__MaX__ a écrit :
Si il y avait un simple moyen d'identifier immédiatement les gens qui postent ce genre de choses et qu'ils aient à prendre leurs responsabilités, l'internet serait une zone bien plus raisonnée et raisonnable.
PoF.be a écrit :
Est-ce que les mecs auraient quelque chose à perdre si on devait abandonner les features sexistes et l'objectification sexuelle injustifiées? Je ne crois pas. Si au moins cela faisait sens dans le jeu, s'il y avait un fond, je n'aurais aucun problème avec le fait que la prostitution ou le rabaissement de la femme soit abordés. Mais quand la raison réelle est limitée à la satisfaction du fantasme du frustré de base, je préférerai qu'on laisse cela aux jeux de niche.
Darkee1980 a écrit :
Je l'ai déjà dit plusieurs fois : ce n'est pas la question. On parle d'évolution du traitement, pas de remplacer un extrême par un autre ;-)
Darkee1980 à écrit :
Euh... J'avoue ne pas avoir compris ^^
Tout ce que je dis, c'est que cela ne sert à rien de mettre les joueurs dans des cases. Si tu es mordu par un jeu, t'es un joueur, point. Après, on est plus ou moins passionné par le médium (comme nous). Je connais des joueurs de CoD qui ne jouent qu'à ça et qui ne comprennent rien quand je parle de jeux vidéo dans leur ensemble.
PoF.be a écrit :
__MaX__ a écrit :
Si il y avait un simple moyen d'identifier immédiatement les gens qui postent ce genre de choses et qu'ils aient à prendre leurs responsabilités, l'internet serait une zone bien plus raisonnée et raisonnable.
Mais bonjour les dérives du contrôle, les risques de vol d'identité, et ça ne ferait qu'encourager certaines personnes à chercher des moyens de contournements.
__MaX__ a écrit :
un organisme qui se chargera d'agir en conséquence.
Darkee1980 a écrit :
Un jour, il faudrait que je me prenne une PS2 rien que pour faire, enfin, Silent Hill 2. Ou sur émulateur.
PoF.be a écrit :
Mais bon sang. En quoi le fait qu'elle ne jouerait que depuis 4 ans devrait être un argument invalidant sa constatation (documentée) de l'image du traitement de la femme dans le JV? Qui a besoin de 20 ans d'ancienneté dans la pratique des jeux pour s'apercevoir que, malgré l'existence d'héroïnes fortes, la femme "objet de désir sexuel et dépourvue de personnalité" est un standard hyper-récurent dans l'univers des JV.
Elle vole des extraits de vidéo à d'autres Youtubeurs?
Donc la capture vidéo (sans commentaire ni montage) d'un Youtubeur devrait être protégées contre la récupération d'extrait à but informatif. On est d'accord qu'on parle de ces mêmes "vidéastes" qui ont gueulé à l'injustice quand Youtube a décidé de faire appliquer des règles plus strictes en matière copyright? Apparemment, Se servir dans le contenu des autres, c'est uniquement valable quand on est pas "les autres".
Et parce que l'extrait proviendrait de la vidéo de quelqu'un d'autre, le propos d'Anita devrait être invalidé?
Parce qu'elle aurait fait la conne en choppant une image sans avoir demandé une autorisation à son auteur, ses analyses n'auraient aucune valeur, même informative?
Si vous pouviez me rappeler la définition du sophisme, il me semble qu'elle serait nécessaire dans ce cas-ci
MrPapillon a écrit :
Mais je pense que c'est important d'élargir l'éventail de solutions petit à petit. De mon point de vue, le jeu vidéo a un plus gros potentiel de développement que le cinéma. Le cinéma, le cadre commence à se solidifier et l'étendue est maintenant claire. Pareil pour les livres ou le théâtre. Le jeu vidéo peut se présenter d'énormément de façons et on a réussi à ne développer qu'une partie infime des possibilités aussi bien techniques que du contenu lui-même.
CBL a écrit :
Pourtant Anita n'a pas fait disparaitre les jeux macho/sexistes. Elle pointe juste du doigt le problème. "Don't shoot the messenger" disent les anglo-saxons.
CBL a écrit :
Si un homme avait fait la même vidéo, il aurait probablement reçu des réponses nettement moins violentes.
CBL a écrit :
C'est de la misogynie pure et simple ce qui est assez paradoxal vu que la vidéo dénonce justement la misogynie des jeux.
Sophie Gourion a écrit :
Depuis quelques jours, j’ai peur de tout. Peur de dire le mauvais mot. De retweeter la mauvaise personne. De laisser planer une ambigüité qui pourrait laisser croire que j’aggrave mon cas.
Ca ne me ressemble tellement pas, moi qui ai toujours tweeté en mon nom et pas planquée derrière un pseudo. Librement.
J’ai toujours assumé mon franc-parler, ma transparence sur Twitter. On m’a dit que ça pourrait me porter préjudice. Effrayer de futurs employeurs ou de futurs clients. Ca ne m’a jamais fait peur ou bridé. J’ai affronté les sexistes, les antisémites.
Je n'aurais jamais imaginé que ce serait finalement des féministes qui arriveraient à me faire taire.
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