 
Crusing
Membre Factor
Membre 3915 msgs
Et donc ?
 
choo.t
Saint rââle
Redac 3697 msgs
Crusing a écrit :
Et donc ?


Et donc y'a peut-être une dimension parallèle où Jupiter Ascending est un chef oeuvre primé et révéré, mais vu qu'on n'est pas dans Sliders, ça nous fait une belle jambe.
 
Crusing
Membre Factor
Membre 3915 msgs
C'est bein c'que j'pensais !

...à moins que le portillon vienne d’être huilé.
 
Crusing
Membre Factor
Membre 3915 msgs

Us. de Jordan Peele.
Comme Get Out, c'est du détournement de code du cinéma de genre sans tomber dans la parodie. Sauf que là les ficelles sont vraiment très grossses, et j'ai jamais vu autant de foreshadowing dans un film, ça pourrait etre le titre du film. Ca se laisse regarder pour certaines qualités mais sans plus.
Y'a tim heidecker dedans, completement sous utilisé.
 
GTB
Membre Factor
Membre 2005 msgs
Ouai Us c'était très décevant.
 
Khdot
Membre Factor
Membre 525 msgs
Avengers: Endgame
Il faut 2h pour que le film commence. Et la dernière heure c'est du Marvel, donc pleins d'images de synthèses, du bon sentiment, aucune surprise visuellement, des rapports de forces changeant pour soutenir le scénario... J'aurais tout oublié dans 1 semaine.
 
Crusing
Membre Factor
Membre 3915 msgs
C'est un film juste sorti ? Je connaissais pas.
 
Message masqué
Khdot
Membre Factor
Membre 525 msgs
Tu veux communiquer Crusing, je le sens, dis nous ce que tu as sur le coeur.
 
Message masqué
Crusing
Membre Factor
Membre 3915 msgs
Du coup t'es déçu de ce film indé que personne n'a vu ?
Est-ce presqu'un grand film qui se joue sur des détails comme valérian ou jupiter ascending ?
Tellement hâte de connaître ton avis.
 
Message masqué
Khdot
Membre Factor
Membre 525 msgs
Tu forces un peu en ce moment. C'est la chaleur ?
 
Message masqué
Crusing
Membre Factor
Membre 3915 msgs
Je n'y peux rien si ton avis me passionne, il est si rafraîchissant, dis m'en plus.
 
Message masqué
Big Apple
Membre Factor
Membre 1210 msgs
Once upon a time in... Hollywood
Dernier Tarantino, 9ème film de sa Majesté et donc avant-dernier s'il tient sa promesse de n'en faire que 10.
Dans les années 70, Rick Dalton (Léonardo Di Caprio) est une star ringarde de séries TV en proie à un questionnement existentiel alors que sa carrière bascule de l'autre côté de la courbe de Gauss de la vie (la quarantaine, comme beaucoup sur factornews ). Toujours accompagné par son meilleur ami et doublure pour les cascades Cliff Bouth (Brad Pitt), Rick cherche à survivre dans un cinéma en mutation, au cœur de ce qui devient une industrie, en plein Hollywood.
La photographie est absolument superbe, on se balade dans la ville avec les acteurs et on admire le soin apporté aux détails. Chaque plan pourrait alimenter sans problème une exposition de photos, le travail est phénoménal et un régal pour les yeux.
Pour le reste, le film est découpé en « scénettes » qui cherchent à impressionner le spectateur par une mise en scène particulière, une façon de filmer, un événement impromptu, un dialogue aux petits oignons et un humour que l'on pourrait qualifier de parallaxe pour reprendre la terminologie vidéoludique. Chaque scène prend ainsi l'allure d'une leçon de cinéma peut-être un peu trop ostentatoire, et c'est là que le bât blesse :
En effet, si chaque plan-séquence pris indépendamment frôle ou atteint l'excellence, le tout (et il s'agit d'un gros tout, puisque vous pouvez compter 2H40 à caser dans votre workflow) manque de cohésion, même s'il y a tout de même les habituels croisement scénaristiques chers à Tarantino. Cependant, là où dans Pulp Fiction, on avait du travail de tisserand, ou dans Inglorious Basterds un fil conducteur solide autour duquel gravitaient des événements stupéfiants mais parfaitement maîtrisés, on a ici plutôt le radeau un peu branlant confectionné par Tom Hanks sur son île déserte.
Il résulte de l'ensemble une sorte de pack de scènes qui tiennent les unes aux autres par des bouts un peu artificiels. Bref, ce film, c'est un peu comme GTA5 (Et avec le même chien !).
Attention au chien !
 
hohun
Membre Factor
Redac 5767 msgs
Tout à fait d'accord, c'est très décousu. Alors après, étant une lettre d'amour, il y a peut-être un pan nostalgique que nous ne saisissons pas bien hors des US.
 
Big Apple
Membre Factor
Membre 1210 msgs
Alita: Adaptation PG13 de GunM (Pour visualiser le truc, imaginez Hokuto no Ken ou Akira adaptés par Disney), manga lui-même très proche d'Astroboy, Christoph Waltz en Gepetto bien trop lisse, jolie DA pour un jeu vidéo mais manquant terriblement d'âme pour le cinéma. Bravo aux équipes techniques pour le travail, c'est visuellement beau, j'aime bien, même le rendu "grands yeux" d'Alita ne choque pas, c'est vraiment bien fait, mais pas bravo au réal et à sa direction d'acteurs. Le film ne fait qu'effleurer le monde qu'il décrit sans jamais l'approfondir, on ne sait rien des tenants et des aboutissants des personnages, on ne sait rien du background de la ville, de cette civilisation. On ne peut donc pas rentrer dans l'histoire. On reste suspendu au-dessus des logiciels 3d des ingénieurs et artistes qui ont abattu un boulot monstre au service du vide intersidéral du réalisateur. Ah, j'oubliais de mentionner que le réalisateur est tout de même Robert Rodriguez, le mec qui a pondu "Une nuit en enfer" avec l'ami George Clooney et Tarantino à la fin du XXème siècle. C'était quand même autre chose, niveau liberté de ton, quand on n'a pas l'épée de Damoclès du PG13! Comme dirait Michel Sardou, "Je hais cette époque et ce siècle, tout m'irrite!".
Bref, un film donc très décevant, et c'est bien dommage...
 
Crusing
Membre Factor
Membre 3915 msgs
The Beach Bum

Stoner/comedie comme dit wikipède.
Un navet sans nom, imaginez The Big Lebowski version remake teubé idiocracy 2018, en plus d'etre une adaptation inavoué de Brice de Nice sur de nombreux points. Ce qui est beau c'est qu'après le visionnage du film qui m'a laissé sur le cul par sa nullité et son vide intersidéral, je suis allé faire un tour sur senscritique pour voir les critiques positives, car il y en a, plein, et qui en plus prennent le film au premier degré, "ôde à l'hédonisme", "épopée déjantée", parlant d'un film où snoop dogg est le plus grand des dealer de weed digne de saints row 3 (homme de mains avec kalashs dorées et logo feuille de weed sur les véhicules, vraiment), qui fait pousser de la super weed, super weed qui permettra au héro complètement abruti d'écrire un prix pullitzer, récitant un passage pathétique de son oeuvre en slip sur la scène de remise des prix.

Ce film est écrit par un mec resté dans l'age bête dans ce qu'il a de plus péjoratif. On a l'impression de suivre un PNJ de GTA5.
Ce film est un cancer et donne le cancer.
Mais il a au moins le mérite de rappeler qu'avant d'être une superstar, McConaughey jouait surtout dans des grosses merdes.
 
CBL
L.A.mming
Admin 17393 msgs
C'est pas étonnant. C'est réalisé et écrit par le mec qui a aussi réalisé et écrit Spring Breakers qui doit être dans mon top 10 des pires films de l'histoire du cinéma.
 
Crusing
Membre Factor
Membre 3915 msgs
J'espère qu'ils se sont au moins marrés a le faire.
Enfin c'est pas pire que la plupart des comédies francaises qui sont en plus subventionnées/remboursées.

Sinon Brightburn aka la couille brillante en VFQ
Comme dans the Boys l'aspect du véritable impact des pouvoirs traditionnels sur de la chair c'est sympa, mais alors y'a zéro écriture, ça part juste d'une idée écrit sur un coin de table et c'est tout, et l'ouverture de la fin souligne encore plus ça, c'est con, c'est pas encore aujourd'hui qu'on aura un Red Son.

Oh et Men In Black 4 aka le budget le plus mal utilisé de ces 15 dernières années. Quand je pense que longtemps je trouvais le 1 tout juste passable, la barre descend si bas que bon nombre de films deviennent cultes malgré eux, et c'est pas james cameron qui va la faire remonter avec son petit sous-marin. Bien que "l'homme" à droite fera bien un cameo.

D’ailleurs : qu'est ce que c'est que cette merde
"in a world où les reboot-plagiat sont devenus un running gag..."
 
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