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Un Rédacteur Factornews vous demande :

 
ARTICLE

Quakecon 2018, le débrief

LeGreg par LeGreg,  email

Rage 2

Outre la présentation lors de la keynote d'introduction, Rage 2 avait également son propre panel.

Une anecdote amusante, probablement rapportée partout ailleurs. Tim Willits, studio head de id Software, est d'une taille moyenne basse. Magnus Nedfors, le game director de Rage 2 chez Avalanche Studios, est lui très grand. Le contraste était donc comique entre les deux lors de la keynote. Pour enfoncer le clou, Marty Stratton arrive des coulisses avec une grosse boite en plastique pour que Tim Willits puisse être à la hauteur de son co-présentateur.

Lors d'un panel, les développeurs confirment la date de sortie au printemps 2019. Magnus dit qu'ils ont toujours été fans de id Software et de leurs jeux et donc très fiers d'être invités à développer un jeu avec eux, afin de combiner le savoir faire de Avalanche en matière de open world (Juste Cause, Mad max) et l'expertise de id pour le feeling dans les phases de shooting. Ils insistent qu'ils travaillent totalement ensemble, avec Tim Willits et d'autres employés qui font souvent le déplacement à Stockholm pour contribuer au développement.

Ils passent en revue les factions du jeu :
  • L'Authority qui avait été quasi anéantie par une rebellion à la fin du dernier épisode. Ils pansent leur plaies et se reforment plus forts que jamais. Ils avaient créé les mutants du premier épisode (spoiler ?), mais ceux-ci étaient encore vaguement humains. Cette fois-ci, ils ont été encore plus loin dans les manipulations et les nouveaux mutants n'ont plus rien d'humains, mais sont d'efficaces machines de guerre.
  • Vineland avait été plus ou moins épargné par le chaos post apocalypse, mais au début de Rage 2, la région a été détruite, ce qui plonge Walker, le nouveau protagoniste, dans l'intrigue et sa quête de revanche contre l'Authority.
  • Les Goons ressemble à un mix entre clowns et punks très colorés, très chaotiques et qui se retrouvent soudainement armés d'équipement militaire dernier cri.
  • Les River Hogs sont les rednecks du jeu. À priori neutre, et sans loyauté à part à eux même, ils n'embêtent pas les autres factions sauf si elles les provoquent ou si elles ont quelque chose qui les intéresse (et ils sont intéressés par beaucoup de choses).
  • La Rébellion continue à se battre contre la nouvelle autorité (surprenant, hein ?). Et le protagoniste les aidera.

Le joueur est équipé d'une tonne de capacités spéciales qui l'aideront en combat. Il est surpuissant mais ça ne sera pas de peu pour affronter la horde d'ennemis innombrables et les mutants grands comme des montagnes. Si ça a des roues et que c'est dans le jeu vous pouvez le conduire. Ou parfois pas de roues comme le bateau à hélices des river hogs. Le joueur peut s'amuser à voler un tank d'une faction puis le retourner contre eux pour les éliminer.

Le protagoniste du premier épisode a disparu mais comme il avait tué des millions de mutants, les mutants survivants de cette époque ont été lâchés par l'autorité et ont créé leur propre société primitive avec des croyances, comme celle que le protagoniste est leur dieu de la mort. Pour ce qu'on apprendra du destin de l'ex-protagoniste, motus et bouche cousue.
 

Les gens trollent sur le fait que Rage premier du nom n'avait pas de vraie fin satisfaisante comme si le jeu avait été sorti avant d'être fini. Et ils demandent si Rage 2 en aura une. Les devs confirment qu'il y en aura une .. enfin réponse un peu plus compliqué puisque le jeu sera un monde ouvert avec des choses à faire quel que soit le statut de la campagne principale... Donc en fait, le jeu sera vraiment sans fin, mais avec une campagne principale que l'on pourra terminer et dont la conclusion sera satisfaisante selon leurs dires.

Le panel de Rage 2 avait attiré légèrement moins de gens que celui de Doom Eternal (spectateurs debouts dans une salle de taille moyenne). Ce qui illustre la popularité relative des deux franchises. Avalanche espère bien évidemment faire un épisode qui marquera les esprits.

Autres jeux

On pouvait également essayer The Elder Scrolls : Blades. C'est un dungeon crawler en free to play sur mobile. Le développeur est très fier de ses graphismes dignes d'une sortie sur console. Le joueur contrôle les déplacements en cliquant sur le sol puis quelques gestes du doigt génèrent des attaques ou des sorts. Les locations et capacités sont évidemment dérivées des jeux Elder Scrolls.

Quant à The Elder Scrolls : Legends, il s'agit d'un jeu de carte inspiré par la série disponible sur mobile et sur Steam.



Last but not least, The Elder Scrolls Online offrait également une démo de sa dernière extension Wolfhunter et ses lycanthropes. L'éditeur avait également annoncé l'extension suivante Murkmire qui nous conduira dans la patrie des Argoniens.

Il y avait une borne de démo pour Prey : Moon Crash la nouvelle extension sortie récemment pour Prey.
En parlant de Prey. Une version de Prey VR était testable, que j'avais déjà pu testé grâce à une démo publique organisée à Austin. Le jeu est un Escape The Room, un jeu où il faut résoudre une série de puzzles environnementaux dans le bon ordre pour déclencher la fin ou se sortir d'un piège. Le jeu est très joli puisque reprenant les assets du jeu principal. Et bonne nouvelle : il est déjà disponible pour tous ceux qui ont acheté l'extension Moon Crash.
 

Comme j'avais le choix entre les deux démos, j'ai donc choisi de tester Wolfenstein VR cette fois-ci. Wolfenstein VR faisait plus dans l'action avec une échafourrée avec des soldats nazis dans le monde alternatif du dernier Wolfenstein. On dirige un mech (en réalité virtuelle dans la réalité virtuelle) qui dispose de deux armes : un lance flamme et un poing/bélier. Le mech est attaqué de tous les côtés et ça explose de partout. Un effort a été fait pour retranscrire les mouvements d'un FPS avec des contrôles VR. Une main pointe la direction du tir et nous fait tourner en même temps. L'autre main contrôle un mouvenent de translation ce qui permet de strafer autour des ennemis. Deux boutons permettent de nous propulser vers l'avant et de se tourner à 180 degrés rapidement. Le jeu est joli et sans saccades. La démo était relativement courte donc difficile de dire comment sera le jeu au delà de cette première impression.
 
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