Souvenez-vous, nous vous parlions des ces associations d'Haïtiens se plaignant de l'appel aux meurtres proférés contre eux dans l'excellent jeu vidéo Grand Theft Auto : Vice City.

Nous avions un peu oublié cette histoire quand un certain lilo nous a demandé de vous parler de la suite. Parce qu'il y a une suite, eh oui !

Les Haïtiens en Colère, aussi appelés les "HeC", sont allés voir Michael Bloomberg, le maire de New York, pour lui demander de faire quelque chose. En effet, le siège de Take Two se trouve dans sa ville, il était donc facile pour lui de racketer les employés de la boite si les patrons ne censuraient pas leur jeu. Et pouf, c'est ce qu'ils ont fait. Les phrases du genre "Eventrez tous ces Haïtiens !" ou "Violez toutes ces Haïtiennes !" seront donc supprimées du jeu.

Heureusement, il reste .

Lire la suite sur le site : Les Haïtiens toujours en colère.

Je suis curieux de savoir combien Michael Bloomberg à t'il touché des Haïtiens pour embêter take two.
Vu l'homme d'affaire qu'il est, ça n'a pas du être gratuit...

pense tu vraiment que les haïtiens ont de l'argent?

Je vais en Haïti au mois de février pour 2 semaines. Aller les aider. Crois moi qu'il mange pas a tous les jours, qu'il ré-utilise une petit cahier d'écriture année après année (il efface les pages, et recommence l'année suivante) et sa, c'est pour ceux qui ont la chance d'aller a l'école!! Ils n'ont donc pas d'argent pour parler au maire de N.-Y. C'est des êtres humains comme les autres, moins chanceux.


Edit: Désoler, je n'avais pas lu la news présédente qui disait que c'étais des Haïtiens vivant a N.-Y. . Mes reste que sa ne veux aps dire qu'il sont plus riche pour autant!

Oui, en somme, "pas besoin" d'aller en Haïti pour trouver des gens dans le besoin. Y en a au coin de la rue (et je ne connais pas ta rue), mais c'est toujours bon de le rappeler...

Attention, je ne critique pas ton engagement, bien au contraire !

ca reste de la viande fraiche est commestible

Je les Haït

The (natives) haitiens are restless tonight

tutu en fait.