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Dying Light

Marc par Marc,  email
 
Laisser son enfant sur le bord de la route, c’est ce qu’a choisi de faire Techland avec Dead Island. Rentré en conflit avec son ex-éditeur, le studio a choisi de léguer sa licence d’équarrissage zombiesque à Deep Silver. On se souvient du tout premier trailer sublime du titre, promettant un univers tragique, sombre et mature. Malheureusement, ce dernier n’a su nous proposer qu’un scénario nanardesque digne d’une série Z. Né du désir de repartir sur une copie vierge, Dying Light a donc pour ambition de se doter d’un univers plus mature. Cependant, et on le sait bien, le carnage de corps putréfié n’est pas vraiment un terrain propice à un développement scénaristique poussé. Mais est-ce vraiment l’intérêt de cette remise à plat ?
 

Retour à Zombieland


Vous incarnez Kyle Crane, un agent du GRE, une agence paragouvernementale clandestine. Celle-ci a pour mission d’endiguer le virus transformant les habitants d’Haran en cadavres ambulants. Coincée entre occident et orient, cette ville de taille moyenne de l’est de la Turquie est alors entièrement bouclée et mise sous quarantaine. Balancé depuis un avion militaire cargo, c’est en parachute que votre alter ego découvre son nouveau terrain de jeu. Dans cette cité baignée par un soleil de plomb et balayée par des vents chargés de pollens, votre mission y sera de retrouver un certain Souleiman. Le larron n’est autre qu’un homme politique local véreux en possession de documents sensibles relatifs aux origines du virus.

C’est au milieu d’un bidonville crasseux que votre aventure commence. Vous êtes récupéré par une bande de résistants locaux ayant élu domicile dans un gratte-ciel, qui d'ailleurs s'empresseront de vous mettre vite au parfum. Bien évidement, ce groupe tente de survivre au milieu de tout ce foutoir. Pour ce faire, tout ce petit monde s’affaire à récupérer des largages humanitaires effectués par le GRE. Ces parachutages de vivres contiennent tout particulièrement des doses d’Antizine, un sérum retardant les effets du virus chez l’individu infecté. Cette situation délicate est encore compliquée par une lutte de tous les instants face à un certain Raïs.



Dangereux psychopathe, le bonhomme s’est monté sa propre petite milice paramilitaire essentiellement constituée de gros bras. Ces gentlemen ont pour principale activité le rançonnage et le pillage des autres groupes de survivants. Après un didacticiel trainant en longueur, vos nouveaux amis vous mettront très vite à contribution. Une flopée de quêtes annexes, aussi « passionnantes » que celles présentes dans Dead Island, vous sera assignée. Une fois déboulé dans les rues, on se rend alors vite compte que celles-ci sont littéralement engorgées par les zombies.

Même si on est loin des marées de cadavres proposées par un Dead Rising, la densité de la population cadavérique s’avère bien plus importante que dans la franchise de Deep Silver. Il apparait donc très vite comme suicidaire de foncer dans le tas et ça tombe bien, car vous allez pouvoir crapahuter tel un chat de gouttière de toit en toit. Tant vanté depuis l’annonce du jeu, le système de parkour s’impose dès le début comme une évidence. Escalader les murs, sauter du toit d’un taudis à un autre ou se déplacer agilement dans les rues jonchées de détritus sont autant de solutions qui s’avèrent préférables à l’affrontement direct.

Tant qu’il y a des prises, il est littéralement possible de grimper partout. Portée par des animations rapides, cette manière de se mouvoir dans l’espace urbain s’avère d’un fun et surtout d’une fluidité très efficace. Ce qui n’est pas un mal, car vous allez devoir jouer au yamakasi un bon bout de temps afin d’éviter la plèbe morbide. Si cette dernière est en majorité constituée de chair à canon, on retrouve également les traditionnels malabars lents (mais puissants), les coureurs extrêmement agiles, les cracheurs de bile et les zombies kamikazes qui ont manifestement mangé un peu trop épicé. Si ce bestiaire ne fait absolument pas dans l’originalité, il s’enrichit un peu plus de nuit. Le cycle jour nuit était lui aussi un des éléments les plus mis en avant lors de la promotion du titre, qu’en est-il donc?

The Dying Light : Wild Hunt

 
Lorsque le jour décline, Haran s’enfonce dans le noir complet. Se balader sans sa lampe de poche revient littéralement à se crever les deux yeux. De plus, la nuit s’avère être le terrain de chasse de prédilection de zombies spéciaux : les rapaces. Véritables plaies, ces derniers sont extrêmement sensibles à la lumière et se réfugient la journée au fin fond de tunnels. Relativement nombreux, ces derniers patrouillent à travers les rues à la recherche de victimes à dévorer. Leur présence est d’ailleurs symbolisée sur la mini-map, assortie d’un cône indiquant leur champ de vision. Si vous avez alors le malheur de rentrer dans celui-ci, ces traqueurs décharnés se mettront à vous poursuivre telle des bêtes démoniaques frénétiques. Et ne comptez pas les semer en jouant de votre accointance pour le parkour, car ces poursuivants zélés s’avèrent bien plus rapides et agiles que votre personnage.

Le seul moyen efficace pour tenter de sauver vos fesses est d’éblouir ces derniers avec une lampe UV, les aveuglant pendant quelques misérables secondes. Notez aussi que, comme les zombies classiques, ces derniers sont sensibles au bruit et à la lumière. On est donc parfois forcé de se balader sans lampe torche, afin d’éviter de se faire repérer, lorsque deux rapaces patrouillent à proximité. Ce qui a pour effet de se retrouver dans des situations parfois cocasses. Il n’est donc pas rare lorsqu’on rallume sa petite lampe, de se retrouver nez à nez avec une grappe de zombies qui s’empresseront de vous encercler. L’ambiance de ces phases de jeu est clairement une réussite.

Une véritable sensation de traque sauvage s’en dégage et fait naitre un sentiment indéniable de vulnérabilité. Cependant, s'adonner au parkour de nuit sera récompensé par des points d’expériences doublés, si vous survivez… C’est aussi là que réside la particularité du titre. L’expérience est répartie entre trois compétences : agilité, combat et survie. Chacune d’elle possède sa  barre de progression respective, à la manière d’un Skyrim. En clair, plus vous crapahutez plus vous remplirez votre barre d’agilité. Le même principe s’applique pour la branche combat. Côté survie, les précieux points s’acquièrent eux en accomplissant des quêtes. Une fois une barre de progression remplie, vous aurez un point à dépenser dans l’arbre de talent dédié.

Trinité survivaliste

 
Vous pourrez ainsi y piocher diverses compétences, vous transformant à terme en un véritable cabri doublé d’une moissonneuse batteuse. Grimper plus rapidement, courir à la verticale sur les murs, réduire les dégâts de chute sont autant de possibilités qui aideront Crane à se mouvoir bien plus agilement et rapidement. Les compétences de survie restent quant à elles dans le classique et vous octroieront un inventaire plus grand ou encore la possibilité de fabriquer divers gadgets (grenades, shurikens, etc.). Concernant l’arbre dédié au combat, certains perks débloqués vous font envisager les affrontements bien plus sereinement. Il s’agit pour la plupart de coups spéciaux (spécifiques à différents types d’armes) et de diverses améliorations. Mention spéciale au coup de pied joint à l’horizontale (façon catcheur) permettant d’envoyer valdinguer les zombies dans un effet particulièrement jouissif.

Ces améliorations vous font donc vite renouer avec le massacre de chair putréfiée. Pour cela vous disposez d’un éventail d’outils, un peu trop classique certes, mais qui n’a rien à envier à la sacoche d’ustensiles d’un artisan boucher-charcutier. Si vos premières armes s’avèrent relativement pathétiques (pied de table, clef à molette, tuyaux), on déniche rapidement machette, katana, claymore, marteau et autres joyeusetés qui s’avèrent bien plus efficaces.

Détail important, il n’est pas possible de réparer indéfiniment ses armes. Compter en moyenne de 3 à 5 réparations par objet. Toutefois, il est possible d’augmenter ce nombre à l’aide de diverses compétences de survie. Adieu également les ateliers puisque ces réparations peuvent se faire n’importe où moyennant une petite animation. Il en va de même pour le bricolage des armes et des gadgets. En effet, il suffit d’ouvrir son inventaire pour créer l’amélioration ou l’objet voulu. Bien évidemment, il vous faudra toujours dénicher les schémas et les éléments nécessaires à la fabrication de ces derniers. Une facilitation, certes moins crédible, mais qui permet de ne pas casser le rythme de l’exploration.

Les armes à feu sont bien entendu également présentes en jeu. On attendait d’ailleurs leur introduction au tournant, tellement leur rendu s’est avéré pitoyable dans Dead Island. Force est de constater que de gros progrès ont été faits. Celles-ci s’avèrent beaucoup plus agréables à utiliser, mais se montrent toujours bien trop fades. D’autant plus que leur diversité est extrêmement restreinte (un pistolet, un fusil à canon scié et deux fusils d’assaut). On les délaissera donc rapidement pour se concentrer sur les combats au corps à corps. Toutefois, certains ennemis et situations exigeront de faire parler la poudre.

Recyclage et tri sélectif


Ce qui frappe le plus dans Dying Light, c’est sa capacité à récupérer sans vergogne des éléments vus dans d’autres productions. Et c’est notamment Far Cry qui se fait copieusement « plagier ». On retrouve donc le même principe dans la gestion du soin, de la fouille des cadavres et dans la gestion du craft. Cela ne s’arrête pas là puisqu’on retrouve des éléments de gameplay très similaires à la production d’Ubisoft, comme par exemple le principe des camps à libérer. S’il s’agit ici de safe house, le principe reste le même : une fois ces habitations nettoyées des zombies y ayant élu domicile, ces zones font office de checkpoints et permettent à Crane de dormir pour passer la nuit ou de semer des poursuivants cadavériques.



Cette inspiration est même très clairement reprise dans la mise en scène. On retrouve ainsi la figure caricaturale du grand méchant. Raïs nous fait tout de suite penser à un certain Vaas ou Pagan Min, en certes moins charismatique. Si le scénario s’avère toujours aussi nanardesque, il a néanmoins le mérite d’être un poil plus sombre, mais aussi mieux mis en scène. Une réalisation reprenant encore une fois les ficelles scénaristiques utilisées dans Far Cry, certes efficace, mais feignante. On retrouvera donc les inévitables passages de délires psychotiques et les mêmes plans entre cinématique et gameplay. 

Autre élément pioché chez la concurence, votre personnage peut lancer une sorte d'impulsion radar (sur simple pression d'une touche) afin d'indiquer tous les objets prospectables dans la zone où il se trouve. Une capacité qui n'a donc rien a envier à l'amulette de Geralt de Riv. Si Dying Light reprend dans les grandes lignes la recette de l’open world selon Ubisoft, il faudra néanmoins se contenter uniquement de la ville de Haran comme terrain de jeu. Exit donc les balades dans les grands espaces. Cependant on se rend vite compte que la cité est bien assez grande et tortueuse pour se suffire à elle-même.

D’autant plus que la seconde partie du jeu vous permet d’en explorer le cœur historique. Cette deuxième carte propose un environnement urbain bien plus dense et compact. Essentiellement constitué de petites ruelles et de passages coupe-gorges débouchant sur de grandes places coloniales. Un tracé urbain construit par des marées d’immeubles de taille moyenne, au style historique. On se rend alors vite compte que la première partie du jeu n’était qu’un prétexte pour faire office de terrain d’initiation au parkour.

Hussard sur le toit


Si on le souhaite, il devient possible de ne plus jamais mettre un pied au sol. La progression de toit en toit se montre encore plus fluide, plus rapide et plus gratifiante. D’autant plus qu’à ce moment du jeu vous aurez probablement débloqué le grappin. Moyennant une utilisation soumise à un petit cooldown, celui-ci permet de vous transformer en un véritable Spiderman. La progression sur la carte devient tout de suite beaucoup plus rapide et agréable. Une alternative intéressante aux déplacements en véhicule souvent patauds et alourdis par des animations poussives (de montée et de descente) que l’on observe dans la quasi-totalité des jeux open world. Dans cette deuxième partie, vos adversaires humains se font également bien plus présents.



On remarque d’ailleurs rapidement que ces derniers s’avèrent plus dangereux que les morts-vivants. Les hommes de Raïs et les divers pillards ont en effet la capacité (comme Crane) d’esquiver et de parer les coups au corps à corps. Le moins que l’on puisse dire c’est que ces derniers ont presque du sang de moine Shaolin dans les veines. Il est effectivement parfois ridicule de constater que ces scélérats arrivent même à parer un lancer nourri de shurikens ou de couteaux. Ces adversaires utilisent également des armes à feu et vous contraindront à faire de même.

Le cœur urbain de la ville est aussi l’occasion d’observer le soin particulier apporté à l’ambiance générale du titre. Bien plus sombre et pesant en comparaison du cadre idyllique de Banoi, celle-ci sait se montrer plus oppressante et s’offre même le luxe de vous faire parfois tressaillir. Les endroits clos et mal éclairés sont souvent l’occasion de faire surgir des coureurs ou des zombies explosifs sortis de nulle part. Les décors intérieurs s’avèrent eux aussi repeints du sol au plafond de tripes et de sang entrecoupé par des montagnes de charnier.

Rigidité cadavérique

 
Si tout ceci était la partie lumineuse du constat, tout est loin d’être parfait. Il convient donc d’aborder la partie moins reluisante du jeu. Comme tous les jeux Techland, Dying Light souffre de moult problèmes techniques. Si Haran apparait comme chatoyante vue de loin, elle est en revanche beaucoup moins éblouissante de près. La faute à des textures grossières, baveuses et souvent réutilisées. Côté direction artistique, si la ville arrive à se dégager une petite personnalité à mi-chemin entre orient et occident, il est loin d’en être de même pour le reste du jeu. Comme pour Dead Island, la patte graphique s’avère insipide et très générique. On retrouve donc des personnages sans charisme particulier, des objets plus ou moins génériques et des morts-vivants pas franchement originaux dans leur plastique.

Si piocher des mécanismes de gameplay à droite à gauche s’apparente à une relative sécurité, il induit indéniablement un réel manque d’identité globale. Encore une fois, ce problème s’avère être le point faible des productions du studio polonais. On pestera également contre cette obstination aveugle à proposer des quêtes secondaires aussi inintéressantes et rébarbatives que celles présentes dans un MMORPG. Le problème de la difficulté se pose également : si l’aventure s’avère relativement dure en début de partie, il en est tout autrement une fois votre personnage monté en puissance. En effet, Crane devient très vite un samurai ultra agile aussi à l’aise sur les toits que pour raccourcir du macchabée à tour de bras. À terme, même les phases de nuit perdent en intensité et en difficulté.

La durée de vie s’avère plutôt correcte : comptez environ une bonne vingtaine d’heures pour conclure la trame principale et le double pour venir à bout de toutes les missions secondaires et défis. Notez qu’un mode multijoueur est également présent, permettant à un joueur d’investir une partie en tant que zombie. Le véritable talon d’Achille du titre se situe avant tout dans son optimisation technique perfectible. Le jeu est sorti avec une gestion catastrophique des processeurs multicœurs, assortie d’options graphiques buguées (tout particulièrement la distance d’affichage) entrainant des fuites de mémoire colossales. Il faut avoir une configuration en haut du panier pour outrepasser cette piètre finition. Même avec ça, on assiste à un framerate qui s’obstine à jouer au yoyo en permanence. Fort heureusement, Techland s’est montré réactif et a vite déployé des patchs en série visant à corriger ces graves problèmes. Après une fournée de quatre correctifs, le jeu s’avère effectivement plus stable mais on est encore très loin d’une optimisation aux petits oignons.  
 
Pour finir, il convient de glisser un gros tacle à Warner Bros. L’éditeur avait en effet promis aucun embargo sur son jeu pour la presse. Le géant du divertissement a bien tenu parole, mais seulement d’une main puisqu’avec son autre paluche, celui-ci a offert aux rédactions un beau gros doigt d’honneur. Rusé comme un renard neurasthénique, ce dernier a en effet envoyé des copies de test seulement le jour même de la parution du jeu. Bien évidemment, l’éditeur n’a pas oublié de proposer, bien avant la parution de son titre, moult versions de son jeu à divers Youtubers stars dociles. Un tel comportement aurait pu présager une stratégie de cache-misère destinée à un titre médiocre. Mais la manœuvre n’était manifestement pas là pour ça. Cette tactique puante et moribonde apparait bien plus comme une véritable provocation en forme de coup de semonce adressé à la presse.

Ce n'est évidement pas la première fois qu'un éditeur choisis une telle stratégie. Si pour l'instant tout cela s'apparente à du tatonnage de terrain, on peut parier (sans trop se mouiller) que ce type de pratiques est appellé à se répandre comme une turista fulgurante.
Dying Light est sans conteste la bonne surprise de ce début d’année. Les promesses tant vantées (parkour et cycle jour/nuit) lors de la promotion du jeu n’étaient finalement pas que du vent. Techland réussit donc à insuffler une bonne dose d’originalité et arrive à renouveler un genre qui commençait à sentir autant le faisandé que les cadavres animés qu’il met en scène. Bien que le jeu s'avère très générique sur certains aspects, il arrive néanmoins à proposer une fraicheur et une fluidité qui faisaient défaut à la franchise Dead Island. Deep Silver et Yager vont donc avoir fort à faire pour contrer cette proposition au printemps prochain.

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Commentaires

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BeatKitano
(15h00) BeatKitano Pour ceux qui ont regardé Silicon valley, j'ai hate de voir la suite [theverge.com]
BeatKitano
(04h54) BeatKitano Sinon j’espère que le congrès n’a pas prévu de faire plus de deux auditions… ;)
Wednesday 17 September 2025
Connard
(23h09) Connard MDR Palido, ton lien
BeatKitano
(19h32) BeatKitano Plus que jamais: les etats-unis: ennemis de l'humanité.
Palido
(19h09) Palido Jeanquille > Peut-être lié ou pas, mais dans le même genre : [x.com]
Jeanquille
(17h48) Jeanquille Suite, (mais sans doute pas fin) d'un sujet abordé précédemment dans la tribune : [frandroid.com]
das_Branleur
(03h12) das_Branleur Pétair et Stévène [youtube.com]
Le vertueux
(02h38) Le vertueux On se souviendra de son rôle qui a marqué tout une génération dans la classe américaine.
das_Branleur
(02h06) das_Branleur (16h09) Je lis "Le vertueux Robert Redford est mort." C'est mignon. Cela dit il n'aura pas eu de grande casseroles au cul (que je sache).
Tuesday 16 September 2025
Le vertueux
(16h09) Le vertueux Robert Redford est mort.
Monday 15 September 2025
Latium
(19h14) Latium Mais sur le 4 leur com pourrait bien leur porter préjudice à mon avis. [fr.ign.com]
Latium
(19h13) Latium en tout cas
Latium
(19h13) Latium (19h00) Oui, ça ce vend vraiment très bien. Pour les 3 derniers en tout cs
toof
(19h00) toof Ca se vend si bien que ça Borderlands ? J'ai fait les 2 premiers mais je ne me rappelle pas de grand chose si ce n'est le méchant (dont j'ai oublié le nom) appelle son cheval "étalon du cul"
Samax
(09h52) Samax (20h17) Si j'étais mauvaise langue je dirais que c'est parfaitement à propos pour un Borderlands (sérieusement, j'ai jamais compris la hype sur cette série)
Friday 12 September 2025
BeatKitano
(20h19) BeatKitano Y'a bien que Brian Trifon que je respecte un peu parce que Trifonic ça tabasse mais le reste quoi... pfoua
BeatKitano
(20h17) BeatKitano Ces types font de la soupe sans ame... arrêtez de leur filer du taf quoi...
BeatKitano
(20h17) BeatKitano Je me fous un peu du jeu mais voir Finishing Move a la compo de Borderlands 4 m'emmerde. Ils étaient déjà pas très bon sur Doom The Dark Age mais perdre Jesper Kyd, Sascha Dikiciyan & Cris Velasco.. merde quoi.
Mimyke
(19h08) Mimyke Fernand > Cela pourrait la solution que je cherche pour moi. Merci!
Fernand
(17h53) Fernand (16h28) Ca fait quinze ans que je tourne sur des versions Arium et je n'ai jamais eu de problème. Defender et l'UAC sont fonctionnels.
BeatKitano
(16h32) BeatKitano (linux aussi... en fonction)
CBL
(16h29) CBL Il manque toujours des trucs importants niveau sécurité et y'a toujours des chances que MS pète tout avec une MAJ
CBL
(16h28) CBL Honnêtement passe plutôt à Linux. Les versions non-officielles de Windows c'est jamais des bonnes idées...
CBL
(16h26) CBL Ça s'est amélioré Atlas? Parce que c'était un cauchemar niveau sécurité. Ça desactivait Windows Defender et UAC.
Chouf
(16h19) Chouf Samax > installation de AtlasOS flippante, demande de désactiver toutes les protections pendant le setup. J'ai fait confiance aux avis sur github, j'espère ne pas le regretter. Apres l'install je retrouve un menu démarré bien allégé comme sur Win10
Chouf
(16h17) Chouf Samax > je viens de passer sous AtlasOS. Update Win10 vers Win11 hyper simple (bureau, fond d'ecran, etc conservés)
Fwdd
(14h22) Fwdd Merci zaza, petit ange parti trop tot.
BeatKitano
(04h31) BeatKitano Stonks [gs.statcounter.com]
Thursday 11 September 2025
choo.t
(18h58) choo.t BeatKitano > Haha, l'énorme chad.
BeatKitano
(18h24) BeatKitano choo.t > Non mais là c'est même pas le coté pratique du format. Le gars a laché la version "imax" de son film contrairement a ce que tu peux trouver en streaming ;)
choo.t
(17h53) choo.t alors que l'MKV pécho en pleine mer est flexible, pérenne, ne fait chier personne avec des DRM de merde, fonctionne sur n'importe quel matos et peut etre réencoder/remuxer par l'utilisateur final.
choo.t
(17h52) choo.t Les plateforme de streaming ont un encoding et bitrate de merde, une UX pourris où tu ne peux pas editers les subs, t'es limités à du matos récent, t'as pas de lecture complètement hors-ligne, et tu peux même pas faire des captures pour faire des gif/meme
BeatKitano
(13h38) BeatKitano choo.t > et comme je dis c’est pas juste une formule de style c’est vraiment la version supérieure comparé aux plateformes de streaming.
choo.t
(09h01) choo.t C’est honnêtement la meilleure chose à faire, tu permets à tous d’accéder aux films (ce qui sera le cas dans tous les cas) et tu leur permet de te soutenir si ils ont l'envie ou les moyens, sans forcément avoir à passer par des plateforme ou des revendeur
BeatKitano
(04h40) BeatKitano Choo.t va apprécier: Freddy Wong a sorti son film a acheter en digital et il a aussi mis la version supérieure sur les torrents. Avec une intro qui balance ce lien: [ipiratedwereallgonnadie.com]
BeatKitano
(03h55) BeatKitano Petit à petit… [reddit.com]
Wednesday 10 September 2025
Nicouse
(23h32) Nicouse Charlie Kirk est Carlos... trop dommage.
Chouf
(20h02) Chouf CBL > (18h19) merci, avec ce soft il me dit direct que c'est compatible. Je vais surement tenter l'aventure d'ici la fin de semaine. J'ai tellement la flemme de faire des saves de la partition système.
CBL
(18h19) CBL A noter que des fois Win Update est capricieux et il faut utiliser ceci : [microsoft.com]
aeio
(17h55) aeio Il faut aussi le Secure Boot et ton disque système doit être formaté en GPT et non en MBR.
Chouf
(14h25) Chouf Samax > ça marche. Je suis en train de préparer mon PC, je viens d'activer TPM dans le bios, WinUpdate me dit que mon PC n'est pas compatible, alors que le soft MS pour tester est OK.
Samax
(13h54) Samax Chouf > Non, mais si tu sautes le pas j'aimerais bien avoir un retour de ta part, ça m'intéresse aussi
Chouf
(13h51) Chouf est-ce que certains d'entre vous ont testé AtlasOS ?
Chouf
(13h49) Chouf Hello, octobre approche, et même si Win11 me repousse, je ne suis pas prêt à passer que sur Linux (je joue beaucoup en VR).
BeatKitano
(08h04) BeatKitano Les soutiens politiques pour l’après présidence c’est pas gratuit les gars…
Tuesday 09 September 2025
Laurent
(22h21) Laurent ca en fait un paquet de potes à qui il offre une retraite et/ou un salaire doré
CBL
(22h19) CBL Je crois surtout que c'est le pote de Macron et qu'il veut lui refiler une retraite de premier ministre
Laurent
(22h16) Laurent Il est l'unique. il est là pour les gouverner tous, pour les trouver, et dans les ténèbres les lier
CBL
(22h11) CBL Les ministres, c'est comme les pokémon. Ca évolue
CBL
(22h10) CBL Il fait tous les gouvernements Macron
Laurent
(22h10) Laurent YoGi > Nouveau, faut le dire vite
YoGi
(20h29) YoGi CBL > refresh, on en a un nouveau
CBL
(20h01) CBL Le gouvernement aussi
YoGi
(12h16) YoGi Charly oleg est Carlos
Sunday 07 September 2025
choo.t
(23h17) choo.t BeatKitano > (22h24) Oui, si t'arrive à faire un BadUSB-like, mais qui passe pour un lecteur CD à la place d'un périph HID ça devrait passer. Un rasbery pi devrait en être capable d'ailleurs.
choo.t
(23h12) choo.t [learn.microsoft.com]
choo.t
(23h12) choo.t BeatKitano > 10, à jour, évidement. J'imagine qu'y a une whitelist pour certain soft, c'était techniquement un driver connu de microsoft vu qu'il avait reçu un interger de load order pour son minifilter
BeatKitano
(22h24) BeatKitano Laurent > Comme dit choo.t, c'est même pas limité a ça, tout media amovible peut utiliser un autorun. Clef usb, disque externe. y'a rien de drole. Par contre ça risque de ma facilité la tache au boulot...
Laurent
(22h21) Laurent BeatKitano > sur un PC avec un lecteur de disques !
BeatKitano
(22h01) BeatKitano choo.t > Et ça c'est sur windows 10 , 11 ?
choo.t
(11h05) choo.t Ce qui est d'autan plus con que techniquement, tu peux très bien bricoler un truc du form-factor clef usb mais qui sera reconnu comme disque, s'exécutera comme un disque, mais affichera une clef usb à l'end-user.
choo.t
(11h01) choo.t outrepasser quand même. Le seul truc que j'ai trouvé qui marche, c'est les group policies. Je capte même pas le choix de l'UX qui permet de whitelister tous les exécutable autoruns plutot que celui-là en particulier, c'est débile.
choo.t
(10h58) choo.t BeatKitano > (08h31) D'après la doc, ça devrait foutre un pop-up de confirmation depuis 7 ( [learn.microsoft.com] ) mais j'ai vérif mes paramètre, j'avais pas l'exécution par défaut et ça l'a
BeatKitano
(08h31) BeatKitano Ces conneries sont supposées avoir été éliminées depuis windows 7 si ça ne marche plus, même si y'a plus grand monde qui utilise des medias physiques ça reste un échec.
BeatKitano
(08h23) BeatKitano choo.t > Ça me fait pas plaisir de voir des gens utiliser un systeme aussi mal sécurisé. C'est même inquiétant.
choo.t
(04h48) choo.t mieux encore, ce drivers chercher à m'interdire mon droit de copie privée, droit auquel je paye une dime sur chaque putain de support de stockage acheté en France…
choo.t
(04h44) choo.t Évidement, j'aurais piraté ce film, je n'aurais jamais eu ce souci. Encore une fois, l'offre légale pue du cul.
choo.t
(04h36) choo.t (au moins les autorun des clefs usb et dd externe sont correctement gérés, les infos type icones/noms sont lues, mais les process ne sont pas exécuté)
choo.t
(04h33) choo.t Bien entendu, les parameter du panneaux de configuration pour virer l'autoplay ne fonctionne pas correctement, ni ce du registre, il faut passer par le group policy, donc avoir une version pro.
choo.t
(04h32) choo.t Et windows qui laisse passer un install de driver silencieuse sans souci, sans user consent ni rien.…
choo.t
(04h31) choo.t clefs de registre et modifier le système. J'ai passé un temps fou à tout clean et verifier avant de me rendre compte que c'était juste un très vieux système de copy-protection qui forçait l'install d'un drivers de disque foireux.
choo.t
(04h29) choo.t Un petit rant qui va faire plaisir à BeatKitano : En 2025, Windows lance encore les autorun des CD/DVD par défaut, même la valeur d’exécution de soft. Du coup je me suis mis en panique quand un DVD du commerce a commencé à foutre le dawa dans mes
Friday 05 September 2025
rEkOM
(17h07) rEkOM Les jeux donnés pour les abonnés amazon prime gaming, y'a quand même du lourd oldschool Civ4 complete sur Gog, into the breach, civ3 complete, Thief, des archi vieux D&D
Thursday 04 September 2025
BeatKitano
(15h54) BeatKitano Par contre avec un nom comme ça j'imagine que le form factor risque d'être intéressant.
choo.t
(14h53) choo.t BeatKitano > la decompile du dernier steamVR quontient pas mal de ref à Frame aussi, apparement ce serait le nom du casque et de la nouvelle interface.
BeatKitano
(13h52) BeatKitano Frame ça sonne lunette donc je penche pour la VR
choo.t
(10h55) choo.t (Ou le nouveau casque VR autonome)
choo.t
(10h53) choo.t La console Valve s'appellera Steam Frame [uspto.report]
Samax
(10h19) Samax C'est en playtest là tout de suite (mais la date de sortie est indéterminée)
Samax
(10h19) Samax Vous avez déjà parlé de Militsioner ? Une sorte de Dishonored dans un pays d'ex URSS où un policier géant nous surveille constamment (et avec qui on peut développer une relation sentimentale): [store.steampowered.com]
Wednesday 03 September 2025
CBL
(18h24) CBL Et c'est très. très. très. lent
CBL
(18h23) CBL (12h34) Ca fait quelques mois maintenant [factornews.com]
pourradass
(12h34) pourradass Visiblement GOG se mettent à héberger des mods maintenant : [gog.com]
rEkOM
(08h30) rEkOM (20h15) CBL > (20h15) trop de news gamescom pour mon attention de boomer, c’était passé à la trappe…
Sawyer
(03h36) Sawyer Des retours sur Hell is Us pour ceux qui l'ont testé ?
Tuesday 02 September 2025
Le vertueux
(22h51) Le vertueux Moi j'attends de voir ce que donnent les 3 coquillages avant de me prononcer sur cette chasse aux vices.
BeatKitano
(22h44) BeatKitano Et ça fonctionnerait vachement moins bien si on push-pull une db sur du hardware… *gros coup de coude dans les côtes *
choo.t
(22h44) choo.t CBL > Bha on parle de tout ou un rien car c'est ce que met en avant la loi, elle ne parle pas de limiter l'accès "au site de cul les plus populaire".
CBL
(22h43) CBL (13h41) choo.t > Et ils y passeront quand ils seront connus
choo.t
(22h42) choo.t C'est très exactement comme vouloir faire tomber the Pirate bay, le nom de domaine le plus connu saute, 3h après tous le monde connait le nouveau. Et ce jeu continue depuis 20 ans.
BeatKitano
(22h42) BeatKitano CBL > mais ce SERA tout ou rien. On a affaire à des bigots qui ne veulent rien laisser passer. Ça finira inévitablement comme ça.
choo.t
(22h41) choo.t CBL > (22h38) Sauf qu'ils sont les plus connu pour "nous", dans 6 mois, les plus connus des mineurs, ce sera justement les sites qui ne feront pas la vérif.
CBL
(22h40) CBL "Ah oui mais les gens ils peuvent quand meme aller acheter dans les foires ou les ventes privées"
CBL
(22h40) CBL Y'a pas besoin que ce soit tout ou rien. On a l'impression de lire les mêmes arguments après les tueries aux US
BeatKitano
(22h40) BeatKitano choo.t > et c’est ce qui nous attend sur tous les sites a contenu généré par utilisateurs… on va être misérables parce qu’il y a des trou ducs qui savent que s’offusquer sans se sortir les doigts…
CBL
(22h38) CBL Si déjà les sites les plus connus se mettaient à la page, ce serait un bon début non?
choo.t
(22h37) choo.t D'ailleurs y'avait déjà eu plusieurs blocage de wikipedia aux UK à la suite de demande d'un des groupe responsable des blocage Steam/Itch récent.
choo.t
(22h37) choo.t [en.wikipedia.org]
choo.t
(22h35) choo.t Après je vais pas lister tous les site de cul sur la tribune, mais tu fais quoi des milliers de booru ? des sites amateurs ? des exhibitionniste sur imagefap etc ? Même wikipédia a du cul techniquement.
BeatKitano
(22h35) BeatKitano Y’a les trial, les giveaway et tous les site périphériques (pas pour adultes) utilisés pour la promotion permettent à n’importe qui de surveiller et d’accéder gratuitement et sans cb au contenu. Preuve que la solution est bien à mutualiser le filtrage
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