ACTU
RetroN : à fond dans le libre mais pas trop
par CBL,
email @CBL_Factor
Quand la RetroN 5 avait été annoncée, on était plutôt emballé par le concept. En plus d'offrir la possibilité d'utiliser ses vraies cartouches, la console rétro multi-systèmes permet d'utilises ses vraies manettes. Pour faire tourner les jeux, la RetroN utilise une pelleté d'émulateurs et c'est là où le bas blesse.
Selon Daniel De Matteis, un des fondateurs du projet RetroArch, les émulateurs de la RetroN 5 sont fondés sur le code source d'émulateurs en GPL. Pourtant Hyperkin (le constructeur de la console) ne le mentionne nulle part et n'a pas non plus distribué la version modifié du code ce qui est obligatoire sous GPL. Accessoirement la licence de ces émulateurs interdit toute utilisation commerciale.
Ne souhaitant pas se lancer dans une procédure légale longue et couteuse, De Matteis souhaite au moins que Hyperkin reconnaisse les faits et mentionne le nom des développeurs. C'est triste et ce n'est probablement pas un cas isolé. On suppose que les consoles portables Android vendues en Chine en bundle avec une tripotée d'émulateurs violent les mêmes règles.
Selon Daniel De Matteis, un des fondateurs du projet RetroArch, les émulateurs de la RetroN 5 sont fondés sur le code source d'émulateurs en GPL. Pourtant Hyperkin (le constructeur de la console) ne le mentionne nulle part et n'a pas non plus distribué la version modifié du code ce qui est obligatoire sous GPL. Accessoirement la licence de ces émulateurs interdit toute utilisation commerciale.
Ne souhaitant pas se lancer dans une procédure légale longue et couteuse, De Matteis souhaite au moins que Hyperkin reconnaisse les faits et mentionne le nom des développeurs. C'est triste et ce n'est probablement pas un cas isolé. On suppose que les consoles portables Android vendues en Chine en bundle avec une tripotée d'émulateurs violent les mêmes règles.