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Un Rédacteur Factornews vous demande :

ACTU

Les Nouvelles du Faicteur : le jeu vidéo, ce média intergénérationnel

Buck Rogers par Buck Rogers,  email
 
On arrive au dixième numéro des Nouvelles du Faicteur, et non seulement il y a toujours des articles intéressants autour du jeu vidéo dans les médias grand public, mais on a cette semaine du nouveau sur une initiative que l'on avait relayée dans un précédent épisode de la rubrique. Nous allons donc ce lundi prendre des nouvelles de jeunes adultes en formation, rappeler une fois encore que pour être un champion il n'y a pas d'âge, parler de l'ouverture d'une école, de nouveaux studios implantés en France et pour terminer de dirigeants d'hôtel pas très content de développeurs de jeux vidéo.

Devenir testeur de jeux vidéo, la nouvelle formation présentée à la Paris Games Week 

Souvenez-vous, lors du 3ᵉ numéro des Nouvelles Du Faicteur du 19 septembre 2022, on vous avait parlé de cette initiative de former gratuitement durant sept mois 25 jeunes adultes de 18 à 25 ans sans diplômes résidant à Paris ou en Seine-Saint-Denis au métier de testeur de jeu vidéo. La rentrée était même pour octobre. J'ai le plaisir non seulement de vous annoncer que la rentrée a bien eu lieu, avec même 30 étudiants, mais de pouvoir vous donner de leurs nouvelles. Et à peine un mois après, on a des débuts de témoignage sur cette initiative pour favoriser l'égalité des chances qui font chaud au cœur : « Cette formation c'est le rêve, ça me permet de faire ce que j'ai toujours aimé, les jeux vidéo [...] Je savais que ces formations existaient, mais je pensais que c'était un milieu très fermé dont je ne pouvais pas faire partie ». En ce moment, ils commencent depuis un mois une remise à niveau en français, mathématiques et anglais grâce à des professeurs et des intervenants dans les locaux de l’École de la 2e chance de Paris. Ensuite « Ils ont deux mois de découverte dans la culture du jeu vidéo avant de commencer véritablement cette formation de sept mois [bien que] Pour l'instant il n'existe pas de diplôme ou de certificats de testeur [toutefois] Ce métier est très demandé par les entreprises. Ils sont assureurs de qualité, c'est à eux de détecter les moindres failles d'un jeu ». Et c'est sûr que pour le grand public, contrairement à nos fidèles lecteurs, on ne soupçonne pas l'importance du métier « Ils doivent garantir la sécurité des joueurs, pour voir si le jeu ne fait pas crasher l'ordinateur ou si certaines scènes ne représentent pas un danger pour des personnes épileptiques ». On le répète en tout cas, on est ravi de l'existence de ce projet qui tend à favoriser la mixité de genres, ethniques et sociales, en espérant que l'expérience soit renouvelée l'année prochaine.

Pour retrouver l'article complet abordé dans la rubrique, rendez-vous sur le site france3-regions.francetvinfo.fr >>
 

À 95 ans, il remporte une compétition de jeux vidéo

Plus précisément, c'est Marcel et Monique, deux retraités de 95 et 70 ans, qui ont remporté ce jeudi 3 novembre le Trophée des Seniors de Wii Bowling à la Paris Games Week. De nombreux spectateurs étaient présents pour soutenir les participants, et Marcel était d'ailleurs ému d'avoir vu sa petite fille qui lui a fait la surprise de venir le voir. Il a avoué qu'au début il était un peu stressé par « une telle ambiance » mais il s'est laissé séduire « de voir tous ces jeunes qui ont peut-être l’âge de ses arrière-petits-enfants », qui leur ont bien rendu en termes d'hommage et de respect. On en profite pour féliciter tous les Seniors qui auront participé à cette compétition, j'ai aussi compris de mon côté que je ne faisais clairement pas le poids face à eux.

Pour retrouver l'article complet abordé dans la rubrique, rendez-vous sur le site sudouest.fr >>
 

Le futur du jeu vidéo se prépare aussi à Nancy

La France a fait un énorme chemin, et que ce soit pour le secteur du jeu vidéo comme celui du cinéma d'animation, on lui reconnaît internationalement la qualité de ses formations, comme de ses productions, facilitant l'expatriation des jeunes diplômés à l'étranger. Ainsi, cela ne nous étonne pas que de plus en plus d'école dédiée au milieu vidéoludique, dont le chiffre d'affaires rien qu'en France était de 3,5 milliards d'euros, ouvrent leurs portes, car le besoin en main d'œuvre ne cesse de croître. C'est ainsi que cette année, dans la Métropole du Grand Nancy que la Game PAD School a ouvert sa première promotion composée d'une quinzaine d'étudiants, histoire d'individualiser la formation autant que faire se peut, sachant que malheureusement entre Reims et Strasbourg il n'y avait pas d'offres pour les étudiants. Le grand public apprend notamment que les recruteurs cherchent des personnes très spécialisées « Aujourd'hui sur des offres concrètes, on lit qu'on ne recherche pas une personne capable d'animer un personnage, mais plutôt quelqu'un qui va être capable d'animer juste un visage avec ses expressions ». Pour les titulaires d'un baccalauréat, trois formations sont disponibles ; Game Artist, Game Designer et Game Programmer. Les trois années à la Game PAD School sont au tarif de 20 000 euros.

Pour retrouver l'article complet abordé dans la rubrique, rendez-vous sur le site francebleu.fr >>
 

Jeu Vidéo : les studios Virtuos et Build A Rocket Boy s'installent à Montpellier

Après être parti en mauvais terme de chez Rockstar, et avoir créé son propre studio Build a Rocket Boy pour créer le jeu Everywhere sur l'Unreal Engine, en réussissant entre autres à lever 35 millions d'euros auprès de la compagnie chinoise NetEase, Leslie Benzies et son équipe nous avaient gratifié d'un petit teaser lors de la Gamescom Opening Night Live 2022 et "on s’autorise à penser dans les milieux autorisés" que le titre pourrait arriver l'année prochaine. Le studio écossais, comme l'ex Bad Boy de la firme étoilée, est situé dans la Capitale à Édimbourg, il possède également un centre d’opérations dans la Capitale de la Hongrie, Budapest et fait ainsi travailler 400 développeurs sur ce jeu multijoueur qui fait un peu penser à une expérience (probablement blindée de NFTs) autour d'un métavers, dont la mayonnaise n'a pas encore réussi à prendre chez certains. Comme nous l'écrivions dans le sujet précédent, la France compte nombre de talents, et ainsi Leslie Benzies  a décidé d'ouvrir un bureau en France, et à Montpellier plus précisément, une des pépinières du secteur vidéoludique de l’Hexagone. Mais ce ne seront pas les seuls à s'implanter, car Virtuos, société mondiale de développement de jeux vidéo comptant 3500 employés et basée à Singapour, va ouvrir un deuxième pôle technique à Montpellier après en avoir ouvert un premier à Lyon en 2011. L'objectif serait de composer une équipe de 20 personnes à Virtuos Labs Montpellier d'ici 2023. Il se peut que d'autres sociétés tels Virtuos et Build A Rocket Boy choisissent la France comme destination, l’État a aussi décidé de moderniser le Crédit d’impôt jeu vidéo, ça doit motiver aussi.

Pour retrouver l'article complet abordé dans la rubrique, rendez-vous sur le site actu.fr >>
 

Reconstitué dans « Call of Duty », un hôtel de luxe menace le jeu vidéo

L'information qui a été repérée par Laurent dans les commentaires d'une news de Factor de la semaine dernière, a fini par arriver dans nos contrées. En gros, le studio Infinity Ward a tellement bien travaillé sur la portion d'Amsterdam représentée dans Call of Duty: Modern Warfare II sorti le 28 octobre 2022, que l'on reconnaît trop bien le Conservatorium Hotel rebaptisé dans le jeu "Breenbergh". Forcément, cela n'a pas plu aux dirigeants de l'hôtel en question « Nous ne soutenons pas les jeux qui encouragent l'usage de la violence. Le jeu ne reflète en aucun cas nos valeurs fondamentales et nous regrettons notre implication apparente et non désirée », c'est bien évidemment aussi la peur que cela touche au prestige et à la réputation du lieu qui cause cette colère. Ils se réservent ainsi la possibilité d'attaquer en Justice Activision Blizzard, car comme il s'agit d'un bâtiment du 19ᵉ siècle, il faut une autorisation pour exploiter les images de l'édifice d'après les lois néerlandaise et européenne. Il y aurait comme une odeur de mise à jour qui se profile on dirait, à moins que l'éditeur états-unien décide d’être à nouveau "jusqu'au-boutiste" comme ils l’avaient été face au groupe AM General qui les avait attaqués en Justice et perdu pour l'utilisation sans autorisation de la représentation du véhicule militaire Humvee dans la licence Call of Duty.

Pour retrouver l'article complet abordé dans la rubrique, rendez-vous sur le site lepoint.fr >>



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