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Loco Roco Cocoreccho

toof par toof,  email
 
Ca y est, LocoRoco débarque sur PS3. Même design, même personnages idiots, même genre de musique, tout y est ! En manque de jeux, qui voit déjà Sony porter sur sa console de salon les titres qui ont fait le succès de la PSP ? Et bien même pas ! Voilà un nouvel épisode tout beau, tout chaud et surtout très frais de Loco Roco, intitulé pour le coup : Cocoreccho.

Derrière ce titre imprononçable, voyons ce que ce petit jeu destiné au Playstation Network a dans le ventre.
C'était tentant : prendre Loco Roco version PSP et remplacer l'utilisation des gâchettes de la portable par la gestion des mouvements de la Sixaxis. A la vue des premières images, tout semblait parti pour. On retrouve le design et les personnages du jeu original tels que les Mui Mui, les Mojas, les Chuppa, les Cuna Cuna ou encore les Nyokki, ainsi que les musiques si particulières, chantées par les petits Loco Roco. Mais c'était sans compter l'imagination des développeurs japonais des studios de Sony. Plutôt que de bêtement réutiliser le concept en servant du Sixaxis comme tout le monde s'y attend, les développeurs ont réimaginé le système du jeu qui, bien qu'un peu obscur les premiers instants, se révèle être foutrement bien gaulé : adieu les mouvements de plateau et bonjour le petit papillon.

Principale différence avec la version portable, ici on ne suit pas nos Loco Roco qu'on agrège ou sépare afin de franchir les obstacles. Le seul et unique niveau est en fait un immense plateau, les Loco Roco sont indépendants et suivent un chemin si l'on ne s'occupe pas d'eux. Pour interagir, on dispose d'un curseur en forme de papillon vers lequel vont être attirés les Loco Roco lorsqu'on presse une touche. C'est avec ce principe que l'on va les inciter à prendre tel ou tel chemin.

A partir de là, le but du jeu est de trouver le plus de Loco Roco possible, sachant qu'il y en a 200 à découvrir et que l'on commence la partie avec un seul. Les autres sont soit cachés, soit endormis. Pour les Loco Roco qui roupillent, il suffira de les toucher avec un autre Loco Roco pour les réveiller. Quand à ceux qui se planquent, il va falloir ruser : au travers de mini jeux, à l'aide des Mui Mui en poste sur des mécanismes que l'on contrôle grâce aux mouvements de la manette, ou encore en interagissant directement sur le décor avec le Sixaxis.

Bref, plein de trucs à découvrir, surtout que seule une petite partie du niveau est accessible au premier lancement, les suivantes se dévoilant au fil des parties, avec toujours quelques difficultés supplémentaires à chaque fois, comme par exemple les fameux Mojas, rôdant toujours dans les parages. Presque un mix entre le Loco Roco version PSP et un Lemming, cet épisode bien qu'un peu léger niveau contenu proposera tout de même quelques petites heures de jeu et de recherches, ce qui pour moins de 3€, en fait un jeu au rapport prix/durée de vie bien supérieur à un bon paquet de jeux actuellement au catalogue de la PS3 à plus de 60€.
Sous ses faux airs de démo payante, Loco Roco : Cocoreccho mérite un petit détour

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