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Un coup d'oeil sur Bioshock Infinite

kimo par kimo,  email
 
Nous avons eu récemment la chance de prendre des nouvelles de Bioshock Infinite pendant une longue session de test lors d'un évènement parisien.

Comme le jeu sort bientôt, le 26 mars pour être précis, et qu'un test 100% professionnel est prévu dans la rédaction, on va quand même partager nos impressions tout en restant bref.

Sans surprise, c'est à peu près la même chose que les prédécesseurs : un FPS couloir et scripté doté d’une bonne ambiance, d’une direction artistique assez époustouflante et de combats à coup d’armes vintages et de plasmides. Pas de grosses nouveautés à prévoir si ce n’est un énorme changement d’ambiance avec un héros devenu très (trop?) bavard, des personnages secondaires plus présents et une ambiance bien moins crépusculaire que dans les précédents.

En contrepartie nous avons la joie de découvrir Colombus au sommet de sa gloire. C'est vraiment impressionnant et un énorme travail a été fourni pour rendre le tout vivant et nous en mettre plein les yeux. Mais derrière cette ville utopique se cachent d’énormes inégalités (qui l'eût cru? - esclavagisme et cie - bref on connait la chanson). Préparez-vous donc à retrouver l'esthétique art-déco chère à la série, sur fond de propagande politico-religieuse et d’idéologie confédéré, doublé par le traditionnel groupe de résistants.

Quant à la fameuse Elizabeth, sa sur-expressivité la ferait parfois passer pour une névrosée sous amphétamines, mais vu son passé, on va dire que c’est fait exprès (en plus c'est vachement attachant une névrosée, non?).

Bref, more of the same, mais un same de qualité. Finalement si vous n’avez jamais aimé avant, vous n’aimerez toujours pas, si vous êtes aigris vous n’aimez de toutes façons plus depuis le 2 mais vous y jouerez quand même (pour râler), et si vous êtes bon public, ça devrait continuer à vous plaire.
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