ACTU
Censure et froussardise, l'épisode australien
On en sait maintenant un peu plus sur la vague de censure qui a touché Steam cette semaine. Sans surprise, Valve a confirmé auprès de GamingOnLinux que celle-ci est belle et bien liée à une menace de la part des intermédiaires de paiement.
On apprend aussi que ces menaces font suite au lobbying d’un groupe puritain australien qui, comme le veut la tradition, avance sa cause sous le masque du féminisme et de la protection de l’enfance. Bien entendu, le NCOSE dont il était question dans la précédente news est un des cosignataires des lettres envoyées aux organismes de paiement.
Le groupe avait déjà été à l’origine du dérayonnage de GTA V dans plusieurs magasins australiens, prétextant que celui-ci était responsable d’une épidémie de violence contre les femmes. Ils avaient même tenté la même chose contre Detroit: Become Human. Leur nouveau cheval de bataille est l’interdiction du porno sur X (anciennement Twitter) ou même l’interdiction des vêtements sérigraphiés Playboy.
Le groupe a été fondé par une autrice qui, si on se fie à sa page Wikipedia et à divers papiers australiens, serait une chrétienne anti-avortement, pseudo-féministe et qui écrit régulièrement contre la pornographie. Pour des raisons légales, il est important de souligner qu’aucune allégation envers sa personne n’est faite pas votre serviteur ou la rédaction de Factor, simplement une compilation des différentes opinions exprimées sur les pages mises en lien plus haut.
On apprend aussi que ces menaces font suite au lobbying d’un groupe puritain australien qui, comme le veut la tradition, avance sa cause sous le masque du féminisme et de la protection de l’enfance. Bien entendu, le NCOSE dont il était question dans la précédente news est un des cosignataires des lettres envoyées aux organismes de paiement.
Le groupe avait déjà été à l’origine du dérayonnage de GTA V dans plusieurs magasins australiens, prétextant que celui-ci était responsable d’une épidémie de violence contre les femmes. Ils avaient même tenté la même chose contre Detroit: Become Human. Leur nouveau cheval de bataille est l’interdiction du porno sur X (anciennement Twitter) ou même l’interdiction des vêtements sérigraphiés Playboy.
Le groupe a été fondé par une autrice qui, si on se fie à sa page Wikipedia et à divers papiers australiens, serait une chrétienne anti-avortement, pseudo-féministe et qui écrit régulièrement contre la pornographie. Pour des raisons légales, il est important de souligner qu’aucune allégation envers sa personne n’est faite pas votre serviteur ou la rédaction de Factor, simplement une compilation des différentes opinions exprimées sur les pages mises en lien plus haut.