Aujourd'hui tout fout le camp. Dans le temps, ma bonne dame, on savait faire des jeux qui avaient du cœur. On avait des artisans talentueux qui prenaient le temps nécessaire pour nous concocter des aventures vraiment uniques. A la place, maintenant, on a droit à des cagettes de titres standardisés, bien calibrés, qui se ressemblent tous. Mais heureusement, tout le monde n'a pas oublié les valeurs et les savoir faire qui faisaient vibrer hier nos belles campagnes. Le papa de Owlboy est peut-être norvégien, mais son ancrage dans l'authenticité et sa manie de travailler en famille lui vaudraient à coup sûr la sympathie de notre charmant Jean-Pierre Pernaut.

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Quelle conclusion imagée !

C'est mon côté poète...

Désolé, je passe mes journées avec un petit en pleine période "pipi caca", ça a du me déteindre dessus. Promis je penserai à tirer la chasse avant de pondre mon prochain test.

Complètement d'accord avec cette critique :)

La force du jeu est dans la macro, sa vision d'ensemble est assez réussie.
En revanche en détail c'est souvent maladroit et immature, dans le sens manque de "travail". Ca fait un peu bizarre de dire ça pour un jeu qui a 9ans de dev dans les pates, mais c'est le sentiment qui s'en dégage: certains passages LD sont mal fichus, contrôles un peu pénibles, y'a des facilitées dans la narration qui étaient certes classique a l'époque, mais aujourd'hui clichés et ringards, et puis une progression parfaitement linéaire qui vient trahir l'offre "open world" initiale (impardonnable !)

Mais malgré ces défauts, le jeu est quand même bien sympathique. Y'a ce petit truc qui pousse a découvrir le prochain niveau.

ps: par contre je trouve vraiment pas les zics transcendantes.