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PGW : le Purgatoire Game Show

Marc & Fougère par Marc & Fougère,  email
 
La VR était à l’honneur cette année et le salon proposait plusieurs stands Oculus Rift et même un Samsung VR, chacun d'entre eux possédant évidemment une file d'attente des plus conséquente. Néanmoins nous avons pu mettre la main et la tête sur deux titres.

Project CARS

On nous colle donc sur la tête l’Oculus Rift DK2, accompagné de son dispositif de tracking. Nous voilà propulsé au volant d’une super-car (en vue cockpit) sur un circuit baigné d’un soleil couchant. Bien évidemment, pour la présentation, toutes les aides à la conduite sont activées et le passage des vitesses se fait en automatique. Impossible donc de juger des réelles qualités du titre qui se veut être une pure simulation. Néanmoins la conduite est très agréable et procure de bonnes sensations. On vient à bout du circuit en une petite dizaine de minutes. Si le titre nous a semblé prometteur et plutôt sympa, les impressions sur la VR sont en revanche bien plus mitigées.



Si les mouvements de la tête sont effectivement plutôt bien reproduits en jeu, la qualité d’image n’est, elle, pas des plus chatoyante. L'affichage avait une fâcheuse tendance à pixéliser, donnant un rendu plutôt grossier. Côté immersion, si la sensation d’être totalement coupé du monde fonctionne parfaitement, on a en revanche la fâcheuse impression d’être collé devant un écran. Seul point vraiment positif, la gestion de l’éclairage. Cette dernière est assez bien mise en oeuvre : le soleil couchant aveugle totalement et quand la nuit tombe l’éclairage du circuit file à la périphérie de notre champ de vision. On reste malgré tout loin de l’immersion fournie par les démos techniques destinées à tester l’Oculus.

EVE Valkyrie

Eve Valkyrie tournait également sur l’Oculus Rift DK2. On se retrouve sur une rampe de lancement où une voix nous explique que des méchants sont en train de foutre le boxon droit devant nous. Les commandes défilent rapidement en bas de l’écran et BAM ! nous voilà catapultés au milieu des astéroïdes. Cette première accélération initiale est là pour nous en mettre plein la tronche et donner le ton du jeu : ça va vite. Les commandes sont simples et la prise en main est très rapide. On enchaine rapidement les kills avant de s'écraser sur une station spatiale qui trainait par là. Le jeu est clairement une démo technique interactive, mais c’est très très fun.



On entrevoit le potentiel de l’Oculus mais le DK 2 n’est clairement pas au point pour une utilisation prolongée. L’immersion est immédiate, mais on « voit » que l’on regarde un écran. L’image a du mal à suivre, surtout quand on va à fond les ballons, et l'estomac d'un de nos reporter de l'extrême lui a fait savoir que les loopings vrillés à 600 km/h auraient des conséquences fâcheuses s'ils se répétaient trop fréquemment.
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