La dernière fois qu'on vous avait parlé du remake de PoP Sands of Time, c'était pour annoncer que les précommandes du jeu avaient été annulées. Six mois ont passé, et Ubi a aujourd'hui plein de choses à nous dire à propos de ce remake maudit. Par exemple, il ne sera une fois de plus pas visible lors de l'Ubisoft Forward du non-E3 en juin. Il y a une bonne raison à cela : annoncé en 2020, sans cesse repoussé avant d'être arraché des mains du studio de Pune pour être repris par celui de Montréal (à l'origine du jeu de 2003) en 2022, le jeu est désormais... en phase de conception. On aurait presque envie de rire si ce n'était pas aussi triste. On se donne rendez-vous au plus tôt en 2025 donc, sous réserve qu'il n'ait pas été mis à la benne pour de bon d'ici là.

Lire la suite sur le site : Enfin des nouvelles du remake de Prince of Persia: Sands of Time.

"sous réserve qu'il n'ait pas été mis à la benne pour de bon d'ici là."

Sous réserve qu'Ubisoft n'ait pas été bradé à un random milliardaire qui aura fait le ménage dans la boite, d'ici là, surtout.

Même si Musk rachetait Ubi, ça pourrait pas être pire que ce qu'en font Guillemot et ses sbires depuis des années.

Et au moins ça serait sûrement beaucoup plus rigolo.

Random milliardaire = un gars du genre Bolloré, pas Musk.

billou95 a écrit :
"sous réserve qu'il n'ait pas été mis à la benne pour de bon d'ici là."

Sous réserve qu'Ubisoft n'ait pas été bradé à un random milliardaire qui aura fait le ménage dans la boite, d'ici là, surtout.

Ce serait une bonne nouvelle au contraire.

Krondor a écrit :

billou95 a écrit :
"sous réserve qu'il n'ait pas été mis à la benne pour de bon d'ici là."

Sous réserve qu'Ubisoft n'ait pas été bradé à un random milliardaire qui aura fait le ménage dans la boite, d'ici là, surtout.

Ce serait une bonne nouvelle au contraire.

Dans le sens où la main d'œuvre, au chômage, serait forcée d'aller bosser pour d'autres boites ou de fonder la leur afin, d'éventuellement, faire des simus de Karaté ?

Zaza le Nounours a écrit :
Même si Musk rachetait Ubi, ça pourrait pas être pire que ce qu'en font Guillemot et ses sbires depuis des années.

Et au moins ça serait sûrement beaucoup plus rigolo.

Oui ça serait vachement rigolo de voir 50% de la masse salariale d'Ubi (10k employés) se faire licencier.
Ca serait surtout un énorme drame social.

lichen a écrit :

Zaza le Nounours a écrit :
Même si Musk rachetait Ubi, ça pourrait pas être pire que ce qu'en font Guillemot et ses sbires depuis des années.

Et au moins ça serait sûrement beaucoup plus rigolo.

Oui ça serait vachement rigolo de voir 50% de la masse salariale d'Ubi (10k employés) se faire licencier.
Ca serait surtout un énorme drame social.

Ah mais moi je parle pas de virer des gens, y a pas besoin de Musk pour ça. Je voudrais juste voir comment il arrive à péter la boite comme il a pété twitter en même pas six mois avec ses idées de gogole.

Très sincèrement je me demande si les employés en France ne préféraient pas se retrouver licencié avec les indemnités et chômage plutôt que démissionner sans grand chose.

Vu tous les retards annulations et sûrement la mauvaise ambiance ils doivent presque attendre une vente salvatrice…

Les indemnités de licenciement après un licenciement économique ça ne te redonne pas un travail pour autant malheureusement, juste du temps pour retomber sur tes pieds et essayer de retrouver un autre emploi.
Dans un secteur comme le JV, pour les gens qui n'ont pas une mobilité importante (famille par exemple) retrouver un emploi s'ils ne sont pas déjà dans une capitale du JV comme Montréal, ça peut être très compliqué.

Il y a un marché du travail dans le JV qui sera peut-être très saturé prochainement avec tous les licenciements en cours et à venir :
https://kotaku.com/microsoft-ea-ubisoft-layoffs-game-dev-jobs-recession-1850467429

Si Ubi devait licencier plusieurs milliers de ses employés, j'ai aucun doute sur le fait que le top 10% des employés les plus expérimentés et travaillant sur des spécialités très recherchées, trouveront du travail dans d'autres studios en quelques semaines s'ils le souhaitent.

Je m'inquiète plutôt pour les jeunes employés et les 90% restants, ceux qui évoluent sur des spécialités qui ne sont pas recherchées en dehors du JV (donc faible possibilité de reconversion) et pour les spécialités qui même dans le jeu vidéo ne sont pas spécialement recherchées actuellement.

Le vertueux a écrit :

Krondor a écrit :

billou95 a écrit :
"sous réserve qu'il n'ait pas été mis à la benne pour de bon d'ici là."

Sous réserve qu'Ubisoft n'ait pas été bradé à un random milliardaire qui aura fait le ménage dans la boite, d'ici là, surtout.

Ce serait une bonne nouvelle au contraire.

Dans le sens où la main d'œuvre, au chômage, serait forcée d'aller bosser pour d'autres boites ou de fonder la leur afin, d'éventuellement, faire des simus de Karaté ?

Dans le sens où on peut pas faire pire que ce font les frère guillemot de cette boite.
Le chomage, il y a pas besoin de rachat pour que ça arrive.

lichen a écrit :
Les indemnités de licenciement après un licenciement économique ça ne te redonne pas un travail pour autant malheureusement, juste du temps pour retomber sur tes pieds et essayer de retrouver un autre emploi.
Dans un secteur comme le JV, pour les gens qui n'ont pas une mobilité importante (famille par exemple) retrouver un emploi s'ils ne sont pas déjà dans une capitale du JV comme Montréal, ça peut être très compliqué.

Il y a un marché du travail dans le JV qui sera peut-être très saturé prochainement avec tous les licenciements en cours et à venir :
https://kotaku.com/microsoft-ea-ubisoft-layoffs-game-dev-jobs-recession-1850467429

Si Ubi devait licencier plusieurs milliers de ses employés, j'ai aucun doute sur le fait que le top 10% des employés les plus expérimentés et travaillant sur des spécialités très recherchées, trouveront du travail dans d'autres studios en quelques semaines s'ils le souhaitent.

Je m'inquiète plutôt pour les jeunes employés et les 90% restants, ceux qui évoluent sur des spécialités qui ne sont pas recherchées en dehors du JV (donc faible possibilité de reconversion) et pour les spécialités qui même dans le jeu vidéo ne sont pas spécialement recherchées actuellement.

Licenciement économique je l'ai vécu, ça m'a donné un an et la possibilité de suivre des formations pour me requalifer ou m'améliorer, j'ai décidé de faire une formation pour apprendre les CMS ou eshops. Certes je ne suis "que" dev web mais j'ai été plus soulagé et j'ai pris plus de confiance grâce à cette formation et mon salaire maintenu à 80% et donc pas la pression de me retrouver sans revenu et sans toît sur la tête.

Certes ça n'est pas un nouvel emploi mais ça permet de respirer et de se former.

Ce n'est pas le cas pour tout le monde c'est certain.

Si Ubisoft s'est adonné avec acharnement therapeutique à la création d'une nouvelle licence telle que Skull & Bones depuis l'année 2012, il me semble qu'ils seraient enclins à réitérer cette démarche en ce qui concerne Prince of Persia. Après tout, ils n'ont guère fait preuve d'une utilisation judicieuse de leurs ressources financières pour l'élaboration de nouvelles franchises.

Vector a écrit :
Si Ubisoft s'est adonné avec acharnement therapeutique à la création d'une nouvelle licence telle que Skull & Bones depuis l'année 2012, il me semble qu'ils seraient enclins à réitérer cette démarche en ce qui concerne Prince of Persia. Après tout, ils n'ont guère fait preuve d'une utilisation judicieuse de leurs ressources financières pour l'élaboration de nouvelles franchises.

Pour S&B on aura jamais le fin mot de l'histoire mais y a toujours cette rumeur persistante du fait que Singapour tient Ubi par les couilles et qu'ils devraient rendre une masse de pognon absolument non-négligeable s'ils ne devaient pas sortir le jeu.

PoP à mon avis ils doivent rien à personne, ils on dû coller trois stagiaires dessus pour faire des concept arts avec Midjourney, dans six mois ils disent "pff, c'est bon, flemme" et ils enterrent le truc.