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ACTU

Game as a sévice

Buck Rogers par Buck Rogers,  email
 
Alors que l'International Age Rating Coalition (IARC) avait déjà son logo pour les jeux mobiles contenant des microtransactions, le Pan European Games Information (PEGI) vient de s'y mettre. Représenté par une main faisant chauffer sa carte bleue, affichant la mention « achats intégrés », le symbole rejoindra les autres descripteurs de contenus, et les labels d'âges.  Même si cela aura au moins l'avantage de prévenir ceux qui sont allergiques aux achats in-game (parfois dans leurs jeux payés plein pot faut-il le rappeler), pas sûr que ça éclaire d'avantage une partie des parents, ces derniers pas vraiment sensibilisés aux jeux vidéo.

En effet, d'après une enquête de Childcare.co.uk, 86% des parents ne suivraient pas les restrictions d'âges. Difficile de leur en vouloir quant on voit des jeux comme Farming Simulator afficher un PEGI 3, alors que l'on est clairement loin du développement cognitif de cette tranche d'âge. C'est d'ailleurs une limite de la classification, qui définit l'accessibilité d'un jeu sur la classe d'âge conseillée avec pour référentiels la violence, la sexualité, la grossièreté etc., et sans prendre en compte le niveau de difficulté, comme c'est le cas sur une boite de jeu de société par exemple.

Avec des parents pas très à l'aise sur le contrôle parental, nous voyons donc comme avec les DLC, les microtransactions dorénavant bien installées. Même si le cas spécifique des lootboxes payantes n'est pas encore tranché, et continue de faire les beaux jours des éditeurs, les achats in-game non aléatoires sont finalement passés sous le radar, le jeu étant redéfini comme « game as a service », la qualité du « service » étant aussi variée qu'il y a de jeux commercialisés.
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