Grand marronnier des débats sur le jeu vidéo, on s'attaque dans cet épisode aux liens entre le cinéma et le jeu vidéo. Mais nous avons essayé d'éviter de faire la liste des petites daubes maladroitement adaptées des licences JV (certains l'ont fait mieux que nous) pour prendre un peu de recul et se demander pourquoi on essaye fréquemment de rapprocher ces médias.

Lire la suite sur le site : FactorCast Episode 6 : La théorie du genre.

-Je suis assez producteur.
-Tu es assez productif.

Chouette Pod'

HellPé savonne sur le nom du site ("Fractornews") au début, mais on a gardé la prise pour le ridiculiser en public.

Niko a écrit :
HellPé savonne sur le nom du site ("Fractornews") au début, mais on a gardé la prise pour le ridiculiser en public.

Môssieur se venge parce que j'ai préféré écrire "gamescom" plutôt que "la GaMeSCoM".

ce qui est nul quand on parle en enregistrement, c'est qu'on peut pas se relire ^^ le taux de connerie est forcément bcp plus élevé :p

Podcast dans l'ensemble intéressant, mais j'en suis à un peu plus de la moitié et j'ai du mal à suivre : le son est légèrement couvert par les cris des mouches qui ont mal au cul... :)

Bref, Jeu vidéo / cinéma / marronnier, faudrait déjà voir si on parle des procédés de création ou du résultat. On a l'impression d'un sacré dialogue de sourds : un jeu qui utilise des méthodes et une démarche de création très éloignée du cinéma peut avoir un feeling très cinématographique au niveau de l'expérience d'un utilisateur donné qui est le réalisateur et le monteur de son propre "film".

Si la liberté et la création d'espace est au centre de la création de JV, le résultat final au niveau du souvenir qu'en gardera le joueur est une séquence audio-visuelle (+ haptique, mais c'est un détail), ce qui se rapproche ontologiquement du cinéma. La différence intervient dans le mode de production de cette séquence, le spectateur est réellement acteur (et / ou réalisateur suivant les jeux) et les expériences multijoueurs rajoutent encore une couche là-dessus.

Bref, la parenté JV-cinéma me paraît évidente (encore une fois au niveau de l'utilisateur final), mais il existe une infinité de nuances (pas que 50) pour moduler l'expérience, ce n'est pas sale, et c'est ça qui est génial :)

My 2 cents.

Puis Il partit, faisant tinter ses éperons dans la poussière, pas peu fier d'avoir pu démontrer qu'enfiler des diptères, ça se fait : sans les mains, devant un miroir, et avec Sussudio de Phils Collins à l'arrière.

... et ne pas oublier la cravache. Très important la cravache.

Ah dommage. On a les références ou on les a pas :/

Ah ben là, j'avoue que non, j'ai pas. En même temps, la seule référence pertinente incluant Phil Collins que j'aie c'est South Park, et même si l'idée reste proche, il y a moins de mouches et plus d'Oscar...

les multiples "kalof" m'ont brisé une oreille, et le "taile tal" m'a brisé l'autre. Du coup, je n'ai pas entendu la suite.

J'ai toujours la même critique : J'ai l'impression d'écouter une conversation de comptoir sans pouvoir y participer (ni boire car je suis en voiture). A côté y'a Quick Load qui est beaucoup plus facile et intéressant à écouter.

Perso' j'ai arrêté 20 min avant la fin. A la place j'ai regardé cette vidéo : https://www.youtube.com/watch?v=CgZIx89-XYs