En ce moment et pour quelques jours se tient le procès tant attendu des ex-employés haut placés d'Ubisoft, accusés de harcèlement moral et sexuel, voire de tentative d'agression sexuelle pour l'un des trois accusés. La grosse affaire de 2020, mise en lumière par Libération, va enfin pouvoir se terminer, ou presque.

Lire la suite sur le site : [Prise chaude] Le procès du moment.

J'ai bien aimé quand la journaliste précise dans son fil que la témoin qui était l'assistante du numéro 2 (et ne tarit pas d'éloges sur lui) est maintenant l'assistante du numéro 1...

Merci pour la prise.

Merci, j'aime beaucoup le ton de votre article.

Merci pour les infos, esperons que la justice sera exemplaire... Mieux vaut tard que jamais !

Il ne faut pas se faire d'illusion, les trois en question vont s'en tirer à bon compte.
Ce serait très étonnant qu'un seul d'entre eux se retrouve sanctionné d'une peine sévère, comme par exemple de la prison ferme.
Pour des faits d'une gravité supposée supérieure, j'en ai déjà vu s'en sortir plus que bien.
Et niveau dommages et intérêts, on le sait, le système français c'est certainement pas celui des États-Unis.
La grosse anomalie, c'est l'absence de la direction à ce procès, pas de Yves Guillemot, pas un seul DRH...
Si je ne me trompe pas, ils ne sont même pas appelés à témoigner à la barre.
Ni soutien des victimes, ni responsable du laisser faire, c'est plutôt confortable.
C'est pour celles et ceux qui ont témoigné que ça risque de devenir compliqué.
Je ne serais pas surpris que la plupart deviennent ou soient déjà tricards dans cette industrie.

"Des peines allant jusqu’à trois ans de prison avec sursis ont été requises, jeudi 5 juin, contre les trois anciens hauts cadres d’Ubisoft accusés de harcèlement sexuel ou moral. Le tribunal rendra sa décision le 2 juillet. "
Cf. Le monde.fr : https://www.lemonde.fr/jeux-video/article/2025/06/06/au-proces-ubisoft-les-justifications-maladroites-des-ex-cadres-accuses-de-harcelement-les-temps-ne-sont-plus-les-memes_6610849_1616924.html