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Dying Light

Marc par Marc,  email
 
Laisser son enfant sur le bord de la route, c’est ce qu’a choisi de faire Techland avec Dead Island. Rentré en conflit avec son ex-éditeur, le studio a choisi de léguer sa licence d’équarrissage zombiesque à Deep Silver. On se souvient du tout premier trailer sublime du titre, promettant un univers tragique, sombre et mature. Malheureusement, ce dernier n’a su nous proposer qu’un scénario nanardesque digne d’une série Z. Né du désir de repartir sur une copie vierge, Dying Light a donc pour ambition de se doter d’un univers plus mature. Cependant, et on le sait bien, le carnage de corps putréfié n’est pas vraiment un terrain propice à un développement scénaristique poussé. Mais est-ce vraiment l’intérêt de cette remise à plat ?
 

Retour à Zombieland


Vous incarnez Kyle Crane, un agent du GRE, une agence paragouvernementale clandestine. Celle-ci a pour mission d’endiguer le virus transformant les habitants d’Haran en cadavres ambulants. Coincée entre occident et orient, cette ville de taille moyenne de l’est de la Turquie est alors entièrement bouclée et mise sous quarantaine. Balancé depuis un avion militaire cargo, c’est en parachute que votre alter ego découvre son nouveau terrain de jeu. Dans cette cité baignée par un soleil de plomb et balayée par des vents chargés de pollens, votre mission y sera de retrouver un certain Souleiman. Le larron n’est autre qu’un homme politique local véreux en possession de documents sensibles relatifs aux origines du virus.

C’est au milieu d’un bidonville crasseux que votre aventure commence. Vous êtes récupéré par une bande de résistants locaux ayant élu domicile dans un gratte-ciel, qui d'ailleurs s'empresseront de vous mettre vite au parfum. Bien évidement, ce groupe tente de survivre au milieu de tout ce foutoir. Pour ce faire, tout ce petit monde s’affaire à récupérer des largages humanitaires effectués par le GRE. Ces parachutages de vivres contiennent tout particulièrement des doses d’Antizine, un sérum retardant les effets du virus chez l’individu infecté. Cette situation délicate est encore compliquée par une lutte de tous les instants face à un certain Raïs.



Dangereux psychopathe, le bonhomme s’est monté sa propre petite milice paramilitaire essentiellement constituée de gros bras. Ces gentlemen ont pour principale activité le rançonnage et le pillage des autres groupes de survivants. Après un didacticiel trainant en longueur, vos nouveaux amis vous mettront très vite à contribution. Une flopée de quêtes annexes, aussi « passionnantes » que celles présentes dans Dead Island, vous sera assignée. Une fois déboulé dans les rues, on se rend alors vite compte que celles-ci sont littéralement engorgées par les zombies.

Même si on est loin des marées de cadavres proposées par un Dead Rising, la densité de la population cadavérique s’avère bien plus importante que dans la franchise de Deep Silver. Il apparait donc très vite comme suicidaire de foncer dans le tas et ça tombe bien, car vous allez pouvoir crapahuter tel un chat de gouttière de toit en toit. Tant vanté depuis l’annonce du jeu, le système de parkour s’impose dès le début comme une évidence. Escalader les murs, sauter du toit d’un taudis à un autre ou se déplacer agilement dans les rues jonchées de détritus sont autant de solutions qui s’avèrent préférables à l’affrontement direct.

Tant qu’il y a des prises, il est littéralement possible de grimper partout. Portée par des animations rapides, cette manière de se mouvoir dans l’espace urbain s’avère d’un fun et surtout d’une fluidité très efficace. Ce qui n’est pas un mal, car vous allez devoir jouer au yamakasi un bon bout de temps afin d’éviter la plèbe morbide. Si cette dernière est en majorité constituée de chair à canon, on retrouve également les traditionnels malabars lents (mais puissants), les coureurs extrêmement agiles, les cracheurs de bile et les zombies kamikazes qui ont manifestement mangé un peu trop épicé. Si ce bestiaire ne fait absolument pas dans l’originalité, il s’enrichit un peu plus de nuit. Le cycle jour nuit était lui aussi un des éléments les plus mis en avant lors de la promotion du titre, qu’en est-il donc?

The Dying Light : Wild Hunt

 
Lorsque le jour décline, Haran s’enfonce dans le noir complet. Se balader sans sa lampe de poche revient littéralement à se crever les deux yeux. De plus, la nuit s’avère être le terrain de chasse de prédilection de zombies spéciaux : les rapaces. Véritables plaies, ces derniers sont extrêmement sensibles à la lumière et se réfugient la journée au fin fond de tunnels. Relativement nombreux, ces derniers patrouillent à travers les rues à la recherche de victimes à dévorer. Leur présence est d’ailleurs symbolisée sur la mini-map, assortie d’un cône indiquant leur champ de vision. Si vous avez alors le malheur de rentrer dans celui-ci, ces traqueurs décharnés se mettront à vous poursuivre telle des bêtes démoniaques frénétiques. Et ne comptez pas les semer en jouant de votre accointance pour le parkour, car ces poursuivants zélés s’avèrent bien plus rapides et agiles que votre personnage.

Le seul moyen efficace pour tenter de sauver vos fesses est d’éblouir ces derniers avec une lampe UV, les aveuglant pendant quelques misérables secondes. Notez aussi que, comme les zombies classiques, ces derniers sont sensibles au bruit et à la lumière. On est donc parfois forcé de se balader sans lampe torche, afin d’éviter de se faire repérer, lorsque deux rapaces patrouillent à proximité. Ce qui a pour effet de se retrouver dans des situations parfois cocasses. Il n’est donc pas rare lorsqu’on rallume sa petite lampe, de se retrouver nez à nez avec une grappe de zombies qui s’empresseront de vous encercler. L’ambiance de ces phases de jeu est clairement une réussite.

Une véritable sensation de traque sauvage s’en dégage et fait naitre un sentiment indéniable de vulnérabilité. Cependant, s'adonner au parkour de nuit sera récompensé par des points d’expériences doublés, si vous survivez… C’est aussi là que réside la particularité du titre. L’expérience est répartie entre trois compétences : agilité, combat et survie. Chacune d’elle possède sa  barre de progression respective, à la manière d’un Skyrim. En clair, plus vous crapahutez plus vous remplirez votre barre d’agilité. Le même principe s’applique pour la branche combat. Côté survie, les précieux points s’acquièrent eux en accomplissant des quêtes. Une fois une barre de progression remplie, vous aurez un point à dépenser dans l’arbre de talent dédié.

Trinité survivaliste

 
Vous pourrez ainsi y piocher diverses compétences, vous transformant à terme en un véritable cabri doublé d’une moissonneuse batteuse. Grimper plus rapidement, courir à la verticale sur les murs, réduire les dégâts de chute sont autant de possibilités qui aideront Crane à se mouvoir bien plus agilement et rapidement. Les compétences de survie restent quant à elles dans le classique et vous octroieront un inventaire plus grand ou encore la possibilité de fabriquer divers gadgets (grenades, shurikens, etc.). Concernant l’arbre dédié au combat, certains perks débloqués vous font envisager les affrontements bien plus sereinement. Il s’agit pour la plupart de coups spéciaux (spécifiques à différents types d’armes) et de diverses améliorations. Mention spéciale au coup de pied joint à l’horizontale (façon catcheur) permettant d’envoyer valdinguer les zombies dans un effet particulièrement jouissif.

Ces améliorations vous font donc vite renouer avec le massacre de chair putréfiée. Pour cela vous disposez d’un éventail d’outils, un peu trop classique certes, mais qui n’a rien à envier à la sacoche d’ustensiles d’un artisan boucher-charcutier. Si vos premières armes s’avèrent relativement pathétiques (pied de table, clef à molette, tuyaux), on déniche rapidement machette, katana, claymore, marteau et autres joyeusetés qui s’avèrent bien plus efficaces.

Détail important, il n’est pas possible de réparer indéfiniment ses armes. Compter en moyenne de 3 à 5 réparations par objet. Toutefois, il est possible d’augmenter ce nombre à l’aide de diverses compétences de survie. Adieu également les ateliers puisque ces réparations peuvent se faire n’importe où moyennant une petite animation. Il en va de même pour le bricolage des armes et des gadgets. En effet, il suffit d’ouvrir son inventaire pour créer l’amélioration ou l’objet voulu. Bien évidemment, il vous faudra toujours dénicher les schémas et les éléments nécessaires à la fabrication de ces derniers. Une facilitation, certes moins crédible, mais qui permet de ne pas casser le rythme de l’exploration.

Les armes à feu sont bien entendu également présentes en jeu. On attendait d’ailleurs leur introduction au tournant, tellement leur rendu s’est avéré pitoyable dans Dead Island. Force est de constater que de gros progrès ont été faits. Celles-ci s’avèrent beaucoup plus agréables à utiliser, mais se montrent toujours bien trop fades. D’autant plus que leur diversité est extrêmement restreinte (un pistolet, un fusil à canon scié et deux fusils d’assaut). On les délaissera donc rapidement pour se concentrer sur les combats au corps à corps. Toutefois, certains ennemis et situations exigeront de faire parler la poudre.

Recyclage et tri sélectif


Ce qui frappe le plus dans Dying Light, c’est sa capacité à récupérer sans vergogne des éléments vus dans d’autres productions. Et c’est notamment Far Cry qui se fait copieusement « plagier ». On retrouve donc le même principe dans la gestion du soin, de la fouille des cadavres et dans la gestion du craft. Cela ne s’arrête pas là puisqu’on retrouve des éléments de gameplay très similaires à la production d’Ubisoft, comme par exemple le principe des camps à libérer. S’il s’agit ici de safe house, le principe reste le même : une fois ces habitations nettoyées des zombies y ayant élu domicile, ces zones font office de checkpoints et permettent à Crane de dormir pour passer la nuit ou de semer des poursuivants cadavériques.



Cette inspiration est même très clairement reprise dans la mise en scène. On retrouve ainsi la figure caricaturale du grand méchant. Raïs nous fait tout de suite penser à un certain Vaas ou Pagan Min, en certes moins charismatique. Si le scénario s’avère toujours aussi nanardesque, il a néanmoins le mérite d’être un poil plus sombre, mais aussi mieux mis en scène. Une réalisation reprenant encore une fois les ficelles scénaristiques utilisées dans Far Cry, certes efficace, mais feignante. On retrouvera donc les inévitables passages de délires psychotiques et les mêmes plans entre cinématique et gameplay. 

Autre élément pioché chez la concurence, votre personnage peut lancer une sorte d'impulsion radar (sur simple pression d'une touche) afin d'indiquer tous les objets prospectables dans la zone où il se trouve. Une capacité qui n'a donc rien a envier à l'amulette de Geralt de Riv. Si Dying Light reprend dans les grandes lignes la recette de l’open world selon Ubisoft, il faudra néanmoins se contenter uniquement de la ville de Haran comme terrain de jeu. Exit donc les balades dans les grands espaces. Cependant on se rend vite compte que la cité est bien assez grande et tortueuse pour se suffire à elle-même.

D’autant plus que la seconde partie du jeu vous permet d’en explorer le cœur historique. Cette deuxième carte propose un environnement urbain bien plus dense et compact. Essentiellement constitué de petites ruelles et de passages coupe-gorges débouchant sur de grandes places coloniales. Un tracé urbain construit par des marées d’immeubles de taille moyenne, au style historique. On se rend alors vite compte que la première partie du jeu n’était qu’un prétexte pour faire office de terrain d’initiation au parkour.

Hussard sur le toit


Si on le souhaite, il devient possible de ne plus jamais mettre un pied au sol. La progression de toit en toit se montre encore plus fluide, plus rapide et plus gratifiante. D’autant plus qu’à ce moment du jeu vous aurez probablement débloqué le grappin. Moyennant une utilisation soumise à un petit cooldown, celui-ci permet de vous transformer en un véritable Spiderman. La progression sur la carte devient tout de suite beaucoup plus rapide et agréable. Une alternative intéressante aux déplacements en véhicule souvent patauds et alourdis par des animations poussives (de montée et de descente) que l’on observe dans la quasi-totalité des jeux open world. Dans cette deuxième partie, vos adversaires humains se font également bien plus présents.



On remarque d’ailleurs rapidement que ces derniers s’avèrent plus dangereux que les morts-vivants. Les hommes de Raïs et les divers pillards ont en effet la capacité (comme Crane) d’esquiver et de parer les coups au corps à corps. Le moins que l’on puisse dire c’est que ces derniers ont presque du sang de moine Shaolin dans les veines. Il est effectivement parfois ridicule de constater que ces scélérats arrivent même à parer un lancer nourri de shurikens ou de couteaux. Ces adversaires utilisent également des armes à feu et vous contraindront à faire de même.

Le cœur urbain de la ville est aussi l’occasion d’observer le soin particulier apporté à l’ambiance générale du titre. Bien plus sombre et pesant en comparaison du cadre idyllique de Banoi, celle-ci sait se montrer plus oppressante et s’offre même le luxe de vous faire parfois tressaillir. Les endroits clos et mal éclairés sont souvent l’occasion de faire surgir des coureurs ou des zombies explosifs sortis de nulle part. Les décors intérieurs s’avèrent eux aussi repeints du sol au plafond de tripes et de sang entrecoupé par des montagnes de charnier.

Rigidité cadavérique

 
Si tout ceci était la partie lumineuse du constat, tout est loin d’être parfait. Il convient donc d’aborder la partie moins reluisante du jeu. Comme tous les jeux Techland, Dying Light souffre de moult problèmes techniques. Si Haran apparait comme chatoyante vue de loin, elle est en revanche beaucoup moins éblouissante de près. La faute à des textures grossières, baveuses et souvent réutilisées. Côté direction artistique, si la ville arrive à se dégager une petite personnalité à mi-chemin entre orient et occident, il est loin d’en être de même pour le reste du jeu. Comme pour Dead Island, la patte graphique s’avère insipide et très générique. On retrouve donc des personnages sans charisme particulier, des objets plus ou moins génériques et des morts-vivants pas franchement originaux dans leur plastique.

Si piocher des mécanismes de gameplay à droite à gauche s’apparente à une relative sécurité, il induit indéniablement un réel manque d’identité globale. Encore une fois, ce problème s’avère être le point faible des productions du studio polonais. On pestera également contre cette obstination aveugle à proposer des quêtes secondaires aussi inintéressantes et rébarbatives que celles présentes dans un MMORPG. Le problème de la difficulté se pose également : si l’aventure s’avère relativement dure en début de partie, il en est tout autrement une fois votre personnage monté en puissance. En effet, Crane devient très vite un samurai ultra agile aussi à l’aise sur les toits que pour raccourcir du macchabée à tour de bras. À terme, même les phases de nuit perdent en intensité et en difficulté.

La durée de vie s’avère plutôt correcte : comptez environ une bonne vingtaine d’heures pour conclure la trame principale et le double pour venir à bout de toutes les missions secondaires et défis. Notez qu’un mode multijoueur est également présent, permettant à un joueur d’investir une partie en tant que zombie. Le véritable talon d’Achille du titre se situe avant tout dans son optimisation technique perfectible. Le jeu est sorti avec une gestion catastrophique des processeurs multicœurs, assortie d’options graphiques buguées (tout particulièrement la distance d’affichage) entrainant des fuites de mémoire colossales. Il faut avoir une configuration en haut du panier pour outrepasser cette piètre finition. Même avec ça, on assiste à un framerate qui s’obstine à jouer au yoyo en permanence. Fort heureusement, Techland s’est montré réactif et a vite déployé des patchs en série visant à corriger ces graves problèmes. Après une fournée de quatre correctifs, le jeu s’avère effectivement plus stable mais on est encore très loin d’une optimisation aux petits oignons.  
 
Pour finir, il convient de glisser un gros tacle à Warner Bros. L’éditeur avait en effet promis aucun embargo sur son jeu pour la presse. Le géant du divertissement a bien tenu parole, mais seulement d’une main puisqu’avec son autre paluche, celui-ci a offert aux rédactions un beau gros doigt d’honneur. Rusé comme un renard neurasthénique, ce dernier a en effet envoyé des copies de test seulement le jour même de la parution du jeu. Bien évidemment, l’éditeur n’a pas oublié de proposer, bien avant la parution de son titre, moult versions de son jeu à divers Youtubers stars dociles. Un tel comportement aurait pu présager une stratégie de cache-misère destinée à un titre médiocre. Mais la manœuvre n’était manifestement pas là pour ça. Cette tactique puante et moribonde apparait bien plus comme une véritable provocation en forme de coup de semonce adressé à la presse.

Ce n'est évidement pas la première fois qu'un éditeur choisis une telle stratégie. Si pour l'instant tout cela s'apparente à du tatonnage de terrain, on peut parier (sans trop se mouiller) que ce type de pratiques est appellé à se répandre comme une turista fulgurante.
Dying Light est sans conteste la bonne surprise de ce début d’année. Les promesses tant vantées (parkour et cycle jour/nuit) lors de la promotion du jeu n’étaient finalement pas que du vent. Techland réussit donc à insuffler une bonne dose d’originalité et arrive à renouveler un genre qui commençait à sentir autant le faisandé que les cadavres animés qu’il met en scène. Bien que le jeu s'avère très générique sur certains aspects, il arrive néanmoins à proposer une fraicheur et une fluidité qui faisaient défaut à la franchise Dead Island. Deep Silver et Yager vont donc avoir fort à faire pour contrer cette proposition au printemps prochain.

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Commentaires

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Tribune

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Zaza le Nounours
(22h53) Zaza le Nounours Steam ajoute un vrai overlay de perfs, et pas juste un compteur de FPS à la con [help.steampowered.com]
Laurent
(21h16) Laurent Big Apple > la prochaine est sans doute déjà construite
Big Apple
(20h41) Big Apple Caramba, encore raté! [youtube.com]
Wednesday 18 June 2025
choo.t
(23h45) choo.t Que ce soit Mario qui est fait vendre la NES ou la NES qui ai fait vendre Mario c'est complètement hors sujet et on s'en fout.
choo.t
(23h45) choo.t Par contre comme hiers t'a louvoyé dans tous les sens, mon propos initial c'est que le take de The Great review est éclaté, et que placer Nintendo en sauveur du JV post "crash" est tout aussi éclaté.
choo.t
(23h26) choo.t kirk.roundhouse > Mario a été en bundle dans le action set pack, entre autre. Et oui le marché US allait pas rester au plus bas très longtemps, y'a aucune raison de croire que les US allez devenir le seul pays à bouder le JV.
Palido
(23h12) Palido Oh, mais c'était bien 28 Years Later ! (mais les haïsseurs vont haïsser)
kirk.roundhouse
(22h47) kirk.roundhouse Ah donc la NES a permi de faire vendre du Mario, et ce n'est pas Mario qui était un system seller ? Et le marché a progressé de lui même après le crash et nintendo n'a fait qu'en profiter ? Soyons sérieux quoi...
choo.t
(22h45) choo.t Et l'affirmation que je contredit c'est pas "la NES a eu un énorme succès" mais "la nes a fait redécoller l'industrie". Ils ont pris la vague montante et son retrait sur le marcher us quand d'autres en sortait, mais c'est pas les sauveur du truc
choo.t
(22h36) choo.t C'est pas la même gen ni le même marché, assez littéralement. Et Mario était souvent bundled.
kirk.roundhouse
(21h57) kirk.roundhouse Par exemple, le jeu le plus vendu sur atari2600 étai pacman pour 8M. Mario sur NES c'est 40M. C'est juste incomparable.
choo.t
(21h57) choo.t Y'a eu une remontée du marché us après le crash, rien d'étonnant à ça, nintendo en a profité, tant mieux pour eux.
kirk.roundhouse
(21h56) kirk.roundhouse Move the goalspot ? On parle de jeux vidéo, pas de vente d'ordinateurs de centre administratif.
choo.t
(21h55) choo.t Mais surtout, l'affirmation que je contredit c'est que Nintendo aurait sauver l'industrie du jv. Celui ci se portait bien partout hors des US,
choo.t
(21h49) choo.t T'oublies aussi qu'à la même époque la Nes n'était pas la seule console. Par contre elle dominait le marcher US, c'est vrai.
choo.t
(21h48) choo.t Non mais mec, tu me dit qu'y avait pas un dixième du nombre de mes en ordinateur personnel. Je te démontre que tu as tord et tu viens move the goalpost.
kirk.roundhouse
(21h45) kirk.roundhouse Tu oublies dans tes chiffres que si il y a beaucoup plus de PC dans le monde que de switch, je ne pense pas que le PC de Nadine à la compta lui serve à jouer.
choo.t
(21h44) choo.t Bientot tu vas me dire que la Switch se vend mieux que les PC car aucun modèle de PC ne s'est vendu autant que la Switch.
kirk.roundhouse
(21h43) kirk.roundhouse Ah bah ça progresse.
choo.t
(21h43) choo.t La MSX c'est 9M
kirk.roundhouse
(21h42) kirk.roundhouse Plus que 55 millions et le compte est bon :D
choo.t
(21h41) choo.t Le concept de "trauma" qu'il avance pour justifier ce lien, c'est de la psychanalyse de comptoir transposé sur une multinationale. C'est complètement con.
choo.t
(21h39) choo.t et va falloir vraiment être souple pour essayer de justifier les procès de merde que j'ai cité, les procès actuel, et le fameux crash.
choo.t
(21h37) choo.t kirk.roundhouse > (21h36) Rien que la ZX c'est 5 millions d'unité.
choo.t
(21h37) choo.t kirk.roundhouse > (21h34) Non c'est pour arrêter de foutre Nintendo comme le sauveur du JV alors qu'il n'en est rien.
kirk.roundhouse
(21h36) kirk.roundhouse La NES c'est plus de 60 millions de consoles. Je ne pense pas que l'ordinateur personnel avait atteint ne serait ce que le 10ème de ce score.
choo.t
(21h36) choo.t MSX, Acorn, BBC Micro, Comodore, ZX Spectrum etc.
choo.t
(21h34) choo.t kirk.roundhouse > (21h32) Car en 83 c'était pas le PC au sens moderne de compatible PC, t'avais des ordinateur personnel (PC) incompatible entre eux, mais y'avait un marché du JV dessus.
kirk.roundhouse
(21h34) kirk.roundhouse Si c'est nier pour juste pour être anti Nintendo, c'est pas très constructif.
choo.t
(21h33) choo.t Nintendo a pas sauver l'industrie, par contre il a mis en places des mécanisme pour en extraire plus facilement la valeur par les constructeur de consoles.
kirk.roundhouse
(21h32) kirk.roundhouse En 83 je ne me rappelle pas que le JV PC était populaire. Et à part les US et le Japon à cette époque, y avait pas beaucoup de marchés pour l'industrie.
choo.t
(21h30) choo.t Le fameux modèle que Nintendo à éviter de reproduire, celui ouvert où n'importe qui peu dev, il se porte toujours aussi bien, c'est le modèle PC>
choo.t
(21h29) choo.t (21h26) Uniquement aux US et si on oublie le jeu PC. Et si on est très souple sur corrélation et causation.
kirk.roundhouse
(21h26) kirk.roundhouse C'est la popularité de la NES qui a fait redécoller l'industrie.
kirk.roundhouse
(21h25) kirk.roundhouse Non c'est un fait.
choo.t
(21h25) choo.t Y’a eu une grosse recession JV au states en 83, mais ça s'arrête là.
choo.t
(21h23) choo.t Le délire du crash de 83 et Nintendo en sauveur du JV ça relève plus de la légende qu'autre chose.
kirk.roundhouse
(20h58) kirk.roundhouse The Great review a une version différente de la raison pour laquelle Nintendo protège ses IP.
choo.t
(20h46) choo.t Toutes leur existence ils ont été des sales merdes, c'est juste que plus jeunes on ne s'en rendait pas compte, et que les infos sur leur procès ne circulait pas dans le grand public.
choo.t
(20h43) choo.t Ils avaient cherché à faire disparaitre la first-sale doctrine quand Blockbuster proposait des jeux à la location (et on fini par reussir en faisant des EULA de l'enfer)
choo.t
(20h41) choo.t Big Apple > Ninendo a toujours été anti-consumer, ils sont presque sages par rapport à leur début. Ils cherchaient à faire interdire les actions-replay car ça bouffé dans leur marge des appel surtaxé sur leur hotline d'aide de jeu.
choo.t
(20h39) choo.t Par contre c'est peut-être le bon plan pour les pirates pour choper des Switch 2 à prix cassé, encore mieux c'est des switch 2 du premier batch donc celle potentiellement les plus vulnérables aux hacks.
Big Apple
(20h39) Big Apple Un bon résumé de ce qu'est devenu Nintendo par une ancienne fan : [youtube.com]
BeatKitano
(18h25) BeatKitano Big Apple > (17h17) Ouais mais il aime ça. On me fera pas croire qu'il est pas maso... payer deux switch2...
Big Apple
(17h23) Big Apple A sa place, je fabriquerai un EMP portatif pour griller l'électronique de sa switch bricked puis je la retournerai au SAV pour me faire rembourser :-)
Big Apple
(17h17) Big Apple C'est marrant quand il rachète une autre Switch2 est se trouve à la limite de la crise cardiaque au moment du démarrage. [youtube.com]
choo.t
(15h57) choo.t Ça ne les empêchera pas de changer leur méthode de detection durant les prochaine MAJ par contre.
choo.t
(15h45) choo.t Ah bha même plus besoin de faire la manip, le MigSwitch a reçu une mise à jour de firmware [reddit.com]
choo.t
(15h43) choo.t Après il me semble que c'est contournable en changeant une resistance sur le MigSwitch, mais y'a toujours le risque de conflit d'ID de jeu.
choo.t
(15h42) choo.t BeatKitano > et encore c'est la version soft ça, c'est pas encore le brick à coup d'efuse.
BeatKitano
(14h24) BeatKitano Nintendo a effectivement ttué l'occasion au passage.
BeatKitano
(14h23) BeatKitano En plus c'est une super idée a la con, parce que tu peux supprimer ton compte mais dès que tu utilises un autre compte t'es rebanni. Du coup... vla les arnaques !
BeatKitano
(14h22) BeatKitano Bon ben c'est confirmé les switch2 deviennent des presse-papiers une fois bannies [youtube.com] On peut plus rien en faire. Faut être con pour acheter cette merde, entre le prix et ça... ahah.
BeatKitano
(03h49) BeatKitano Des jeux très très moyens faits par des gens qui respectent le matériel d’origine. 4/10
Le vertueux
(00h28) Le vertueux Palido > Nous avons hâte d'avoir ta review de Robocop.
Palido
(00h24) Palido Merci donc à Zaza sans qui ces 8 longues heures de jeu ne me seraient jamais arrivé et que je ne récupèrerai jamais.
Palido
(00h24) Palido Mais au final, j'ai réussi à terminer Terminator: Resistance et j'ai pas trop détesté et il y a quelques petites bonne idées. Mais quand même, ohlalala ces dialogues, OHLALALA cette scène de "romance" génante...
Palido
(00h23) Palido Y avait quand même un tas de truc incroyablement nuls mais j'ai pas pu m'empêcher de sourire à plusieurs reprises sur la fin. Je ne sais pas s'ils m'ont eu à l'usure ou si c'est la nostalgie qui a gagné...
Zaza le Nounours
(00h12) Zaza le Nounours Bref, ils savent plus quoi faire et tentent de se rattraper à toutes les branches qu'ils peuvent dans l'espoir d'arrêter une chute absolument inéluctable.
Zaza le Nounours
(00h10) Zaza le Nounours Un PC verrouillé et non-upgradable, évidemment.
Zaza le Nounours
(00h10) Zaza le Nounours rEkOM > si c'est effectivement le plan du moment chez MS (mais qui sait ce qu'ils prévoiront de faire la semaine prochaine ?), ça voudrait juste dire que la nouvelle Xbox serait un PC avec Windows et une surcouche d'UI Xbox.
Tuesday 17 June 2025
rEkOM
(23h03) rEkOM Je lis mal ou on pourra vraiment mettre steam sur la prochaine Xbox ? [theverge.com]
Mascouell
(22h59) Mascouell Combien de fois j'ai vu des parents au resto ou ailleirs foutre leur môme parfois en poussette devant un smartphone pour avoir la paix. L'argument de la précarité ne couvre absolument pas tous les types d'abus, il y a pas mal de marge de manœuvre.
Laurent
(22h58) Laurent choo.t > ya aussi des lames céramiques, mais elles sont plutôt courtes il me semble (la mienne fait pas plus de 1cm). Mais ça se nettoie facile et ça ne coupe pas les doigts.
Mascouell
(22h57) Mascouell Pour les écrans interdits avant 3 ans je vois pas trop le problème. Les dégâts sont connus, avoir une base un peu formelle pour habituer les gens au fait que c'est pas bien, c'est pas plus mal. Personne ne s'attend à des plaintes et des procès.
choo.t
(21h51) choo.t BeatKitano > Y’a des lames inox (et sans besoin d'huile de protection), c'est pas réellement food-safe mais notre bouffe elle même n'est plus food-safe de toute façon :(
BeatKitano
(21h23) BeatKitano Déjà 90TO pleins. Quizivienne avec leurs souscriptions !
BeatKitano
(21h22) BeatKitano J'aime tellement les opendir...
BeatKitano
(21h21) BeatKitano Je vais finir par prendre des actions STX moi. Internet est formidable. [i.imgur.com]
BeatKitano
(21h17) BeatKitano Non j'utiliserais absolument pas pour la bouffe, rien que l'huile d'usinage et l'oxydation rapide c'est niet pour le contact alimentaire.
choo.t
(21h15) choo.t J'avais lâché les cuter car mon problème c'était que c'était chiant pour laver la lame, et que pour couper une pomme, c'était l'enfer. Mais si tu t'en sers pas pour la bouffe ça va très bien.
Le vertueux
(21h15) Le vertueux À quoi bon interdire les couteaux alors que le Karate reste légal ? Cet art qui fera de n'importe qui une arme humaine ambulante ?
BeatKitano
(20h55) BeatKitano (et aussi c'est fou ce qu'on peut mettre dans le corps d'un cutter)
BeatKitano
(20h53) BeatKitano Non non le cutter c'est très bien. les lames ont jamais besoin d'être aiguisée. On peut toujours être proche d'un chantier et donc LE CONTEXTE et ensuite c'est très fin, donc très pratique pour certaines opérations qui ne relèvent pas de la découpe...
choo.t
(20h50) choo.t Par contre ça a une tolérance très faible, donc faut bien s'en occuper (j'en avait une dans la poche qui a fini par se bloquer avec les peluche de tissu )
choo.t
(20h48) choo.t (20h47) Haha
choo.t
(20h48) choo.t Sinon, selon le truc que t'as à coupé, les raptor shear ça me semble le bon plan, c'est surtout un outil de sécu (brise vitre, coupe ceinture, vetement) et c'est plus proche du ciseau que tu couteau donc je vois mal les flics t'embarquer pour ça.
BeatKitano
(20h47) BeatKitano choo.t > Non moi c'est pour ouvrir les emballages de couteau. ;D
choo.t
(20h45) choo.t BeatKitano > Ouai les combo cuter de sécu/brise-vitre c'est super utile.
BeatKitano
(20h35) BeatKitano choo.t > J'ai toujours un cutter sur moi ou dans mon véhicule parce que ça m'a sauvé la peau dans quelques situations ou j'avais besoin de découper des trucs (et je parle pas de violence).
choo.t
(20h31) choo.t Perso, presque tout mon entourage à toujours un couteau sur lui, que ce soit un opinel, un couteau suisse ou un Deejo pour les plus chics.
BeatKitano
(20h22) BeatKitano Laurent > (19h56) IFIXIT DEALERS DE SURINS§ AU TROU §
choo.t
(20h20) choo.t (20h15) Ça s'applique aussi hors des établissement scolaire, c'est préciser la ligne du dessous…
kirk.roundhouse
(20h15) kirk.roundhouse choo.t > la partie sanctions.
kirk.roundhouse
(20h13) kirk.roundhouse choo.t > non. Jamais.
choo.t
(20h12) choo.t kirk.roundhouse > Tu cites quoi là ? Mon lieu ne contient pas cette citation.
choo.t
(20h10) choo.t kirk.roundhouse > T'as pas un couteau suisse sur toi ?
kirk.roundhouse
(20h10) kirk.roundhouse choo.t > (20h00) "dans l'enceinte de l'école". C'est là encore très limité comme interdiction. La justesse amène la justice.
kirk.roundhouse
(20h09) kirk.roundhouse choo.t > (20h00) je ne me ballade pas avec ce genre d'ustensiles, et encore moins en manif ou teuf si j'y allais. Je ne comprends pas cette offuscation.
choo.t
(20h06) choo.t Bref, c'est clairement n'importe quel couteau, et j'ai apporté les sources de mon affirmation.
choo.t
(20h04) choo.t Le truc est déjà abusé, c'est souvent utilisé pour foutre des amendes à proximité des manifs, teufs etc.
choo.t
(20h02) choo.t Rajouter des lois par dessus ça, ça ne sert à rien, hormis les frite de piscine, tous les objets sont déjà la catégorie D.
choo.t
(20h01) choo.t (Ce qui fait que grosso modo, la vaste majorité de la population est quotidiennement en infraction)
choo.t
(20h00) choo.t Je cite leur exemple de catégorie D : «les poignards, les couteaux-poignards, opinel, couteau suisse, cutters, tournevis »
choo.t
(20h00) choo.t [masecurite.interieur.gouv.fr]
choo.t
(19h59) choo.t je cite : « Mais dans les faits, cela ne changera pas grand-chose, puisque les couteaux de cuisine entrent de fait dans la catégorie D, celle des armes blanches, déjà interdites à la vente aux mineurs. »
choo.t
(19h59) choo.t kirk.roundhouse > Bha : [francebleu.fr]
Laurent
(19h56) Laurent ah bah, ils n'ont même pas attendu demain [pbs.twimg.com]
kirk.roundhouse
(19h49) kirk.roundhouse Au moins avec la nouvelle loi, il n'y aura pas d'ambiguïté.
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