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Murder by Numbers, picross-over

Nicaulas par Nicaulas,  email  @nicaulasfactor
Développeur / Editeur : Mediatonic
Supports : PC / Switch
Debout les campeurs, et haut les cœurs ! Je dois vous faire une confidence : j’adore les picross. Ou logigraphe, hanjie, griddler, nonogram, logimage, en fonction de comment on les a appelés au fil des lieux et des époques. Je me souviens par exemple avoir découvert le concept enfant, en vac… non, attendez, il y a quelque chose qui déconne. Cette intro ressemble beaucoup trop à une autre. Ceci dit, elle reste parfaitement adaptée à Murder by Numbers, qui comme d’autres avant lui tente de renouveler la formule du picross. En la mélangeant avec… du visual novel d’enquête à la Phoenix Wright ?!
En sus de ce pitch qui a fait lever plus d’un sourcil d’étonnement et d’intérêt, le dernier né de Mediatonic a quelques têtes d’affiche à son générique. La filiation avec les Phoenix Wright se poursuit dans les musiques composées par Masakazu Sugimori (compositeur du premier Phoenix Wright), Hato Mao (Hatoful Boyfriend) a designé des personnages hauts en couleur et Ed Fear (scénariste de Swords of Ditto) s’est occupé des dialogues. Dans les milieux autorisés, le train de la hype roulait donc à très haute vitesse au moment de récupérer une clé pour un test. Mais même s’il n’y a pas eu de déraillement, il a fallu mettre un bon gros coup de frein avant d’entrer en gare.

Meet the SCOUT

Dans Murder by Numbers, on incarne un duo bourlinguant dans un Los Angeles fantasmé au mitan des années 90. Honor Mizrahi est une actrice secondaire qui vient de se faire virer de sa série policière cheesy, « Murder Miss Teri ». SCOUT est un petit robot intelligent lévitant qui se réveille amnésique dans une décharge et veut engager un détective pour retrouver son passé. Un meurtre et un quiproquo plus tard, et les voilà en train de résoudre des enquêtes criminelles sous la houlette du détective Cross, un vétéran moyennement motivé à l’idée de voir Honor et SCOUT traîner dans ses pattes. Tout ceci sans compter les problèmes personnels qu'ils doivent résoudre : Honor n’a plus de travail et navigue entre un ex-mari abusif et une mère possessive, SCOUT cherche ses origines, son identité et le but de son existence. L’ambiance générale, détonnant mélange entre sujets sérieux et personnages exubérants et attachants, est une belle réussite. On y reviendra.



Comme dans un Phoenix Wright, le jeu est découpé en une succession d’enquêtes, quatre au total. À chaque fois, on va naviguer de lieu en lieu pour collecter des indices, qu’on présente ensuite aux témoins et suspects pour faire avancer l’intrigue. C’est là qu’interviennent les grilles de picross : SCOUT dispose d’un scanner dernier cri lui permettant de retrouver tous les indices, mais ses mémoires défaillantes l’empêchent d’identifier immédiatement les objets. C’est donc à nous, derrière l’écran, de résoudre à chaque fois une grille de picross pour découvrir ce qu’est réellement l’indice. Notez bien qu’il n’y a pas vraiment de fusion des mécaniques, en dehors d'un mini-jeu de hacking où il faut résoudre plusieurs petites grilles le plus vite possible sans se tromper ni utiliser de croix. Le reste du temps, on joue à un visual novel garni de picross, mais les deux coexistent en parallèle sans jamais vraiment se croiser. On pourrait même dire que l’un hache le rythme de l’autre. Mais le plus gênant reste qu’on est face à un picross assez médiocre. 

La croix et la bannière

Si le contenu est assez copieux (une vingtaine d’heures pour finir toutes les grilles), Murder by Numbers se contente du minimum syndical en termes de fonctionnalités, notamment d’ergonomie, avec deux niveaux de difficulté et des aides désactivables. Pas de vitesse réglable du curseur, de smartslide ou de réglage du HUD, ni même de choix des couleurs de contraste : les puristes fronceront sans doute le nez. Le déplacement du curseur à la souris s’avère d’ailleurs un peu désagréable. Sur Switch en mode portable, les grilles restent lisibles en ne dépassant que très rarement le 15*15, mais on regrettera qu’une fois en grand écran ou sur PC elles n’occupent pas plus de place pour un meilleur confort visuel. S’il n’est pas bien grave de ne pas progressivement reconnaître la forme dessinée, certains diraient même que le plaisir du picross tient dans l’épiphanie finale où l’image se colorise, on regrettera tout de même que les images en question soient à la limite de la laideur. Pas de schématisation, pas de negative space, pas d’illusion d’optique : on est face à des dessins basiques pixellisés affichés en gros plan, ce qui casse une partie du plaisir de la résolution. Pour ne rien arranger, les compositions de Sugimori sont trop souvent nerveusement crispantes, à mi-chemin entre l’ascenseur et le porno est-allemand. Nuançons tout de même le tableau : ce sont surtout les spécialistes du genre qui feront grise mine, les joueurs et joueuses plus occasionnelles y verront seulement un picross relativement simple et abordable, comme l’était PictoQuest.



Fort heureusement, Murder by Numbers n’est pas qu’un picross, c’est aussi un visual novel… qui ne rattrape pas totalement la sauce, du moins sur le fond. Outre une enquête finale franchement décevante et une trame de fond assez convenue, on regrettera la simplicité et la linéarité des enquêtes. Il n’y a pas énormément de réflexion, puisqu’il suffit de présenter le bon indice à la bonne personne pour déclencher le bon dialogue. Non seulement il n’y a pas tant d’objets que ça à trouver pour chaque enquête, mais en plus les liens logiques sont appuyés en amont par le character design ou les dialogues. Une réplique « je crois que Machin est alcoolique » suivie d’un indice « flasque de whisky », on a vu plus subtil. La construction de chaque enquête est également redondante, avec une première moitié désignant un suspect trop évident, puis une seconde nous menant au vrai coupable. Et aucune place à l’erreur : les rares fois où il est demandé de faire un choix, celui-ci n’est jamais punitif. Si on désigne le mauvais suspect, SCOUT nous interrompt pour signaler qu’on fait fausse piste, et il ne reste plus qu’à choisir une autre option.

50 nuances de grilles

Sur la forme en revanche, on retrouve instantanément ce qu’on était en droit d’attendre d’un jeu placé sous le signe d’Hatoful Boyfriend et Sword of Ditto : de l’humour. Murder by Numbers est un enchaînement délicieux de situations absurdes et de punchlines parfaitement dosées. Le cadre des années 90 permet des folies de character design, à base de motifs fluo, de tubes cathodiques et de coupes de cheveux audacieuses. Et surtout, chaque personnage est à la fois caricatural, pour générer des décalages humoristiques, et subtil, pour éviter la lassitude d’un unique running gag. Il en résulte des dialogues ciselés, rythmés, ponctués de jeux de mots… réservés aux anglophones. Le jeu n’est effectivement disponible pour l’instant qu’en anglais et en japonais, et même s’il n’est pas nécessaire d’être « fluent » pour comprendre les intrigues, les « puns » sont parfois un peu techniques.


 
Les personnages principaux sont extrêmement attachants, non seulement parce qu’ils sont capables de faire de l’esprit, mais aussi parce qu’en une poignée d’heures se tissent des liens narratifs qu’on n’attendait pas. Honor et SCOUT forment un duo assez classique de série policière, elle roublarde et indépendante, lui naïf et mettant en lumière l’absurdité de la réalité. La dynamique avec le détective Cross est elle aussi relativement classique, puisqu’il joue un vieux briscard énervant et un peu obsolète, mais avec de l’expérience à revendre. Plus surprenantes sont les thématiques portées par tous les autres personnages secondaires. Avec sa mère, Honor explorera la relation fille-mère quand cette dernière est aussi exubérante que possessive. Avec son ex-mari, ce sont carrément les relations toxiques et les pervers narcissiques qui sont au programme. SCOUT étant en quête d’identité, ses dialogues avec K. C. (le meilleur ami d’Honor, gay assumé) ou avec les protagonistes de la troisième enquête (un homicide devant un bar gay tenu par des drag queens) se teintent d’un discours politique et philosophique inattendu. Plus globalement, tout le jeu s'attarde sur les discriminations en tous genre.



Ainsi, s’il est nécessaire de consommer Murder by Numbers à petites doses, pour ne pas se lasser ni des picross ni de la narration, force est de constater que le plaisir de suivre les tribulations d’Honor et SCOUT l’emporte sur le reste. Même les limites formelles, comme l’absence de doublages ou d’animations (chaque personnage dispose seulement d’une poignée de frames, comme dans la plupart des visual novel), s’oublient assez vite.
Du mélange espéré entre picross et visual novel d’enquête, Murder by Numbers ne valide réellement que la partie visual novel. Quelques soucis d’ergonomie et d’esthétique en font un picross assez médiocre, et les enquêtes sont simplistes et linéaires. Restent alors la narration, les personnages et les thématiques, qui font mouche. Avec une solide durée de vie et un prix tout doux, il pourra vous accompagner dans votre confinement.

SCREENSHOTS

 

Commentaires

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Kalzem
 
Je partage ton avis Nicalaus.

C'est un jeu ni bon, ni mauvais mais très plaisant à jouer. Il y a ce côté "feel good" grâce aux dialogues et aux personnages (à l'exception de la maman d'Honor qui est juste insupportable...). Ce petit jeu abordable rafraichit à sa façon la scène du Picross.

J'espère voir arriver d'autres Picross sur le même système : Du visual novel et des grilles.
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(09h55) BeatKitano C'est plutot fort en effet. Et ça suinte le respect pour le materiau d'origine, c'est surtout ça qui est impressionnant.
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(08h12) choo.t C'est magnifique putain.
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Sunday 20 July 2025
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(22h07) BeatKitano Pouvoir avoir de l'air frais le soir sans se faire bouffer par les moustiques et envahir par les mouches et guêpes. C'est déjà pas mal.
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Saturday 19 July 2025
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(17h38) CBL Il a aussi un sous-marin [en.m.wikipedia.org]
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(17h34) CBL Il a d'ailleurs plusieurs yachts dont un s'appelle le Rocinante [luxurylaunches.com]
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(09h31) BeatKitano De toute façon c'est le pied dans la porte pour normaliser ça et introduire les identités numériques a l'échelle globale. Après ça pif paf pouf crypto wallet pour tous et fin du cash. Miam miam les données et le controle.
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(09h29) BeatKitano La résultante de ça c'est que j'ai jamais vu autant de nouveaux arrivants sur le darknet et de referer super louches sur le normieweb. Ça va être une vraie boucherie. C'est les fabricants d'anti-virus/malware qui se frottent les mains.
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(09h24) BeatKitano Mais hey, tant que ça touche pas les gens qui poussent vers ça. Tout va bien (j'ai hate d'entendre leur takes éclatés quand ça va arriver très prochainement)
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(09h22) BeatKitano choo.t > Oh je sais, je perçois les trends de plein fouet. Devoir se logguer toutes les 15 minutes sur des sites de mixed content c'est UN PEU lourd.
choo.t
(09h21) choo.t Le think of the children poussé à donf, age-check sur les monteur de recherche filtrage de la violence, du cul, de certains régime etc.
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(09h19) choo.t BeatKitano > [abc.net.au]
Friday 18 July 2025
CBL
(18h39) CBL Ouais je recommande cette vidéo [youtube.com]
BeatKitano
(11h11) BeatKitano Et c'est aussi pour qu'on va droit dans le mur.
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Thursday 17 July 2025
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(18h04) choo.t N'ayant pas vu le film ça ne m'aurait jamais traversé l'esprit.
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(17h46) CBL "Le talentueux Mr Rapelay"
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(17h45) CBL (19h22) choo.t > je note surtout qu'on a perdu une bonne occasion de faire le TALC du siècle
das_Branleur
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Wednesday 16 July 2025
choo.t
(19h30) choo.t Et ce n'est pas Steam qui l'a retiré de la vente, mais les dev eux-même : [steamcommunity.com]
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(19h30) choo.t CBL > Alors non, pour No Mercy, il avait été ban dans 3 pays (UK, Canada, Australie), apparement suite à des demandes officielles des agences de ces pays.
choo.t
(19h22) choo.t Petit rappel historique de comment Rapelay a été traité ici : [factornews.com]
choo.t
(19h20) choo.t Et oui, le fais que ce soit apparemment Visa (ou mastercard) change carrément la donne.
choo.t
(19h19) choo.t Pour le NFT/Crypto, c'était littéralement des arnaques. Après on peu avoir une opinion différente là dessus, mais je fous ça plus dans le coin "fraude" que le coin "morale".
choo.t
(19h18) choo.t (18h37) CBL > Heuu, je ne crois pas que Valve est banni Rapelay, au sens qu'il n'a jamais mis les pied sur steam à mon souvenir. C'est un jeu de 2006 qui 3 ans plus tard a fait un scandale, scandale qui est monté jusqu'à l'ONU qui a appelé à son ban.
CBL
(18h49) CBL Et comme personne ne va se farcir la tonne de shovelware qui sort sur Steam pour séparer le "bon" inceste du "mauvais" inceste, c'est plus rapide de tout bannir
CBL
(18h48) CBL Et c'est un des problèmes avec l'inceste. C'est souvent associé au viol et à la pédophilie...
CBL
(18h46) CBL Y'a meme pas deux mois, Valve a banni "No Mercy" car y'avait de l'inceste et du viol
CBL
(18h44) CBL Y'a meme six mois, Valve a aussi banni tous les jeux qui obligent à regarder de la pub
CBL
(18h42) CBL Et puis ce n'est meme pas la première fois que Valve vire des jeux douteux: [gamesindustry.biz]
CBL
(18h37) CBL choo.t > Je n'ai vu personne monter au créneau quand Valve a banni les jeux avec crypto/NFTs. Ou quand Valve a banni RapeLay. C'est quoi la différence maintenant? Juste parce que c'est Visa qui pousse derrière?
Doc_Nimbus
(16h09) Doc_Nimbus Le nouveau Zachtronics est sorti [store.steampowered.com] :-)
GTB
(14h23) GTB Muchacho > Théoriquement, pourquoi pas. Avec les précautions qu'il faut. Et une connaissance approfondie sur les effets soit négatifs, soit positifs, soit les deux.
choo.t
(14h15) choo.t C'est pour moi le cœur de la problématique, et un orgaisme comme Visa n'a aucune légitimité à imposer sa vision. On est très loin de l'idée (imparfaite) d'une décision démocratique.
choo.t
(14h14) choo.t Palido > (13h53) Alors pas mal de jeux me répugnent (ou m'ont répugné, ce passé est important), mais je conçois que ma boussole morale n'est pas universelle. Mais plus que ça, la question est pour moi de "qui" a les clefs de cette mise à l'écart.
Palido
(13h53) Palido (13h43) Je réalise que ma question donne l'impression de vouloir tourner en rond, alors je la tourne autrement : selon toi, rien ne justifierait de condamner moralement un jeu et de le mettre à l'écart ?
Palido
(13h43) Palido Sans en faire nécessairement l'apologie (ça, c'était pour un exemple précédent précis), oui c'est ça. Pourquoi ça te gêne exactement ?
choo.t
(13h40) choo.t que j'ai un problème.
choo.t
(13h40) choo.t Palido > De ce que je comprends de ton propos, c'est que d'après toi, du moment que l’œuvre propose de faire une action, à moins que l'œuvre ne la dénonce ou réprime (par se diégèse ou autrement), tu semble dire qu'elle en fait l'apologie. C'est avec ça
Muchacho
(13h29) Muchacho (13h23) GTB > Bonne question. Pour l'exercice, je dirai "est-ce qu'on devrait avoir le droit de les publier dans Steam."
Palido
(13h25) Palido J'ai aussi précisé que je n'aurai si le propos était finalement différent de ce que ça laissait penser, j'aurais pas -moins- de problèmes.
Palido
(13h25) Palido (13h23) (13h23) J'ai quand même pris le soin de préciser à chaque fois que je me basais sur le titre, sur la description et ce que j'ai pu voir du jeu.
choo.t
(13h25) choo.t En soit, je te dirais que ce titre sonne bien moins "apologique" que "L'appel du devoir" ou "Médaille d'honneur" si tu vois ce que je veux dire.
choo.t
(13h23) choo.t Palido > Mon propos c'est que c'est pas en se fiant au titre qu'on peut en déduire une apologie. Et que le titre en question, ici, fait bien le distinguo entre fiction et réalité.
Palido
(13h23) Palido (13h21) Et à partir de là : non, ça ne me dérange que ce jeu soit inaccessible sur Steam. Qu'il le soit ailleurs, ok. De toutes façons, il le sera.
GTB
(13h23) GTB Muchacho > Ca veut dire quoi "ok" ? Pour moi c'est cringe à mort. Mais ça ne me transmettrait pas ce kink. Il doit of course avoir un avertissement public. Après, quel impact sur le public cible ? Est-ce que ça a un effet exutoire ? Incitatif ? Je sais pa
Palido
(13h22) Palido Muchacho > J'ai lu ton message trop vite, autant pour moi.
Palido
(13h21) Palido (13h18) Je rappelle que c'était justement le sujet initial : la suppression -entre autre- du jeu "Reincarnated in a Different World and Rape All the NPCs in this VR Game"
Palido
(13h20) Palido Contrairement à ce que je crois cerner de toi et de tes propos, je n'ai pas de "filtre de moral automatisé".
Palido
(13h20) Palido Tu pars du principe qu'à partir du moment où c'est un univers de fiction, c'est différent. J'estime que l'un n'empêche pas l'autre. Ce n'est pas systématique et ça dépend : selon le contexte, le propos, au cas par cas.
Muchacho
(13h18) Muchacho C'est dommage parce que le sujet est vite partie de: "est-ce que c'est OK d'avoir 'viol simulator' ou 'pedophile simulator' en jeux vidéo" à "est-ce que les jeux vidéo ont un impacte IRL".
choo.t
(13h17) choo.t Palido > Mais c'est toi qui y vois une apologie (et je rappelle que ni toi ni moi n'avons jouer au jeu). Proposer de faire une activité dans un univers fiction ≠ en faire l'apologie.
Palido
(13h14) Palido Je n'ai jamais mentionné le BDSM, le bondage ou autre pratique sexuelle.
GTB
(13h14) GTB Palido > que le contexte et le message rende le truc acceptable (terme qui resterait à définir précisément).
Palido
(13h14) Palido choo.t > C'est moi qui parle d'apologie. Quand je vois un jeu de viol en VR qui propose -selon sa description- de pouvoir violer tous les NPC femmes, c'est de l'apologie du viol.
choo.t
(13h12) choo.t Palido > Mais qui te parle d'apologie ? Quand tu fais du BDSM c'est de l'apologie de la torture ? Quand tu fais du bondage c'est l'apologie de la soumission d'autrui ?
Palido
(13h08) Palido (13h05) A quel message précisemment tu fais référence ?
GTB
(13h07) GTB Muchacho > La comparaison est pertinente. Elle a juste ses limites. Comme la plupart des comparaisons. En terme d'impact sur le comportement irl, la différence est quasi-nulle.
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