Pose virile, regard de braise, petite moue fâchée : le commandant Shepard s'affichera dans le prochain Têtu pour la promo de Mass Effect 3.

Lire la suite sur le site : Mass Effect 3 : viens jouer avec Shepard.

I'm Commander Shepard and this is my favorite magazine on the Citadel.

Meddle a écrit :
I'm Commander Shepard and this is my favorite magazine on the Citadel.

Tellement vrai. J'ai peur pour la série quand je vois cet artwork...

Ce qui est décevant c'est les Reapers qui attaquent la Terre. Dans la famille "oh putain je l'avais pas vu venir à 2M d'années lumières" je voudrais le père.

Dommage qu'ils aient prit ce raccourci si facile et évident.

Dans le futur, la Corse et la Sardaigne ne feront qu'un !

Je note que leur attaque à l'air d'être localisée en Afrique, ce qui est assez rassurant pour nous finalement.

Le pire c'est qu'ils annoncent ça comme une surprise, un évènement, alors qu'on s'y attendait déjà avec les premières annonces du 2. "A savoir que les colonies humaines se font attaquer".
Donc avant même la sortie du 2 c'était prévisible (cette attaque sur la terre).
Si le scénario est aussi prévisible (allons réunir les autres races mais qui ont des problèmes à résoudre avant qu'ils puissent nous rejoindre, comme dans Dragon Age Origins) si c'est aussi prévisible que le gameplay, tu auras des armes avec lesquels tu pourras contrôler la puissance du soleil et terminer le jeu rien qu'en visant les ennemis. Ho yes. é_é
Comme dans le 2 en fait.

Pour petite info, le DLC Arrival "augure" un conflit entre butariens et humains puisque Shepard détruit un relais, censé amener les Reapers dans la voie lactée en quelques jours, à l'aide d'un astéroïde qui tue par la même occasion des milliers de Butariens. Du coup, Jack Bauer... Heu Shepard pardon, est convoqué sur terre pour subir un procès.

AirborneCody a écrit :
J'ai peur pour la série quand je vois cet artwork...

Ah? C'est si différent de ça ou ça?

Oui enfin bon chez moi Shepard, c'est une madame
PS: Shanks, utilises la balise spoiler stp

Ca n'est qu'une image, mais c'est vrai qu'elle est assez ridicule quand même.

Je me lance dans la prospective : les reapers attaquent la Terre, ils ne sont vraiment pas jouasses du tout parce qu'ils ont perdu leur pote et en plus c'est sacrément la honte de s'être fait poutrer par des gueux.

Bref, ils sont nombreux et pas contents. Shepard arrive à la rescousse tel un Zorro des temps futurs. Pas trop tôt, histoire de faire grimper les chiffres de l'extermination et renforcer le côté dramatique de la chose d'une part et l'égo surdimensionné du joueur d'autre part : vous êtes le seul espoir de la galaxie.

J'imagine bien qu'il va aller sauver son pote le président du concile, qu'avec lui il vont monter dans un avion de chasse et aller balancer un virus (informatique ou naturel, j'hésite encore, les deux probablement) dans ces saloperies. Avant la scène finale il va tenter de se reproduire au cas où ça tournerait mal (suspens, choisira t il un partenaire correctement équipé pour ça ?). Après avoir connu le NPC au sens biblique du terme lors d'une scène d'amour torride sans aucun bruit et en slip, il part en mission suicide sur une musique grandiloquente, bute des monceaux de machins qui bougent, balance le virus et s'enfuit. Après ça c'est un sacré putain de héros.

Fin alternative : il crève écrasé par une caisse qui passait par là et le reste de l'humanité se cache des reapers jusqu'à ce que son fils grandisse et puisse reprendre le flambeau.

Si avec ça je suis loin du compte, j'ai rien compris. ;)

Je précise quand même que j'ai bien aimé Mass Effect.

Je sais pas si vous lisez (ou vous vous souvenez des dialogues) mais rien que la scène finale du premier annonce clairement que la terre va se faire attaquer. Cf le cycle sur plusieurs millénaires

On ne niera pas qu'il y a de bonnes grosses ficelles du "scénar qui marche bien", mais globalement, l'histoire se tient bien et donne envie d'être vécue jusqu'à la fin du deux en tout cas.

Ce qui me dérange le plus dans le fond, ce n'est pas la globalité du scénar, mais certains passages bien mielleux avec fond de patriotisme américano-masseffectiste...