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ACTU

Switch 2 : les mises à jour seront sur les cartouches

CBL par CBL,  email  @CBL_Factor
Nintendo continue de clarifier les trucs un peu flous de la présentation de la Switch 2, cette fois pour parler des éditions "Switch 2" des jeux "Switch". Si vous achetez la version cartouche d'une édition "Switch 2" (au hasard celle de Tears of the Kingdom), la cartouche comprendra le jeu et la mise à jour Switch 2. Vous n'aurez rien à télécharger. Attention par contre : cela ne concerne que les jeux Nintendo. Les éditeurs tiers sont libres de vous vendre des codes eShop. Au passage, comme Nintendo est radin jusqu'au bout, Breath of the Wild édition Switch 2 ne comprendra pas les DLC payants sortis pour le jeu...
 

Commentaires

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choo.t
 
Ça fait donc, de nouveau, 90€ pour le jeu complet, pour un vague lifting d'un jeu sortie 8 ans plus tôt sur Wii U à 60 balles.

Y'a pas à chier, cautionner ça en achetant quoi que ce soit de Nintendo devrait être considérer comme du terrorisme envers le JV accessible et abordable, il est parfaitement clair qu'ils feront tout ce qui est en leur pouvoir pour faire grimper les prix du JV, et par la même, leur profit.
Ricardo
 
Du coup, si j'ai bien compris, tu l'a préco choo.t ?
Frostis Advance
 
Ricardo a écrit :
Du coup, si j'ai bien compris, tu l'a préco choo.t ?

Je pense qu'il a pris un billet d'avion pour Kyoto et qu'il fera la grève des jeux vidéo devant les bureaux de Nintendo.
Foutu entreprise qui veut faire de l'argent sans virer des employés ! C'est des méchants !
Zaza le Nounours
 
choo.t
 
Frostis Advance a écrit :
Je pense qu'il a pris un billet d'avion pour Kyoto et qu'il fera la grève des jeux vidéo devant les bureaux de Nintendo.

Non, ce serait ni écologique ni efficace, par contre y'a de grande chance que je soutienne les projets d'émulation, de reverse engineering et autres joyeusetés.

Frostis Advance a écrit :
Foutu entreprise qui veut faire de l'argent sans virer des employés ! C'est des méchants !

S'il suffit d'avoir un motif financier pour justifier toutes les bassesses, alors on a la boussole morale d'un ferengi.

Puis c'est marrant, ça fonctionne pour toutes les entreprises, BP, Philip Morris, Palantir et j'en passe.
CBL
 
choo.t a écrit :
Ça fait donc, de nouveau, 90€ pour le jeu complet, pour un vague lifting d'un jeu sortie 8 ans plus tôt sur Wii U à 60 balles.


L'age d'une oeuvre devrait elle avoir une influence sur son prix?

Si tu achètes le vynil de Dark Side Of The Moon, il te coûtera le même prix que celui d'un album récent.
BeatKitano
 
CBL a écrit :

Si tu achètes le vynil de Dark Side Of The Moon, il te coûtera le même prix que celui d'un album récent.


Comparaison un peu foireuse dans le sens ou le vinyle reste un marché de niche avec un tirage limité donc forcément le prix est (a l'évidence surcoté) mais "justifiable".
CBL
 
Ne fait pas celui qui ne comprend pas. Même à l'époque des CDs c'était pareil. Que ce soit un album récent ou pas, tu le payais le même prix à la FNAC. C'était plus la popularité de l'album que son âge qui faisait une différence. Les daubes finissaient dans le bac "tout à 5 balles" tandis que les classiques ne changeaient pas de prix voir été réédités à un prix encore plus cher.
choo.t
 
CBL a écrit :
Si tu achètes le vynil de Dark Side Of The Moon, il te coûtera le même prix que celui d'un album récent.

Ah bha, c'est pas moi qui vais dire du bien de l'industrie du disque ou du fait qu'un album qui a plus de 50 ans soit toujours hors du domaine public.

CBL a écrit :
L'age d'une oeuvre devrait elle avoir une influence sur son prix?

Bha, si tu me demandes mon avis personnel : Oui, clairement.

Dans les faits, c'est quelques chose d'assez entendu:
• c'est le fonctionnement général des titres sur Steam :
     • soit par une baisse de prix directe (plus rare).
     • soit par des promotions de plus en plus dégressives avec l'age du jeu.
     • Y'a des exception, par exemple les dev de Factorio s'oppose à toutes promos ou baisse de prix.
• C'était aussi le fonctionnement des titre "Platinium/Gold/White Label", qui ressortait à prix réduit après avoir atteint X millions de vente.


Quelques exemples pris sur l'historique ITAD :
Red Dead Redemption 2 (pourtant Take-Two n'est pas connu pour être bon prince)

Cyberpunk 2077

Call of Duty: Modern Warfare 3 (2011)

Nier: Automata™ Game Of The Yorha Edition

Prey (celui de 2017, la même année que Breath of the Wild, sujet de la news)



CBL a écrit :
C'était plus la popularité de l'album que son âge qui faisait une différence. Les daubes finissaient dans le bac "tout à 5 balles" tandis que les classiques ne changeaient pas de prix voir été réédités à un prix encore plus cher.

Historiquement c'était pas le cas pour le JV (voir plus haut sur les jeux Platinium,White Label, etc), et même actuellement, c'est assez minoritaire (hormis chez Nintendo qui est connu pour conserver les prix au plus haut et faire très rarement de promos, mais je vois pas en quoi y’aurai de quoi s'en réjouir ou y voir le moindre intérêt pour les joueurs).

J'ai encore ma boite de Baldur's Gate en White Label, qu'on peut difficilement traiter de daube, et je ne l'aurais probablement jamais acheté si j'avais du le payer plein pot, dito pour mon God of War PS2.
CBL
 
Tu ne réponds pas vraiment à ma question. Les baisses de prix, promo, rééditions... sont des réponses au marché. Le but est de relancer les ventes pour être plus compétitif.

Mais je ne pense pas que l'âge d'une oeuvre devrait affecter son prix. A une époque où la course aux graphismes donnait l'impression que les vieux jeux étaient datés, l'âge d'un jeu avait peut-être de l'importance.

Mais on est arrivé à une époque où il devient dur voir impossible d'estimer la date de sortie d'un jeu juste en regardant les graphismes. Pour savoir qu'un jeu est ancien, il faut littéralement regarder la date de sortie. Typiquement Super Meat Boy est sorti il y a presque 15 ans à $15. C'est toujours son prix hors soldes. Et c'est logique. C'est toujours aussi fantastique. Il n'y a pas d'usure. Ca tourne sans problème sur les machines modernes y compris le Steam Deck. Il n'y a pas de perte de qualité ou de dépréciation.
choo.t
 
CBL a écrit :
Tu ne réponds pas vraiment à ma question. Les baisses de prix, promo, rééditions... sont des réponses au marché. Le but est de relancer les ventes pour être plus compétitif.

Bha justement car la valeur perçue des produits est moindre que son prix initialement demandé.

CBL a écrit :
Typiquement Super Meat Boy est sorti il y a presque 15 ans à $15. C'est toujours son prix hors soldes.

Bha j'ai répondu à ça, que le prix hors-solde n'est pas indicateur du prix réellement demandé, car la fréquence et la portée des soldes représente la valeur réellement attendu (et ça se retrouve sur les volumes écoulé durant/hors solde). Et justement, Super Meat Boy, il passe sa vie en solde, quasiment personne ne l'achète à 15 balles :


CBL a écrit :
A une époque où la course aux graphismes donnait l'impression que les vieux jeux étaient datés, l'âge d'un jeu avait peut-être de l'importance.

Mais on est arrivé à une époque où il devient dur voir impossible d'estimer la date de sortie d'un jeu juste en regardant les graphismes. Pour savoir qu'un jeu est ancien, il faut littéralement regarder la date de sortie.

Ça me parait un position compliquée à tenir alors que les remaster/remake de jeux récents sont foison, rien que cette news en est l'exemple, et la news suivante, celle sur The Last of Us, c'est littéralement un jeu de 2013 qui a eu un remaster en 2014 et un remake en 2022. Et je suis sûr que si je poste un screen de la version initiale et un du remake, tu n'hésiteras pas une seconde à correctement dater les deux. (e.g 1, 2, 3, 4)
Rien qu'aujourd'hui sort le remaster de Talos Principle, et là aussi, ça saute aux yeux.

CBL a écrit :
C'est toujours aussi fantastique. Il n'y a pas d'usure. Ca tourne sans problème sur les machines modernes y compris le Steam Deck. Il n'y a pas de perte de qualité ou de dépréciation.

Je te rejoins qu'il n'y a pas d'usure à proprement parler (du moins pour les jeux PC en démat, modulo le boulot pour les faire tourner sur du matos moderne, ceux qui se voulait être la plus-value de GOG), mais en conclure que l'absence d'usure justifie une constance dans le prix ne va pas de soit, y'a plein de domaines ou y'à dépréciation sans usure :
   • Les fringues soldé car la nouvelle collection arrive.
   • J'ai un doute que grand monde ne mette le prix du neuf pour un Photoshop 1.0 ou un Windows 98 (pourtant c'est aussi du software).
   • une GTX 980 Ti, même sous blister, t'auras du mal à la vendre à son prix de 2015.
   • une Fiat Punto I, même avec 0 km au compteur et une révision de toute pièces, seul un collectionneur aussi fortuné que timbré t'en donnera un prix égal à celui de 99'.
Zaza le Nounours
 
CBL a écrit :
Mais on est arrivé à une époque où il devient dur voir impossible d'estimer la date de sortie d'un jeu juste en regardant les graphismes.

Ca c'est bien vrai, tu regardes le Mario Kart de la Switch 2, t'as du mal à croire que c'est un jeu sorti en 2025 et pas en 2008.
CBL
 
choo.t : de tous tes exemples, le seul qui est vaguement valable est Photoshop 1.0 et Windows 98. A part les nostalgiques, rares sont les gens qui achètent une vieille version de FIFA ou NBA 2K. Mais Super Meat Boy, il y en a eu deux en tout et pour tout : l'original et la version "Forever" qui est radicalement différente et qui ne rend pas l'original obsolète.
choo.t
 
Je ne cherche aucunement à dire qu'il est obsolète, mais qu'il n'y a pas besoin de l'être pour que le prix soit déprécié.

J'ai apporté des chiffres qui prouvent cette tendance, j'peux souligner d'autres phénomènes qui vont en ce sens(des jeux, mêmes légendaires, qui ne sont plus commercialisés faute de valeur commerciale, comme l'intégralité des Unreal par exemple), mais je ne vois pas grand chose qui vienne remettre en question cette constatation.

Par contre, c'est un peu différent sur consoles, entre autre par manque de rétrocompatibilité, qui font qu'une ressortie, même plus chère, devient souvent la seule façon (légale) d'y jouer, soit par manque de "scaling" : quand la rétrocompatibilité est présente, mais ne permet pas de jouer dans les conditions "moderne" (exemple assez typique ici, avec un patch payant qui change la résolution de sortie et débloque le framerate, deux choses qui sont fournie d'office sur les jeux PC).
GTB
 
Zaza le Nounours a écrit :
Ca c'est bien vrai, tu regardes le Mario Kart de la Switch 2, t'as du mal à croire que c'est un jeu sorti en 2025 et pas en 2008.


J'avoue, j'ai ri.

Sinon, again, la question de bon prix n'a pas de bonne réponse absolue. La meilleure réponse admise est celle de l'offre et la demande. Le bon prix d'un point de vue commercial est celui que le vendeur est prêt à afficher et les clients prêt à payer. La notion de valeur, intrinsèquement liée au prix, est assez complexe et elle est modulable (notamment par l'émotion, ou la nécessité).
Pour savoir si Mario Kart World vaut son prix; il faut attendre et voir comment il se vend.

Et vous parlez l'un et l'autre de 2 choses différentes. Choo parle de faits sur les marchés, CBL parle de valeur théorique.
ptitbgaz
 
Choot a un langage et une rhétorique de juriste et cherche à établir une sorte de jurisprudence imaginaire qui irait dans l'intérêt des joueurs (enfin des acheteurs pour le coup) à coups d'arguments moraux.
Dans le fonds, je suis pas forcément en désaccord avec lui (surtout sur Nintendo même si utiliser le mot "terroriste" verse dans l'argumentaire lfiste racoleur). Mais comme le dit GTB, il oublie (ou élude) une loi qui est la seule qui vaille in fine (sur les produits de loisir) : la loi du marché. Tant que ça se vend...
Au consommateur d'être acteur et de les sanctionner : "Quand on pense qu'il suffirait que les gens n'achètent plus pour que ça ne se vende pas ! -
Ou alors on pirate. Et quand on voit la politique de Big N ou Sony avec TLOU, ce n'est pas moi qui vais faire la morale.
DAZN en a déjà fait les frais dans le foot français.
Jaco
 
Personnellement je pense qu'un jeu ou une oeuvre devrait perdre de la valeur neuve avec le temps. Il n'y a pas si longtemps on avait à la Fnac et hors promo du StarCraft ou du AoE 2 dans des gammes classique à 5€/10€ neuve. Ou des gammes classique style platinium sur PlayStation. Car il faut passer à autre chose passé le plafond de verre.
Nintendo ne joue pas le jeu même avec 5 ans d'ancienneté leurs jeux first party ne change pas de prix radicalement. Et ça ce ressent méchamment sur l'occasion, tu peux même pas faire des économies un Zelda coûte toujours 50€ en occase 7 ou 15 ans après sa sortie.
Certain éditeurs sont différents (Bethesda nécessite pas à faire perdre 30/40% d'un jeu moins de 3 mois après sa sortie).
On peut voir une question de licence, de prestige propre à Nintendo mais ça serait voir en Mario des jeux supérieur aux autres (alors que la partie coopérative est catastrophique).
choo.t
 
ptitbgaz a écrit :
une loi qui est la seule qui vaille in fine (sur les produits de loisir) : la loi du marché. Tant que ça se vend...
Au consommateur d'être acteur et de les sanctionner : "Quand on pense qu'il suffirait que les gens n'achètent plus pour que ça ne se vende pas ! -
Ou alors on pirate. Et quand on voit la politique de Big N ou Sony avec TLOU, ce n'est pas moi qui vais faire la morale.

C'est deux faces d'une même pièce, mais c'est difficile d'en parler sur les sites de JV, ici compris.
En soit le piratage peut être perçu comme une réponse négative au marché, un non-achat qui vient condamner une avidité de l'éditeur.
Manque de bol, les sites de JV, qui ont la double casquette de plaire aux joueurs et de dépendre des éditeurs, sont très prompt à condamner la pratique et d'en diaboliser l'usage, dépeignant des pirates ingrats, qui seraient responsables de faillites de studios ou des difficulté financière de certains.

La question du prix est une vraie problématique d'accès aux jeux et à la culture, 70 ou 90€ pour un jeu, ça ne se ressent pas dutout pareil quand on est product manager chez Google que quand on est aux minima sociaux.
Et contrairement au cinéma ou les musées, il n'y a pas de prix préférentiel pour les mineurs ou chômeurs, qui sans être là panacée, permettent une certaine équité d'accès à la culture.

Denuvo et la coopération policière pour foutre au trous tous ceux capable de le cracker à quasiment fait disparaitre la pratique envers les éditeurs les plus fortunés, ceux capable de payer les services et la rente de Denuvo, mais de facto les éditeurs qui en avaient le moins besoin, leur statu actuel prouvant bien que le piratage ne leur avait donc jamais empêché de faire des profits plus que conséquents.
ptitbgaz
 
Je suis en partie d'accord avec toi. Oui la tarif est un frein pour certains joueurs (et j'ai pu m'inclure parfois dedans) mais pour d'autres le piratage est aussi un moyen de jouer à beaucoup de jeux tout en évitant de passer à la caisse (et j'ai pu m'inclure là dedans) alors que le travail effectué et le temps passé à y jouer méritait une rétribution.
Aujourd'hui, quand un jeu m'a plu (et que donc j'y ai joué un certain nombre d'heures, j'essaye de le payer au tarif que je peux me permettre (en promo s'il le faut). J'ai l'impression d'être plus réglo mais j'ai bien conscience aussi que si tout le monde fait comme moi, ce serait compliqué pour les créateurs.
Il faut trouver un juste milieu entre accessibilité et rétribution légitime des créateurs dans un contexte de loi du marché qui reste la plus réaliste et la plus stimulante même si elle doit être cadrée.
Il y a désormais des médiathèques pour ça, ça n'existait pas avant et c'est très bien. Mais ça ne concerne pas le jeu PC et vue la dématérialisation massive, ça va devenir de plus en plus compliqué. Il faudrait trouver un moyen pour qu'elles récupèrent un certain nombre de licences prêtables.
choo.t
 
ptitbgaz a écrit :
dans un contexte de loi du marché qui reste la plus réaliste et la plus stimulante

/me indique poliment son désaccord.

ptitbgaz a écrit :
alors que le travail effectué et le temps passé à y jouer méritait une rétribution.

Hors indé, le flouz ne va de toutes façons pas aux créateurs/ouvriers (hors rares exceptions et bonus).
C'est un peu comme si tu chourais une tablette de choco à Carrouf, ça ne change rien pour le travailleur ghanéen (même si pour le démat, la notion de vol ne peut s'appliquer).

ptitbgaz a écrit :
Aujourd'hui, quand un jeu m'a plu (et que donc j'y ai joué un certain nombre d'heures, j'essaye de le payer au tarif que je peux me permettre (en promo s'il le faut). J'ai l'impression d'être plus réglo mais j'ai bien conscience aussi que si tout le monde fait comme moi, ce serait compliqué pour les créateurs.

Dito, hormis de très rare jeux que je prends à "taux plein", je ne prends rien hors promos, mais faut pas s’inquiéter, les périodes de soldes font partie intégrale du business model.

ptitbgaz a écrit :
Mais ça ne concerne pas le jeu PC et vue la dématérialisation massive, ça va devenir de plus en plus compliqué.

Bha on aurait une vraie volonté d’accessibilité, ça ne poserait pas de problème, bien au contraire.
Y’a qu'à voir Internet Archive qui permet d’accéder à tous plein de vieux jeux depuis le navigateur.
Techniquement le démat est une aubaine pour l’accessibilité des œuvres, c’est les DRM et consort qui foutent le dawa, mais ce n'est pas une contrainte technique, c'est une maladie morale, le chancre de la propriété privée qui détruit tous rapports humains, jusqu'au partage et au prêt.
ptitbgaz
 
Je connais pas le milieu de l'intérieur mais globalement je suis pas sûr qu'on puisse vraiment comparer la situation professionnelle d'un travailleur ghanéen à celle d'un travailleur occidental dans le JV, même si je sais bien que ce n'est pas rose et qu'il y a de gros abus parfois, comme relaté ici même. Hors bonus qui doivent exister aussi.
Et au delà ça, la réussite d'un jeu va plus ou moins inciter les producteurs à financer les futurs productions, ou les jeux merdiques si tu ne soutiens pas un minimum les jeux que tu apprécies et qui le méritent. Et donc à filer du taf aux salariés (dont certains doivent gagner tout de même correctement voire confortablement leur vie). Encore une fois, je veux pas surtout pas avoir l'air de défendre les gros éditeurs ventripotents et rapaces, mais les gros jeux qui embauchent beaucoup du monde ne sortent ex nihilo. En face il faut surtout des contre pouvoirs qui font bien leur boulot.
Et je dis ça en sachant que je suis pas le parfait exemple (j'achète souvent les jeux que j'apprécie après les avoir "testé" hein...).

Je parlais de la facilité du démat' pour contrôler le prêt. Une boîte égale un prêt pour un usager. Même si c'est loin d'être impossible, le démat' demande de réinventer le système de prêt pour l'encadrer un minimum (même si j'imagine qu'on sera pas d'accord sur ce paradigme ;) ). Et forcément, les éditeurs vont freiner des pieds avec plus ou moins de bonne raisons...
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