Après Rockstar Games qui s’est illustré à fond dans la répression syndicale en virant plus de 30 employés en Grande-Bretagne et au Canada, c’est au tour de sa maison-mère, Take-two Interactive, d’être éclaboussée. Là, on est carrément dans le sale, et le concerné serait son PDG Harry Strauss Zelnick himself.

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Ah, la vache ! On est loin du simple "c'est sa parole contre la mienne", là... Ça va être du sport de haute voltige pour justifier le coup, bien plus tordu qu'un "il a dit non mais sa cravate disait oui" !


Pas étonnant, finalement, que les GTA soient si bon dans l'aspect truand... Les cerveaux derrière ces jeux sont eux-mêmes une sacrée bande de filoux C'est peut-être ça le secret : pour inventer le délire, faut le vivre un peu dans ses propres circonvolutions cérébrales !

Ah ? Le karma ?