On apprend sur Ratiatum qu'un grand nombre de morceaux du dernier album de Robbie Williams (pas encore dans les bacs) disponibles sur les réseaux peer to peer seraient des fakes.

On imagine le drame que vivent des centaines de gamines pré-pubères à travers le monde en ce moment même, se rendant compte que la cacophonie téléchargée se termine abruptement au bout de 30 secondes. En outre, on peut se demander dans quelle mesure les maisons de disques (celles-la mêmes qui demandent actuellement un "droit au piratage" à la justice américaine) seraient impliquées dans cette affaire ...
Quoi qu'il en soit, cette démarche démontre une fois de plus que la mauvaise musique n'est pas un système anti-piratage suffisament fiable.

Lire la suite sur le site : Le chant des chèvres.