Que pouvaient bien faire les anciens de Relic, devenus Blackbird Interactive, en attendant de revenir à un Homeworld 3 ? La réponse était évidente : développer des jeux moins ambitieux mais gardant la même fibre, la même science-fiction anguleuse et quasi chirurgicale. Bref, rester dans l'univers Homeworld.

En 2016, on a donc eu Homeworld: Deserts of Kharak et maintenant, en 2022, après un accès anticipé de presque 2 ans, c'est au tour d' Hardspace: Shipbreaker de débarquer. Alors prenez votre combinaison, respirez un grand coup, fermez votre casque et on ouvre le sas direction l'espace.

Lire la suite sur le site : Hardspace: Shipbreaker.

Excellent jeu de détente. Tu fais ton taf de ferrailleur de l'espace. Je pense que ça rejoint un peu les "simus" qui popent depuis quelques années, les jeux où tu nettoies des surfaces, tu tonds la pelouse, tu vis la vie d'un streameur youtube etc...
Sauf qu'ici c'est bien foutu.

Je n'ai pas eu de freeze perso, ça tourne bien.

Par contre, un point important, le scénario est vraiment pourri, c'est ultra nase, ce sont des moments vraiment pénibles. C'est tellement agaçant que t'as envie de dénoncer tes interlocuteurs communistes à la firme qui t'enfle, pire, t'as envie de les éliminer toi même, de faire le boulot de la corpo, gratuitement, c'est pour moi les gars !
Mais tu ne peux pas le faire, tu subis leurs jérémiades sans pouvoir skip.


J'aurais aimé que le jeu soit plus gros, plus cher, plus de systèmes, plus de protocoles, peut être même un peu de combat. Là ça laisse un peu sur sa faim, mais bon travail.