ACTU
Une semaine juridique chargée
Ce qui est bien avec le jeu vidéo, c’est qu’on a rarement l’opportunité de se laisser emporter par l’euphorie des bonnes nouvelles. Les derniers jours ont été assez tumultueux et on vous résume tout ça.
Lundi dernier, on apprenait qu’un vidéaste italien spécialisé dans les gadgets rétro-gaming, Once Were Nerd, avait reçu la visite de la police douanière de ce petit pays d’extrême droite. Il s’est vu saisir ses consoles rétro (dont des Anbernic, Powkiddy et TrimUI) sous prétexte qu’elles violeraient le sacro-saint copyright et qu’il en ferait la promotion. On ne sait pas encore si Nintendo, Sony, voire Sega ont participé à cette action de la Guardia di Finanza, mais dans tous les cas, ça ne sent pas bon pour le hobby du retro-gaming.
Mercredi, on apprenait que Nintendo s’enfonçait toujours plus profondément dans la bassesse judiciaire. Alors qu’elle est en plein procès contre Pocketpair, la firme nippone continue de modifier la formulation de ses brevets de gameplay et de jouer la montre pour maximiser ses chances d’obtenir un jugement favorable contre Palworld. Le procès sera long et coûteux et nul doute que la tactique d’intimidation refroidira beaucoup de studios à l'idée de s’approcher trop près de la poule aux œufs d’or qu’est Pokémon. Avec près de 3 milliards de dollars de chiffre d’affaires en 2024, on se doute bien que Nintendo et The Pokémon Company sont prêts à tout pour s’assurer que personne ne récupère les miettes de "leur" gâteau.
Dimanche, on découvrait que Waypoint, la section JV du magazine Vice, censurait les articles dénonçant la censure de Steam suite au lobbying de groupuscules conservateurs et puritains. Une partie de la rédaction a démissionné en réaction. On salue leur intégrité et leur courage.
Hier, on entamait la semaine en découvrant qu’une dénonciation anonyme avait été déposée auprès des instances européennes contre l’initiative Stop Destroying Videogames. Comme d’habitude, c’est un tissu de mensonges, mais tout ce qui peut nuire au mouvement est bon à prendre pour les parasites qui se gavent sur le dos du jeu vidéo.
Lundi dernier, on apprenait qu’un vidéaste italien spécialisé dans les gadgets rétro-gaming, Once Were Nerd, avait reçu la visite de la police douanière de ce petit pays d’extrême droite. Il s’est vu saisir ses consoles rétro (dont des Anbernic, Powkiddy et TrimUI) sous prétexte qu’elles violeraient le sacro-saint copyright et qu’il en ferait la promotion. On ne sait pas encore si Nintendo, Sony, voire Sega ont participé à cette action de la Guardia di Finanza, mais dans tous les cas, ça ne sent pas bon pour le hobby du retro-gaming.
Mercredi, on apprenait que Nintendo s’enfonçait toujours plus profondément dans la bassesse judiciaire. Alors qu’elle est en plein procès contre Pocketpair, la firme nippone continue de modifier la formulation de ses brevets de gameplay et de jouer la montre pour maximiser ses chances d’obtenir un jugement favorable contre Palworld. Le procès sera long et coûteux et nul doute que la tactique d’intimidation refroidira beaucoup de studios à l'idée de s’approcher trop près de la poule aux œufs d’or qu’est Pokémon. Avec près de 3 milliards de dollars de chiffre d’affaires en 2024, on se doute bien que Nintendo et The Pokémon Company sont prêts à tout pour s’assurer que personne ne récupère les miettes de "leur" gâteau.
Dimanche, on découvrait que Waypoint, la section JV du magazine Vice, censurait les articles dénonçant la censure de Steam suite au lobbying de groupuscules conservateurs et puritains. Une partie de la rédaction a démissionné en réaction. On salue leur intégrité et leur courage.
Hier, on entamait la semaine en découvrant qu’une dénonciation anonyme avait été déposée auprès des instances européennes contre l’initiative Stop Destroying Videogames. Comme d’habitude, c’est un tissu de mensonges, mais tout ce qui peut nuire au mouvement est bon à prendre pour les parasites qui se gavent sur le dos du jeu vidéo.