Dans une étude, que l'on pourrait enfin qualifier de sérieuse, sur les liens entre le jeu vidéo et la violence des jeunes, deux docteurs américains ont réussi à montrer que ce lien est en fait inversement proportionnel : plus les jeunes jouent, plus la violence baisse.

Seules exceptions, ceux jouant plus de 15 heures par semaine, mais même dans ce cas, ce serait un révélateur et non un facteur déclenchant. Depuis Rome, la formule pour garder le peuple sous contrôle a finalement peu changé : du pain, du Nutella et des jeux.

Lire la suite sur le site : Jouer n'est pas tuer.

« Si vous observez le taux de criminalité aux Etats-Unis ces vingt dernières années parmi les adolescents, il n’a fait que baisser, expliquait Lawrence Kutner la semaine dernière sur la chaîne américaine G4. Et si vous regardez la courbe des jeux vidéo, elle ne fait que grimper.

Une étude sérieuse ça ?
Ce serait comme dire, le nombre de joueurs en réseau augmente, et le nombre d'obèses augmente aussi, même si les deux augmentent elles n'ont aucun rapport.

Enfin, ici si, mais tu m'a compris ;)

On dirait que toute etude, meme realisee par des clowns, est on ne peut plus serieuse des qu'elle affirme ce qu'on voulait entendre...

On dirait que quand on veut descendre un article on se contente de ne lire que ce qui confirme ce que l'on voulait entendre...

In 2004, Drs. Lawrence Kutner and Cheryl K. Olson, co-founders and directors of the Harvard Medical School Center for Mental Health and Media, began a $1.5 million study funded by the U.S. Department of Justice on the effects of video games on young teenagers. In contrast to previous research, they studied real children and families in real situations