ACTU
The Lift ouvre ses portes
Semblant venir de nulle part, The Lift a été annoncé il y a quatre jours et va venir grossir le rang des titres qu'on va attendre avec impatience pour 2026. En effet, le jeu se dessine à mi-chemin d'un Prey, d'un Myst et d'un House Flipper. Non, non, revenez ! C'est bien !
The Lift nous met dans la peau d'un technicien de maintenance qui se retrouve cryogénisé un peu trop longtemps et retrouve son boulot des centaines ou milliers d'années plus tard. De fait, tout est délabré, mais aussi envahi de brèches dimensionnelles, de ronces de câbles électroniques et de slime noir inconnu.
C'est beau, ça tourne bien, et on remet sur pieds, boulon après boulon, ampoule après ampoule, des zones autrefois habitées où subsiste des traces des activités humaines et leurs petits secrets. Le premier étage proposé est d'ailleurs un bureau de poste. On y retrouve donc une salle d'attente en décrépitude et derrière les guichets, les restes des mesquineries classiques de qui a pris les affaires de l'autre ou de celui qui a quitté son service plus tôt pour "motif personnel".
L'objectif est cependant vraiment axé sur la remise en état de chaque étage, sur fond de survie des quelques humains restants, et on passe de bons moments à remettre de la lumière et à réparer les dégâts dans des lieux menaçants plongés dans le noir afin de leur faire retrouver leur grandeur d'antan, si tant est qu'un bureau de poste ait jamais eu une grandeur.
Bref, l'ambiance est bonne et la DA est sympatique, avec une attention du détail omniprésente. Le gameplay garni de mini-énigmes s'étoffe aussi assez rapidement en outils et possibilités et tout cela donne franchement envie d'y passer plus temps. La bonne nouvelle, c'est que l'on peut déjà y jouer sur Steam puisque le jeu cache une démo gratuite sous son bouton Playtest. C'est Fantastic Signals qui développe ce titre depuis trois ans et c'est tinyBuild qui va l'éditer. Sortie prévue en 2026. On en reparlera.
The Lift nous met dans la peau d'un technicien de maintenance qui se retrouve cryogénisé un peu trop longtemps et retrouve son boulot des centaines ou milliers d'années plus tard. De fait, tout est délabré, mais aussi envahi de brèches dimensionnelles, de ronces de câbles électroniques et de slime noir inconnu.
C'est beau, ça tourne bien, et on remet sur pieds, boulon après boulon, ampoule après ampoule, des zones autrefois habitées où subsiste des traces des activités humaines et leurs petits secrets. Le premier étage proposé est d'ailleurs un bureau de poste. On y retrouve donc une salle d'attente en décrépitude et derrière les guichets, les restes des mesquineries classiques de qui a pris les affaires de l'autre ou de celui qui a quitté son service plus tôt pour "motif personnel".
L'objectif est cependant vraiment axé sur la remise en état de chaque étage, sur fond de survie des quelques humains restants, et on passe de bons moments à remettre de la lumière et à réparer les dégâts dans des lieux menaçants plongés dans le noir afin de leur faire retrouver leur grandeur d'antan, si tant est qu'un bureau de poste ait jamais eu une grandeur.
Bref, l'ambiance est bonne et la DA est sympatique, avec une attention du détail omniprésente. Le gameplay garni de mini-énigmes s'étoffe aussi assez rapidement en outils et possibilités et tout cela donne franchement envie d'y passer plus temps. La bonne nouvelle, c'est que l'on peut déjà y jouer sur Steam puisque le jeu cache une démo gratuite sous son bouton Playtest. C'est Fantastic Signals qui développe ce titre depuis trois ans et c'est tinyBuild qui va l'éditer. Sortie prévue en 2026. On en reparlera.






