Connexion
Pour récupérer votre compte, veuillez saisir votre adresse email. Vous allez recevoir un email contenant une adresse pour récupérer votre compte.
Inscription
En vous inscrivant, vous acceptez les conditions d'utilisation du site et de nous vendre votre âme pour un euro symbolique. Amusez vous, mais pliez vous à la charte.

Un Rédacteur Factornews vous demande :

TEST

Grand Theft Auto V

kimo par kimo,  email
 
Si quelqu’un avait prédit il y a quelques années que Grand Theft Auto, l’un des jeux les plus sulfureux de son époque, se verrait un jour offrir une place de choix dans tous les grands journaux, on aurait probablement été sceptique. Pourtant, fort de sa révolution 3D entamée par son troisième épisode, la licence a réussi à s'acheter une légitimité jusqu'à devenir aujourd’hui un objet incontournable du paysage culturel. Mais passé l’enthousiasme général payé à grand renfort de buzz, de promesses et de promo bulldozer, GTA V se révèle-t-il être à la hauteur ?

Un terrain de jeu inégalé.


Parce qu’un GTA se construit avant tout sur sa ville, il faut commencer par saluer le travail remarquable fourni par Rockstar pour la création de Los Santos et de ses environs. Le terrain de jeu de GTA 5 fait véritablement honneur au travail accompli par le studio sur GTA IV et Red Dead Redemption. Le terrain est immense et varié, passant tout naturellement du désert à la montagne, les développeurs ayant poussé la démence jusqu'à modéliser les fonds sous-marins. GTA 5 réussit donc l’exploit de réunir tous les paysages américains sur une seule carte avec une cohérence qu’aucun jeu n’aura encore atteinte.

Le plus impressionnant reste sans aucun doute le soin apporté à ces espaces hors ville, qui regorgent d'endroits à découvrir. Il faudrait être de mauvaise foi pour ne pas être impressionné par le soin quasi-maniaque avec lequel Rockstar a peaufiné chaque kilomètre carré de son jeu, plaçant là une usine, là un campement hippie. Chaque recoin de la carte a du caractère, même dans les régions les plus reculées où la plupart des joueurs n’iront jamais. Bien sûr, les missions tentent de nous faire visiter la plupart des lieux importants, mais sans jamais parvenir à rivaliser avec l’extraordinaire sentiment de découverte que seule permet une petite virée improvisée.

Si ses alentours sont époustouflants, la ville elle-même n'est pas en reste. Construite sur un modèle qui a fait ses preuves, elle se décompose en plusieurs quartiers typiques et immédiatement reconnaissables qui contiennent chacun ses bâtiments phares, ses boutiques et sa population propre. Les discussions dans la rue vont bon train et on se fait parfois interpeller. Quelques événements aléatoires viennent ainsi donner vie à ce petit ensemble. Dommage que le fait d’incarner l’un ou l’autre de nos personnages n’ait pas une énorme influence sur ces événements qui sont finalement assez répétitifs, même s'ils sont toujours les bienvenus.

Bien sûr, sur console, on est graphiquement loin des open worlds PC : c’est moche, ça scintille, le frame-rate est à la rue (moins que dans le 4 tout de même), il y a des retards d’affichage et un clipping parfois très gênant, surtout à grande vitesse. Pourtant, une fois passée la première heure de jeu, la plupart des soucis techniques sont dilués dans l’expérience de la ville, le soin qui lui a été apporté compensant largement ces broutilles. Par la variété et la taille réellement inédite de son territoire, GTA V parvient à créer une expérience fantastique, nous offrant tout simplement l'occasion à chacun de vivre son propre road-movie, de prendre l’autoroute avec la musique à fond pour le simple plaisir de rouler et de visiter.

Chaque course poursuite - à pied aussi bien qu'en véhicule - devient aussi de ce fait un véritable défi d’adaptation et d'improvisation face au terrain de jeu, laissant au joueur une vraie liberté d'action. Les moments les plus réussis découlent d’ailleurs le plus souvent d'événements impromptus et non pas des missions (mais on y reviendra). On peut décider de fuir sur l'autoroute après avoir braqué un fourgon, de faire une embardée pour éviter la police avant d’atterrir en plein marécage, seul, sans véhicule, alors que la nuit tombe – ou bien on découvre un petit canal bordé de maisons où se cacher tandis que la police inspecte méthodiquement chaque allée en se rapprochant de nous - ou encore on fuit dans un immeuble en construction pour y provoquer une gigantesque fusillade. Dans ces moments, le jeu dévoile toute sa grandeur, permettant au joueur de créer des situations exaltantes. Reste que pour se mettre en place, elles nécessitent quand même de savoir jouer le jeu : malgré un système de recherche qui semble un poil plus exigeant que dans le Liberty City et vous pousse, par exemple, à changer de voiture, la police peut systématiquement être semée en partant en rase campagne. Bref, pour se payer le luxe d’un vrai challenge, mieux vaut d’abord plier le jeu à ses exigences quitte à tricher un peu.

Hey homie, il daterait pas de 2008 ton gameplay?


S’il fait un sans-faute sur sa capacité à offrir au joueur le terrain dont il a toujours rêvé, on a le sentiment que c’est un peu l’unique avantage qu’a le jeu sur la concurrence. Ni le gameplay, ni la structure n’ont fondamentalement changé pour se défaire des défauts de GTA IV. À l’époque, si l’idée de pouvoir surfer sur le net, d’aller au bowling entre potes ou d’utiliser un téléphone portable, sans être exceptionnelle, ouvrait la voie à ce que pouvait être un open-world moderne, la concurrence a depuis su en emprunter le meilleur pour remplir ses villes d’activités plus convaincantes, tout en proposant des expériences de jeu cohérentes à défaut d’être aussi larges. Saint Row IV éjectait définitivement toute idée de scénario pour livrer clé en main la ville et ses gadgets débiles à l’omnipotence du joueur. Sleeping Dogs quant à lui développait un système de combat intéressant qui s'intriquait parfaitement avec son ambiance et sa narration, donnant au jeu une personnalité forte et inoubliable malgré ses nombreux défauts.

GTA V s’en tient grosso-modo à la stratégie de son ainé poussée à son paroxysme, à savoir qu’il se présente comme un immense fourre-tout sans souci de cohésion, proposant en parallèle aux traditionnelles missions pléthore d’activités, allant du tournoi de fléchettes à la chasse en forêt. Leur nombre est proprement hallucinant, mais ça ne signifie pas pour autant qu’elles sont très intéressantes. C’est un peu l’arnaque classique de GTA, qui en refusant de se restreindre pour proposer une expérience de jeu compacte mais de qualité, se noie dans la quantité quitte à ce que ces activités ne dépassent pas le statut de la simple curiosité oubliée après une ou deux tentatives. Bien sûr, on ne peut s’empêcher d’être amusé et impressionné par le nombre de chose à essayer, mais le tout reste aussi anecdotique et répétitif qu’une compilation de jeux de sport sur Wii qui se serait accouplé à Euro Truck Simulator. Si l’idée de courir un triathlon est amusant sur le papier, quand ça revient à matraquer un même bouton pendant 30 min, c’est vite ennuyeux.

Bien sûr ces diverses activités sont aussi censées servir à gonfler les statistiques de vos personnages : aller au champ de tir permet ainsi de recharger plus vite, à l’école de vol de mieux contrôler votre coucou et ainsi de suite. Mais ces améliorations sont inutiles et on a du mal à ne pas voir qu’elles ne sont là que pour que nous passions deux heures à jouer au tennis ou à faire du vélo, ce qui dans le fond est presque plus malhonnête qu’un système d’achievements.

Mais GTA V, ce n’est pas seulement faire de la bicyclette ou chasser des pumas. On passe des heures en voiture pour se rendre à ces activités bien dispersées sur la carte. La conduite de celui-ci est un poil plus arcade que celle du 4. Les voitures tiennent mieux à la route et les chocs sans pour autant être indestructibles (malgré une fâcheuse tendance à se remettre d’elles-mêmes sur leurs roues). C’est un compromis agréable même si certains trouveront à redire. Les courses sauvages sont d’ailleurs les seules activités réellement agréables, même si elles sont très faciles, d’autant que les différences de surfaces sont bien rendues. Bien sûr, pour s’adapter au terrain, on dispose d’un nombre de voiture phénoménal qu’on peut améliorer et conserver (à la Saint Row), mais sachez qu’un bug les fait disparaître régulièrement.

Autre mamelle de GTA : les fusillades. Pas grand chose de nouveau de ce côté-ci, elles sont toujours aussi molles. Le système de couverture, de visée et de déplacement est rigide au possible et il n’est pas rare de rater un virage trop serré à pieds ou de s’assommer en sautant contre un mur. Vos personnages disposent de compétences spéciales qui ne sont rien d’autres qu’une forme de triche légale (ralentir le temps, être invulnérable) dans un jeu qui n’en a franchement pas besoin. Les armes n’ont toujours aucun punch et les ennemis sont stupides quand ils ne sont pas cachés derrières des caisses. Il y a aussi un système de discrétion, mais il est tellement approximatif que vous ne vous en servirez finalement assez peu.

Même si les missions tentent de faire varier les situations, la base du gameplay est tellement médiocre qu’on en revient toujours à pester contre le jeu là où on devrait prendre son pieds. D’autant qu’elles sont extrêmement dirigistes. Ne vous attendez donc pas à vous amuser en dehors des clous sous peine de game over. Comme le jeu n’est pas trop dur si vous êtes patients (votre vie remonte toute seule et vous passez votre vie caché derrière une caisse), ceux-ci sont le plus souvent dus au fait de dévier de l’objectif que d’une vraie et franche mort. Sans compter que les checkpoints vous remettent directement dans le droit chemin, éliminant d’emblée un bon nombre de vos options (n’espérez pas éliminer une cible de loin. Si le jeu n’a pas prévu cette possibilité, il vous place à 3 mètres de la cible après une mort). Les missions offrent un catalogue rapide de tout ce qui se fait dans le jeu, mais sans que vous n’ayez jamais à vous montrer créatif avec ce que vous avez appris antérieurement.

Quant aux braquages, si les premiers laissent entrevoir des possibilités très excitantes, le système tombe lui aussi à plat puisqu'on se contente finalement de valider un des deux plans, de voler 2/3 véhicules et de suivre les instructions. Si encore les missions étaient aussi exaltantes dans leur mise en pratique que ce que les plans laissent entrevoir, mais la médiocrité des phases d’actions couplée à leur répétitivité ne parvient que très rarement à nous faire prendre notre pied. Autre problème : la possibilité de switcher d’un personnage à un autre est pleine de bonnes intentions, mais en pratique, elle découpe souvent l’action en une succession de micro-séquences parfois franchement nulles (quand un des personnages sert de sniper par exemple). La puissance immense que ce pouvoir confère au joueur est d'ailleurs elle aussi problématique. Si le braquage phare de GTA IV réussissait à nous prendre aux tripes, c’était en grande partie par sa capacité à nous immerger de bout-en-bout dans l'action via un unique personnage. Le joueur vulnérable devait faire face à l’imprévisibilité des situations pour sauver sa peau. Dans GTA V, non seulement chacun des trois personnages devient une vraie machine à tuer dans les mains du joueur, mais en plus, passer d’un personnage à un autre permet d’éviter la mort.

Autre déception, en dehors des trois personnages principaux, la plupart des autres membres de l’équipe ne font - au mieux - que de la figuration, et même si certains sont rencontrés une première fois en dehors des missions avant d’être recrutés, ils ne servent au final que de chair à canon interchangeable. On est loin d’incarner un groupe de braqueurs à proprement parler donc. L’histoire se focalise sur une foule de personnages et d’à-côté totalement inintéressants, mais laisse curieusement de côté ce qui aurait pu être intéressant : rencontrer et recruter les membres de son équipe. Et on en arrive ici à l’autre problème majeur de ce GTA V.

Cynisme et ennui au menu ce soir


Certains diront que critiquer le récit d’un jeu n’est pas forcément très utile. On ne saurait leur donner tort, mais dans un jeu aussi bavard que GTA V dans lequel le gameplay est loin d’être l’attrait principal, il faut pourtant bien passer par là. Les problèmes de rythme et la linéarité excessive des missions sont d’ailleurs souvent le résultat direct de la volonté des développeurs de mettre en scène ce triple récit. Le scénario en lui-même n’a rien de particulièrement mauvais, les acteurs sont tous à la hauteur (même s’ils en font des tonnes) et la réalisation est correcte sans plus. Mais comme on le sait, il y a surtout un ton GTA, et cet opus ne déroge pas à la règle.

Parodique et bourré de références, GTA V tente donc de reprendre le flambeau satyrique de son prédécesseur, mais peine pourtant à en retrouver l’efficacité. La plupart des personnages (particulièrement les antagonistes) font tristes mines face à la ribambelle de personnages grand-guignolesques et bouffons du 4ème volet de la série. Bien sûr, certains y verront un portrait au vitriol du monde capitaliste occidental, et c’est sans aucun doute l’image qu'il cherche à donner. Mais ce qui est écrit dans le dossier de presse fournit avec le jeu n'est pas forcément vrai. GTA n'est plus le jeune rebelle provocateur qu'il voudrait être. Pour s'en convaincre, il suffit de voir comme il est soudain devenu le chouchou de toute la presse, ou mieux, de jeter un œil sur Hotline Miami et découvrir à quel point il est aujourd'hui complétement dépassé, et par beaucoup plus brillant que lui...

Dans les faits donc, GTA V multiplie surtout les provocations insipides et clins d’œils aussi agaçants qu'inoffensifs tant il se contente de hurler avec la meute (s'attaquer aux paparazzis ! Quelle audace !). Il passe au crible de ses moqueries aussi bien Pasolini que Facebook sans nécessairement parvenir à être drôle - tout en nous passant du Britney Spears. Et il n'oublie pas évidemment de s'associer aux références biens en vue du moment (les indéboulonnables Sopranos en tête). Non pas qu’il y ait nécessairement un problème à se moquer de tout ou à dresser un immense doigt d’honneur à la face du monde, mais la condescendance et le cynisme avec lesquels GTA V s’attaque indifféremment à tout et n’importe quoi pour avoir l’air cool, tout en étant lui-même devenu un pur produit consensuel de consommation, a quelque chose d’écœurant.

On pourrait faire semblant et prétendre que le jeu n’a pas vocation à faire du discours, mais ce serait passer outre le jugement constant que ce dernier porte sur tout et tout le monde et oublier un peu vite la présence quasi-systématique d’un personnage central de donneur de leçons (Niko, Marston ou ici Franklin, good bad-boys embarqués contre leur gré par des sociopathes, des corrompus ou des idiots tout en nous servant régulièrement leurs commentaires éclairés sur le sens de la vie). Saint Row avait au moins le « bon » goût de prendre ses responsabilités en assumant son inconséquence et sa bêtise jusqu’au bout (allant d’ailleurs jusqu’à placer le joueur dans un monde virtuel pour le IV). GTA V impose sa hiérarchie culturelle mais se réfugie lâchement derrière l’excuse ironique pour justifier sa propre médiocrité et son refus de prendre position sur quoi que ce soit.

Pourtant, quand on arrive à un tel niveau de notoriété, à l’aide notamment d’une campagne marketing omniprésente, difficile d’échapper à la responsabilité de ce qu’on décide de montrer dans son jeu. Et avant de s’extasier sur sa prétendue maturité, il aurait été bon que la presse généraliste se penche, par exemple, sur la séquence de torture, d’un clair mauvais goût. Il n’est pas interdit d’en montrer dans un jeu vidéo, mais encore faut-il avoir les épaules et l’intelligence pour le faire. Même Tarantino, que les défenseurs ne manqueront pas de citer, a depuis longtemps montré la visée de son usage de la violence, intrinsèque à sa réflexion sur le revenge-movie. Le ton tout simplement affligeant employé par le jeu rend cette séquence (obligatoire qui plus est) proprement nauséabonde et montre bien les limites d’une licence qui, drapée dans sa bonne conscience parodique, refuse de se confronter aux problèmes d’une violence qu’elle montre et dont elle fait l’un des ses arguments de vente principal. Sleeping Dogs versait parfois dans le nanard, mais son premier degré se révélait bien plus courageux. Il osait s’attaquer de front à ces questions de violence, de loyauté, d’appartenance au milieu criminel avec une certaine réussite. GTA V ne propose lui qu’une épuisante condescendance et un cynisme immature parsemé de blagues potaches (hohoho Trevor fait caca derrière une caisse avant d’aller torturer un innocent !).

On se demande alors bien pourquoi – et comment - on devrait s’intéresser à ce qu’il a à nous dire : Michael, à ses histoires de famille, à ses séances de psy, ou bien les sempiternels dialogues caricaturaux. La palme de la bêtise revient sans doute au « psych report » final, qui fait peine à voir en comparaison à l’usage qu’en ont fait des jeux comme Lone Survivor ou The Walking Dead (avec ses statistiques). Quelle valeur peut avoir le jugement d’un jeu n’offrant aucune liberté éthique au joueur et se moquant de tout contenu ?

L'art et la manière de perdre son temps


Le vide donc, problème principal d’un jeu qui parle pour ne rien dire, qui nous fait perdre notre temps dans d’innombrables activités inutiles et insipides... A l’image des sectes que le jeu parodie, ou de nos trois héros qui le plus souvent travaillent sans toucher de récompense. C’est dans son rapport à la temporalité que GTA trahi le mieux sa propre vacuité. Pour un jeu qui semble vouloir faire figure de projet total, englobant aussi bien les fonds marins que la bourse virtuelle, il est curieusement incapable de prendre en compte le passage du temps. Que ce soit pour ses qualités ludiques ou narratives, cet élément est mystérieusement absent. S’il propose par exemple de passer d’un personnage à un autre, il n’exploite jamais les mécanismes de simultanéité que la fonctionnalité appelle. Les braquages, curieusement, ne mettent jamais en jeu des contraintes de temps. Le simple fait d’imposer au joueur un agenda pour certains casses (à la Dead Rising mais en plus souple) aurait pu être une bonne façon de casser la linéarité des missions en redonnant une liberté d’action au joueur tout en lui fixant un des objectifs.

Mais GTA V préfère fonctionner en flux constant, balançant sans relâche au joueur des occupations illusoires. Contrairement à GTA IV, tout est d’ailleurs immédiatement accessible et ouvert. On peut se rendre auprès de chaque bâtiment, et une fois arrivé constater évidemment qu’il n’y a en fait rien à y faire. Au temps donc, GTA V oppose la surface : étendue immense d’un territoire à parcourir, façades de maisons sans intérieur, dialogues, scénario et personnages hauts en couleur mais complétement creux. Tout ça relève presque d'une anxiété du vide à laquelle le jeu n'oppose rien d’autre que le remplissage des trois prochaines minutes, les multiples activités ne servant alors qu’à donner au joueur l’illusion d'une richesse et d'une épaisseur que le jeu ne possède pas.

Qu’on le compare par exemple à Shenmue autre jeu « total » qui, sur un principe similaire, proposait au joueur de perdre son temps. Certains passages de GTA nous le rappellent d’ailleurs (sur les docks, quand on s'occupe du chien). Mais là où Yu Suzuki faisait du vide une notion pleine, ramenée à une échéance lointaine mais bien réelle, formalisée par l’écoulement des heures, des jours et des saisons, GTA V se place dans une logique de consommation irréfléchie et inconséquente de notre propre temps.

Tout cela finit par épuiser et une question se pose alors : au delà de la fantastique découverte d’un territoire, le jeu a-t-il quelque chose à offrir ? Pas forcément tant il peine à livrer autre chose de convaincant, faisant finalement pâle figure face à la cohérence mal dégrossie de Sleeping Dogs, ou même la liberté et la folie vulgaire et décomplexée de Saint Row IV. Quand GTA tente de remplacer le skin de ses ennemis par des clowns ou des aliens pour une phase de shoot identique à tous le reste du jeu, il ne risque pas de nous convaincre qu’il est déjanté mais il nous montre tristement une fois de plus qu’il ne travaille que la surface, le skin, et non ce qui a fondamentalement besoin d’être repensé et amélioré.

C’est bien tout le problème de GTA V, le jeu est profondément bête et médiocre mais ne se remet pas vraiment en cause. On préfère au final rouler tranquillement et profiter du seul aspect réussi : son territoire. Le jeu n’a d’intérêt qu’à perdre son temps selon ses propres modalités. Cela suppose de prendre congé de la vulgarité criarde de son écriture et de son gameplay poussif, fuir les coups de téléphones familiaux et professionnels, les activités stupides et les mini-jeux sans intérêts pour retrouver le pur plaisir vain de rouler librement. Se fabriquer sa propre expérience, par défaut purement visuelle puisque le jeu ne propose rien d’autre, plutôt que de le remplir d’inepties. Sur ce terrain, GTA reste impérial.

Reste tout de même une perspective alléchante : que le multijoueur donne enfin le pouvoir au joueur d’investir Los Santos pour y construire et y proposer sa propre expérience. On attend avec impatience de voir ce que ça va donner et on espère qu'il faudra revenir sur l’impression assez mitigé que nous laisse cette partie solo.
Testé à partir d'une version commerciale.
À vouloir tout faire entrer dans son jeu, Rockstar semble oublier que quantité ne fait pas nécessairement qualité. GTA V est un jeu à double tranchant. Impressionnant mais peu amusant, il fournit le superflu mais oublie la substance : qu'un jeu ne peut pas être seulement une accumulation de gadgets avec du vide autour, aussi bien emballé soit-il. Dans l’état, on ne peut bouder son plaisir de voyager à Los Santos, mais pour ce qui est du jeu à proprement parler, on repassera. Reste à espérer que le multi puisse enfin nous offrir le jeu qu'on espère.
SLICE Les plus beaux screenshots de la communauté
Soutenez Factornews.com

Tribune

Laurent
(14h48) Laurent BeatKitano > ça reste visiblement assez artisanal
BeatKitano
(14h23) BeatKitano [help.metafy.gg] Mis-re.
BeatKitano
(14h22) BeatKitano "Where the best in the world, become the best in the world." Tout un programme [metafy.gg]
BeatKitano
(14h21) BeatKitano "metafy" avec un nom comme ça on sait déjà ce qui nous attends.
Laurent
(14h20) Laurent (13h15) le temps nous le dira
BeatKitano
(13h15) BeatKitano (22h07) Laurent > Ben tu vois c’est peut-être une bonne idée que GOG s’y mette [resetera.com]
Mascouell
(09h05) Mascouell choo.t > je suis plus chez moi depuis plusieurs jours mais je testerai, merci.
Monday 16 June 2025
BeatKitano
(14h17) BeatKitano Je suis confusion [youtube.com]
Sunday 15 June 2025
Samax
(12h17) Samax Mais le mélange entre Death Stranding, Fallout Shelter et le côté jeu de Survie marche super bien.
Samax
(12h03) Samax un potentiel assez dingue à ce niveau.
Samax
(12h02) Samax Sir_carma > J'ai passé la soirée dessus hier, j'ai beaucoup aimé aussi. Le seul truc qui l'empêche de vraiment briller je trouve c'est son écriture. Les dialogues ne sont pas très bien écrits, c'est pas super inspiré... C'est dommage parce qu'il y avait
Saturday 14 June 2025
choo.t
(22h24) choo.t Mascouell > (20h21) Pas chez moi, t'as essayer de vider la cache de maps ?
Mascouell
(20h56) Mascouell Zaza le Nounours > Sur Youtube ils avertissent (parfois) mais te laissent regarder, pour le moment. Donc à part switcher de adblock à ublock, je n'ai jamais rien eu à faire sous Chrome. Mais c'est effectivement une question de temps.
BeatKitano
(20h49) BeatKitano Zaza le Nounours > Ça va venir ils ont déjà intégré un delay sur youtube pour firefox et je lis que certains ont des countdown... de blocage (3 vidéos et plus rien) heureusement les filtres ublock origin sont mis a jour souvent.
Zaza le Nounours
(20h48) Zaza le Nounours Ca marche même sur Youtube (pour l'instant ?), j'ai zéro pub sur les vidéos. Et ça marche aussi très bien pour la version mobile de FF.
Zaza le Nounours
(20h48) Zaza le Nounours Oh ben ça fait un moment qu'ils ont serré la vis à mort pour les adblockers sur Chrome. Avec FF j'ai aucun soucis, j'avais switché il y a quelques mois quand ils avaient annoncé la fin de la récré.
BeatKitano
(20h41) BeatKitano Au passage si certains d'entre vous sur firefox ont des prbs avec youtubes ces derniers temps: spoof l'user agent de chrome peut aider.
Mascouell
(20h39) Mascouell Zaza le Nounours > bon à savoir, ça pourrait devenir mon alternative si Google devient de plus en plus sévère avec les extensions Chrome.
BeatKitano
(20h36) BeatKitano C'est le mot magique. Un browser pour le web et un autre pour les merdes a tonton google :D
Zaza le Nounours
(20h35) Zaza le Nounours Mascouell > chez moi ça marche (sur Firefox).
wdaq
(20h27) wdaq (20h05) 11Bits a fait un bond maitrisé à tout les niveaux.
Mascouell
(20h21) Mascouell Blank screen Google Maps avec uBlock Origin maintenant :(
Sir_carma
(20h05) Sir_carma Pas ouffissime mais assez unique The Alters. C'est frais, ça fait du bien
BeatKitano
(19h40) BeatKitano choo.t > Merci. Va falloir que j'édite par contre vu que Ctrl+Q chez moi ça tue la fenetre (coucou d'une nouvelle fenetre du coup)
choo.t
(19h11) choo.t remplacer fucked par ꬵυcked a suffit.
choo.t
(19h10) choo.t BeatKitano > [pastebin.com]
Laurent
(18h58) Laurent (17h31) c'est en cours. Le début est prometteur mais la démo nous l'avait déjà dit. On va voir quel bazard se produit avec plusieurs Alters à gérer en plus de la planète la moins hospitalière de l'univers
BeatKitano
(18h55) BeatKitano Ahahah.
choo.t
(18h54) choo.t Mhhh, j'voulais te passer l’userscript en pastebin mais celui-ci considère que c'est du contenu offensant. Je ne me suis jamais tant senti insulté sur mon code.
BeatKitano
(18h44) BeatKitano (18h10) J'ai plus l'extension j'ai wipé mon ordi. Mais c'est un peu moche de devoir utiliser du code externe pour corriger un bug connu.
choo.t
(18h11) choo.t et en bonus, ça ne quote que la partie sélectionnée du commentaire, pas le commentaire entier.
choo.t
(18h10) choo.t BeatKitano > (17h39) Ah si t'as cette erreur là c'est corrigé avec l'extension que je t'avais passé, quand t'utilise les raccourcis clavier de celle-ci (ctrl+q pour la quote) c'est le code de l'extension qui génère la quote et non le site.
Nicouse
(17h39) Nicouse Samax > Eurogamers semble avoir apprécié [eurogamer.net]
BeatKitano
(17h39) BeatKitano Bien souvent ça merde quand je veux répondre a commentaire et quelqu'un d'autre a répondu entre temps. Le timestamp du message peut-être ? J'en sais rien.
BeatKitano
(17h38) BeatKitano choo.t > Ça marche mais je pense que c'est conditionnel et j'arrive pas à reproduire (ça parait super random). J'ai pas cherché a comprendre pourquoi mais je suis pas sur que dans mon cas ce soit lié a la pagination.
Samax
(17h31) Samax Sinon quelqu'un ici a testé The Alters? Le trailer m'avait bien intrigué à l'époque, et ça vient tout juste de sortir, mais dans l'indifférence générale j'ai l'impression
Samax
(17h28) Samax ptitbgaz > C'est un bug vieux comme la v4, et ça me saoule régulièrement aussi, mais comme dit plus bas le workaround fonctionne
Samax
(17h25) Samax BeatKitano > Merci pour la reco, je vais tester ça !
ptitbgaz
(16h57) ptitbgaz choo.t > (16h37) Bien vu ça fonctionne même si c'est moins intuitif et pratique. Merci.
choo.t
(16h48) choo.t Genre essaye de cité un des premiers coms' ici : [factornews.com]
choo.t
(16h47) choo.t BeatKitano > Je suis désolé d'utiliser ce poncif éculé : Ça marche chez moi.
BeatKitano
(16h45) BeatKitano choo.t > Ton workaround marche pas. J'ai le même problème et je suis obligé de faire le quote en manuel. Et je vais jamais sur le forums.
choo.t
(16h37) choo.t ptitbgaz > (11h52) C'est pareil pour tout le monde, le work-around c'est de lire les com depuis la news et non depuis le forum (car tous les coms y sont sur une seule page)
ptitbgaz
(12h37) ptitbgaz Sinon une petite brève sur le Steam Fest ? ça permettrait de laisser des conseils dans les coms. Ce serait cool.
ptitbgaz
(11h52) ptitbgaz En fait, ça fonctionne bien avec les posts de la dernière page mais pas les précédentes. Une idée ? Merci.
ptitbgaz
(11h51) ptitbgaz Salut les tauliers du site, j'ai régulièrement un problème quand je veux faire un commentaire en citant un autre post. ça me met : "Une erreur s'est produite lors de la tentative de citation du commentaire".
Friday 13 June 2025
BeatKitano
(20h37) BeatKitano Samax, toi qui voulais utiliser Tabby. Je te conseille Ghostty: super simple a configurer, des tabs, des vues scindables et c'est du natif donc pas de paquet débile et lent [ghostty.org]
Thursday 12 June 2025
Requiem
(21h41) Requiem [youtube.com]
Requiem
(21h41) Requiem Blooper Team travaillent sur le 1er Silent Hill.
Wednesday 11 June 2025
choo.t
(16h14) choo.t Big Apple > C'est heureusement un clause qui n'est dans les CLUF Nintendo en Europe. Vivement les analyse poussé pour voir combien d'e-fuse Nintendo a collé dans la switch 2.
Big Apple
(14h40) Big Apple je pensais que ça s'arrêtait au bannissement des serveurs, pas à une destruction de la machine à distance
Laurent
(12h56) Laurent (11h05) Yep, on l'a évoqué ici [factornews.com]
Big Apple
(11h05) Big Apple Je ne sais pas si on en a parlé ici mais Nintendo se réserve désormais le droit de bricker la switch 2 en cas de tentative de piratage. Je ne serais pas étonné que ça pose des problèmes avec des jeux achetés d'occasion...
choo.t
(10h03) choo.t Gurvy > C'est un cut et reupload de la premiere : [youtu.be]
Tuesday 10 June 2025
Gurvy
(23h42) Gurvy Death Stranding 2 cutscene sur Tomorrow… : [youtu.be]
Dark Kariya
(18h49) Dark Kariya "Supporter" dans le sens de "Proposer" ici. Désolé pour la surinterprétation.
BeatKitano
(15h36) BeatKitano Dark Kariya > "Supporter " en ce qui me concerne ce serait plutot un anglicisme vu que mon français se déteriore.
Dark Kariya
(14h56) Dark Kariya Après, je ne critique pas le peu de choix au démarrage (vu le précédent DF Unity et autres), j'avais peur que tu surinterprétais leur nouveauté en parlant de "supporter les mods" (qui avec leur com' ne serait pas étonnant)
Dark Kariya
(14h51) Dark Kariya N'existait pas, oui et non: GOG faisait des "Mod Spotlight" depuis pas mal d'années sur leur site, parfois en collab' avec Nexus, et avait lancé un ballon d'essai avec Fallout London et un DaggerF Unity modé maison (qui a sauté faute de suivi chez eux).
BeatKitano
(13h17) BeatKitano Faut pas oublier aussi que tu peux acheter un jeu que t’as pas avec le mod et que donc ça a sûrement des implications légales avec les détenteurs de copyright. Donc que ce soit limité s’explique aussi par ça
BeatKitano
(13h13) BeatKitano Dark Kariya > oui. J’ai dit le contraire ? On peut pas vraiment leur reprocher de pas être exhaustif quand ils fournissent une option qui n’existe pas avant. Si?
Laurent
(13h01) Laurent Dark Kariya > Nexus a aussi son installeur en 1 click
Dark Kariya
(12h00) Dark Kariya Beat> Connaissant GOG + le côté curatif, ça se limitera à du "Modding pour les nuls" (avec 1 installeur par Total Conversion/gros mod) qu'à un véritable support des mods (et planter un couteau dans le dos de Nexus par la même occasion)
BeatKitano
(10h07) BeatKitano Laurent > faut bien commencer quelque part et puis ils peuvent pas intégrer tous les mods d’un coup hein. Entre les prb de copyright et les risques de sécurité… je vois ça comme un appel à contributions.
Monday 09 June 2025
Laurent
(22h07) Laurent (19h59) pour 7 jeux
Mimyke
(21h16) Mimyke (19h59) BeatKitano > Cool, ça va me servir pour Skyblivion
BeatKitano
(19h59) BeatKitano GOG supporte les mods maintenant [gog.com]
Latium
(15h19) Latium das_Branleur > " a DnD Paladin in real life " C'est exactement ça en effet.
Fwdd
(08h27) Fwdd Ah bah c'est une serie syfy hein, on est pas chez HBO.
BeatKitano
(06h53) BeatKitano Après j'avoue, je suis pas fan de l'acteur. Je le trouve pas très bon.
BeatKitano
(06h52) BeatKitano Holden est le perso le plus faible du groupe. Mais justement je trouve ça cool. Parce qu'on a pas le héro badass commun. On a un mec qui réagit a son entourage, pas un objet qui sert a raconter une histoire. The Expanse c'est pas lui. C'est le monde.
BeatKitano
(06h47) BeatKitano CBL > MILLER §
das_Branleur
(05h06) das_Branleur Ce post explique très bien le cas Holden [reddit.com]
das_Branleur
(05h03) das_Branleur Mais c'est Holden (le héros) qui est absolument infect... Là aussi, c'est censé être son rôle, mais franchement c'est insupportable tout du long, je pense qu'ils auraient dû travailler l'alchimie entre la fidélité au bouquin et le rendu final.
das_Branleur
(05h00) das_Branleur CBL > C'est une très bonne actrice, très charismatique ; mais son rôle l'oblige a jurer constamment et je trouve qu'avec elle ça passe pas. Du tout. En tout cas pas pour moi.
CBL
(04h31) CBL [youtube.com]
CBL
(04h30) CBL Mais ... mais ... Shohreh !
das_Branleur
(04h03) das_Branleur Charismes d'huîtres et hyper-exagération de leurs traits, c'est assez frustrant. Faut bien ça pour être au centre d'un tel space opera, mais putain, ils ont pas su trouver le juste milieu et certains sont juste infects (le héros notamment)
das_Branleur
(03h56) das_Branleur Sinon tout le monde a bien résumé : la série est pas mal si on veut regarder de la SF, surtout de la SF qui se passe dans l'ESPACE (c'est terriblement rare). Y'a des moments mous, d'autres vraiment top. Les héros sont le plus gros point faible de la série
das_Branleur
(03h52) das_Branleur Requiem > (the "Expanse" plutôt ; comme the "Expendables", changer le "a" en "e" et vice-versa change vraiment touuuut le sens des noms :p Genre "l'Expansion" devient "La Dépense", et "les Sacrifiables" devient "les Ecartables" feat. la Fistinière)
Sunday 08 June 2025
Nicouse
(22h57) Nicouse Ah ben tiens donc, ça pourrait faire évoluer les choses. [youtube.com]
BeatKitano
(21h30) BeatKitano Outer worlds 2: 80 balles. Je t'aime bien obsidian mais tu peux rejoindre nintendo.
Latium
(21h02) Latium Connard > C'est vrais que l'hyper gentil et ultra moralisateur héro était insupportable. Mais j'ai bien aimé la série quand même.
Fwdd
(20h13) Fwdd Moi ca me va bien que tout tourne autour du rossinante.
Fwdd
(20h12) Fwdd Connard > bah c'est un star trek avec une approche plus realiste de l'exploration spaciale. Je comprends parfaitement ton point de vue, mais perso j'aime plutot la formule de la petite equipe qu'on suit.
BeatKitano
(19h44) BeatKitano Names_checksOut
Connard
(19h44) Connard Et s'en sortent toujours très bien !
Connard
(19h44) Connard Tellement hard que trois ou quatre connards se retrouvent au milieu de TOUS les complots du système solaire
Connard
(19h43) Connard L'intro du trailer me fait revivre exactement la même chose, avec les super-héros en "hard SF"
Connard
(19h43) Connard Les perso principaux de la série étant des super-héros m'a bien gavé. J'pouvais plus encadrer le perso principal, sympathique comme une porte de prison, que tout le monde loue et dont on chante le charisme à longueur de temps alors que lol.
BeatKitano
(18h52) BeatKitano On dirait bien un mass effect dans l'univers The Expanse et la réaction c'est juste "Fuck yeah"
BeatKitano
(18h50) BeatKitano Fwdd > (22h34) Moi je suis super hype [youtube.com]
BeatKitano
(15h45) BeatKitano Perso c'est l'aspect hard sf qui me l'a vendu, ça et certains persos hauts en couleurs. Après le fond de l'histoire est plutot conventionnel. Y'a que le scope qui rend le truc un poil plus intéressant. Faut aimer la sf quoi.
Muchacho
(14h49) Muchacho Requiem > J'ai beaucoup aimé la première saison parce qu'il y avais de l'investigation. Ensuite c'est devenu un peu plus classique. Si j'avais su j'aurais lu les livres plutôt.
Le vertueux
(14h49) Le vertueux Requiem > Il y a des hauts et des bas, faut regarder tout d'un coup pour ne pas souffrir des passages un peu mous. Mais ça reste top.
Fwdd
(14h19) Fwdd Après ouais, y'a des stéréotypes, c'est parfois un peu cheap, mais ca reste suffisamment inédit et particulier pour mériter sa chance.
Fwdd
(14h17) Fwdd Ouais, pour pas mal de raisons, l'approche hard SF, les bastons spatiales uniques, le scope.
Requiem
(14h07) Requiem C'est bien The Expense? J'avais vu le 1er épisode, les persos me semblait très stéréotypés, du coup j'en suis resté là dessus j'ai pas continué.
Saturday 07 June 2025
BeatKitano
(22h36) BeatKitano Je suis tellement resté sur ma faim avec la serie que n'importe quoi de plus que les bouquins fait de manière compétente est un achat. Oui même le truc telltale là...
Fwdd
(22h34) Fwdd J'ai de l'espoir (je m'emballe pas mais ca peut le faire).
Rechercher sur Factornews