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Total War : Rome II

Nicaulas par Nicaulas,  email  @nicaulasfactor
 
En un peu plus de 10 ans, la série des Total War est devenue le mastodonte incontournable des jeux de stratégie. Grâce à son mélange de batailles historiques de grande ampleur et d’une réécriture de l’Histoire empruntant aux 4X, The Creative Assembly a fidélisé une belle communauté. Après un excellent Shogun 2, c’est au tour de Rome de passer par la case « remake », avec de très grosses ambitions clairement affichées.

Senatus Populusque Romanus mais pas trop


L’histoire de Total War : Rome II démarre à l’aube de l’expansion romaine, alors que Tarquin, dernier roi du Latium, a été renversé pour instaurer une République. Rome n’est encore qu’une modeste faction, certes ambitieuse, mais devant faire face à l’agressivité des tribus montagnardes et des Gaulois, sous la menace lointaine d’une nouvelle guerre punique, avec comme spectateurs les comptoirs grecs du sud de la Botte. C’est d’ailleurs le sujet du tutoriel, qui vous met dans la peau d’un jeune chef militaire romain à l’influence grandissante et à qui le Sénat confie la tâche d’annexer les territoires Samnites et de conclure un accord commercial avec les Grecs. En deux heures bien remplies, on expérimente tous les aspects du jeu au travers de batailles et de tours de gestion économico-politique, et l’habillage profite des ambitions techniques du titre. Malheureusement, c’est aussi l’occasion de se confronter d’emblée à des défauts difficilement pardonnables, mais nous y reviendrons.

Les modes de jeu disponibles sont les grands classiques, avec un accent mis sur le mode Campagne. Doté d’un background étoffé, celui-ci vous permettra de présider aux destinées d’au moins 7 factions (selon les DLC possédés) subdivisées en au moins 13 sous-factions (selon les DLC possédés). Même si on regrette que la priorité soit donnée au futur empire romain (3 sous-factions à lui-seul) et aux reliquats de l’empire d’Alexandre (2 royaumes diadoques, 2 royaumes persiques), les quelques alternatives celtes, gauloises ou encore germaniques offrent un peu de variété. Et augmentent du même coup une durée de vie déjà importante à la base.
Pour varier les plaisirs, vous pourrez soit créer une bataille personnalisée, soit vous frotter au challenge (très) relevé des (trop) rares batailles historiques, des reconstitutions minutieuses de combats a priori perdus d’avance que seul un général d’exception pourrait renverser. En revanche, les fonctionnalités multi qui ont fait le succès de Shogun 2 sont passées à la trappe, Total War : Rome II assurant le service minimum. Seul subsiste un système de salon pour héberger/rejoindre des parties, quelques fonctionnalités pour retrouver vos amis Steam, mais guère plus.

Respect, robustesse, tout ça quoi…


En contrepartie, le jeu affiche des ambitions visuelles assez hautes. Si l’aspect global du titre respecte la tristounette charte graphique habituelle de la série (et que seul Shogun 2 avait osé enfreindre), à savoir un réalisme austère et une esthétique plutôt froide, Rome II creuse un net fossé visuel avec ses prédécesseurs, et surtout avec la concurrence. Colossale et détaillée, la carte de campagne impressionne et on en vient à regretter l’absence d’un plus grand niveau de zoom-dézoom pour en apprécier les qualités. La mer est plus que convaincante, les effets climatiques nombreux, la caméra dynamique, les évolutions des cités se matérialisent sur la carte… Dommage que certains choix de couleurs laissent circonspect, comme ce vert pastel délavé pour les plaines, ou bien les couleurs fluos des flèches de déplacement. Ou que l’habillage sonore soit si discret.

Quant aux cartes de batailles, elles sont variées et détaillées, avec entre autres un gros effort porté sur les villes, suffisamment différentes pour ne pas vous donner l’impression de conquérir les mêmes bleds tout au long de la partie, ainsi que sur le relief, la maîtrise de votre ligne de vue devenant l’élément le plus important de la bataille. Si certaines cartes importantes (les capitales, les batailles historiques…) sont bien plus grandes et soignées que les autres, tous les jeux de stratégies ne s’embarrassent pas d’un tel niveau de détail, et pour l’immersion c’est un atout. D’autant plus que, question immersion, Rome II veut en rajouter une couche en introduisant une vue « caméra cinématique ». Le principe est simple : à tout moment, vous pouvez devenir spectateur aux premières loges de la bataille, la vue se plaçant au cœur d’une unité et quasiment à hauteur d’homme. Assez efficace pour ressentir de l’intérieur le souffle épique d’une charge glaive au clair, malgré l’aspect gadget du truc.

Sachez néanmoins que Total War : Rome II est loin d’être parfaitement optimisé même sur une bonne config, en plus de manquer de finition. Les cinématiques, utilisant le moteur du jeu, contiennent quelques bugs risibles. La caméra cinématique, toute immersive qu’elle soit, nous colle sous le nez le manque d’expérience de The Creative Assembly en matière de modélisation et d’animation de combats de mêlées en gros plan. Certes, c’est une partie anecdotique du jeu, et cela revient à reprocher à Sports Interactive de mal maîtriser le rendu 3D des matches : c’est un gadget qui ne correspond en rien au cœur du jeu. On pardonnera moins aisément les étonnants soucis de stabilité (comme celui, très fréquent, où les unités freezent pendant plusieurs secondes alors que vous continuez à naviguer sans lag sur la carte ou dans les menus).

Stretch Gaule


Le premier aspect d’un Total War, c’est la gestion de vos territoires au tour par tour. De ce point de vue, on note plusieurs évolutions, à commencer par un système de régions regroupant plusieurs cités, au lieu de la myriade de cités indépendantes des précédents opus. Un système qui oblige à trouver le bon équilibre de développement entre des cités proches les unes des autres, et à penser aux conséquences de ses actes : conquérir, c’est prendre le risque de briser un équilibre fragile entre nourriture, croissance de la population, ordre social, rayonnement diplomatique et puissance militaire. Pour développer vos cités, les bâtiments se débloquent d’une part par un arbre technologique assez classique, d’autre part par la croissance de votre population. L’occasion de souligner les défauts d’ergonomie du titre, qui en cherchant à simplifier son interface a rendu difficilement accessibles (notamment via une encyclopédie en ligne ?!) certaines informations essentielles, comme le rôle des bâtiments, les caractéristiques des personnages ou les données économiques.

Chaque armée ou flotte possède son propre général avec ses propres caractéristiques, et lui reste fidèle jusqu’à la mort, accumulant au fil du temps des compétences particulières en combat de mêlée, en siège ou encore en blocus naval. Une entorse au réalisme de la saga, puisque si une armée se fait complètement wiper (général + troupes), il est possible de la recréer ex nihilo tout en conservant ses compétences précédentes. On peut néanmoins voir ça comme un arbre de technologies déguisé, une compétence martiale étant alors l’équivalent d’un bâtiment ou d’un savoir, issu d’un dur labeur et acquis ad vitam aeternam. Les généraux deviennent donc des éléments majeurs du jeu, non seulement d’un point de vue militaire, mais également sur un plan politique. Car un général victorieux peut prendre goût à la gloire et au pouvoir, et viser plus haut. Surtout s’il vient d’une famille différente de la vôtre, l’un des buts du jeu étant de favoriser votre sang pour augmenter votre prestige familial et votre légitimité à diriger. Néanmoins, ce versant politique du jeu reste inachevé, les luttes entre familles étant secondaires par rapport à l’aspect militaire et économique. Il est parfaitement possible de mener à bien une campagne sans se soucier outre mesure de vos généraux, et après avoir goûté aux intrigues délicieusement vicieuses de Crusader Kings 2, difficile de ne pas trouver ça fade.

L’aspect diplomatique est heureusement un peu plus poussé, en tous cas si vous choisissez une faction qui n’est pas estampillée SPQR. Car si les Romains auront du mal à développer autre chose que des relations commerciales, les tribus celtes et gauloises ou les royaumes diadoques sont si éparpillés et querelleurs qu’il est possible de mettre sur pied quelques manœuvres géopolitiques, comme attaquer un voisin pour se rapprocher d’un autre : l’ennemi de mon ennemi… Les tribus du « même sang » peuvent par ailleurs être intégrées dans des confédérations, créant ainsi un objectif informel assez gratifiant : celui de mettre sur pied un empire sans développer ses ressources militaires plus que ça. Notons cependant qu’en plus de quelques comportements totalement aléatoires de l’IA, le rythme du jeu s’en trouve considérablement ralenti, puisqu’il faut souvent plusieurs tours pour développer une stratégie diplomatique, et que le grand nombre de factions jouables et non-jouables à gérer occasionne des temps de chargements assez longs entre les tours.

Baston !


L’autre mamelle d’un Total War, c’est de la baston aux proportions épiques, où l’on va diriger des milliers d’unités sur la carte de campagne puis sur des champs de bataille. Commençons par noter une plus grande souplesse de manœuvres : toutes les unités peuvent désormais passer de la terre à la mer, et vice-versa. Ce qui permet désormais d’utiliser la mer comme un véritable outil stratégique conjoint à vos forces terrestres : blocus des ports, débarquement de troupes, siège simultané par terre et par mer… mais plutôt que d’offrir à tous (joueur+IA) de profiter du grand territoire romano-méditerranéen, le jeu nous contraint en limitant les points d’accès à la mer via un système binaire (plage OK, falaises va te faire mettre). D’autant plus dommage que l’IA est parfois bien vicelarde sur ses déplacements, n’hésitant pas à sacrifier des positions pour en fortifier d’autres ou vous prendre à revers.

Une IA malheureusement loin d’être aussi compétitive sur le champ de bataille. Même en mettant de côté les soucis habituels de la série comme le pathfinding, la difficulté à s’y retrouver dans les différentes options tactiques ou la propension de vos unités à ne pas respecter vos ordres, et en boostant un peu la difficulté, le challenge n’est pas toujours au rendez-vous. Les tactiques d’aggro/contournement (sacrifier une unité pour bloquer l’ennemi à un endroit et le prendre à revers avec le reste de vos troupes) fonctionnent à tous les coups ou presque, rendant un peu caduque l’utilisation du relief ou des spécificités des unités. Un petit gâchis, quand on voit le travail effectué sur les cartes. Soyons tout de même beaux joueurs : disputer une bataille reste un plaisir et une formidable source de sensations fortes, l’adrénaline de la mêlée alternant avec le pragmatisme de la mise en place tactique.

Pour le reste, une multitude de petites nouveautés ont fait leur apparition, pas toutes indispensables. Il y a par exemple le retour du choix de fin de bataille : libérer (améliore les relations avec les habitants du coin mais laisse à l’ennemi l’opportunité de se reprendre), réduire en esclavage (booste l’économie mais génère du désordre public chez vous), ou exécuter les prisonniers. Ou bien des fonctionnalités intermédiaires entre la gestion des troupes et les batailles : un système de marche forcée, qui double la distance maximale de déplacement mais réduit les aptitudes au combat, un système de fortification temporaire pour défendre des positions hors des cités, un mode pillage pour mettre les campagnes à feu et à sang et impacter l’ennemi sans l’affronter frontalement… Rien de bien révolutionnaire, mais cela participe à l’amélioration progressive de la série. Il y a beaucoup à reprocher à ce Rome II qui nous promettait tant, mais il nous offre déjà l’essentiel de ce qu’on attend d’un Total War.

Testé à partir d'une version commerciale fournie par l'éditeur.
Config. de test : Windows 8 64 bits / i5 4670K 3,4 GHz / 8 Go / Nvidia GeForce GTX 650 Ti Boost 2 Go
Sans surprise, The Creative Assembly rend une copie d’assez bonne qualité, dans la lignée des précédents épisodes. Toujours aussi riche et précis en ce qui concerne son background historique, ce nouveau Total War bénéficie en plus d’un bond en avant visuel notable. Dommage que l’expérience de jeu soit durablement ternie par une optimisation pas terrible, un manque de finition visible et des innovations un peu trop cosmétiques pour être efficaces.

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Commentaires

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Tribune

Le vertueux
(12h09) Le vertueux Zakwil > Oui effectivement, je viens de tester c'est bien looc.
Zakwil
(11h41) Zakwil le story driven / roguelite / beat'em all Absolom est pas mal, la démo donne envie [store.steampowered.com]
BeatKitano
(04h12) BeatKitano Sinon c'est cool parce que ça veut dire que c'est gpu agnostic et donc que Valve bosse sur la parité avec nvidia.
BeatKitano
(04h11) BeatKitano J'espère que le "detail level" ira jusqu'a '"juste les fps merci".
BeatKitano
(04h10) BeatKitano J'espère que ce sera customizable parce que le compteur de fps pas intrusif il était toujours on chez moi. Ce truc là par contre, perso j'en ai rien a faire, j'ai déjà tout ça sur ma barre systeme... sur mes autres écrans. Bref.
Thursday 19 June 2025
Zaza le Nounours
(22h54) Zaza le Nounours En gros c'est le MangoHud du Deck / Linux, mais pour tout le monde.
Zaza le Nounours
(22h53) Zaza le Nounours Steam ajoute un vrai overlay de perfs, et pas juste un compteur de FPS à la con [help.steampowered.com]
Laurent
(21h16) Laurent Big Apple > la prochaine est sans doute déjà construite
Big Apple
(20h41) Big Apple Caramba, encore raté! [youtube.com]
Wednesday 18 June 2025
choo.t
(23h45) choo.t Que ce soit Mario qui est fait vendre la NES ou la NES qui ai fait vendre Mario c'est complètement hors sujet et on s'en fout.
choo.t
(23h45) choo.t Par contre comme hiers t'a louvoyé dans tous les sens, mon propos initial c'est que le take de The Great review est éclaté, et que placer Nintendo en sauveur du JV post "crash" est tout aussi éclaté.
choo.t
(23h26) choo.t kirk.roundhouse > Mario a été en bundle dans le action set pack, entre autre. Et oui le marché US allait pas rester au plus bas très longtemps, y'a aucune raison de croire que les US allez devenir le seul pays à bouder le JV.
Palido
(23h12) Palido Oh, mais c'était bien 28 Years Later ! (mais les haïsseurs vont haïsser)
kirk.roundhouse
(22h47) kirk.roundhouse Ah donc la NES a permi de faire vendre du Mario, et ce n'est pas Mario qui était un system seller ? Et le marché a progressé de lui même après le crash et nintendo n'a fait qu'en profiter ? Soyons sérieux quoi...
choo.t
(22h45) choo.t Et l'affirmation que je contredit c'est pas "la NES a eu un énorme succès" mais "la nes a fait redécoller l'industrie". Ils ont pris la vague montante et son retrait sur le marcher us quand d'autres en sortait, mais c'est pas les sauveur du truc
choo.t
(22h36) choo.t C'est pas la même gen ni le même marché, assez littéralement. Et Mario était souvent bundled.
kirk.roundhouse
(21h57) kirk.roundhouse Par exemple, le jeu le plus vendu sur atari2600 étai pacman pour 8M. Mario sur NES c'est 40M. C'est juste incomparable.
choo.t
(21h57) choo.t Y'a eu une remontée du marché us après le crash, rien d'étonnant à ça, nintendo en a profité, tant mieux pour eux.
kirk.roundhouse
(21h56) kirk.roundhouse Move the goalspot ? On parle de jeux vidéo, pas de vente d'ordinateurs de centre administratif.
choo.t
(21h55) choo.t Mais surtout, l'affirmation que je contredit c'est que Nintendo aurait sauver l'industrie du jv. Celui ci se portait bien partout hors des US,
choo.t
(21h49) choo.t T'oublies aussi qu'à la même époque la Nes n'était pas la seule console. Par contre elle dominait le marcher US, c'est vrai.
choo.t
(21h48) choo.t Non mais mec, tu me dit qu'y avait pas un dixième du nombre de mes en ordinateur personnel. Je te démontre que tu as tord et tu viens move the goalpost.
kirk.roundhouse
(21h45) kirk.roundhouse Tu oublies dans tes chiffres que si il y a beaucoup plus de PC dans le monde que de switch, je ne pense pas que le PC de Nadine à la compta lui serve à jouer.
choo.t
(21h44) choo.t Bientot tu vas me dire que la Switch se vend mieux que les PC car aucun modèle de PC ne s'est vendu autant que la Switch.
kirk.roundhouse
(21h43) kirk.roundhouse Ah bah ça progresse.
choo.t
(21h43) choo.t La MSX c'est 9M
kirk.roundhouse
(21h42) kirk.roundhouse Plus que 55 millions et le compte est bon :D
choo.t
(21h41) choo.t Le concept de "trauma" qu'il avance pour justifier ce lien, c'est de la psychanalyse de comptoir transposé sur une multinationale. C'est complètement con.
choo.t
(21h39) choo.t et va falloir vraiment être souple pour essayer de justifier les procès de merde que j'ai cité, les procès actuel, et le fameux crash.
choo.t
(21h37) choo.t kirk.roundhouse > (21h36) Rien que la ZX c'est 5 millions d'unité.
choo.t
(21h37) choo.t kirk.roundhouse > (21h34) Non c'est pour arrêter de foutre Nintendo comme le sauveur du JV alors qu'il n'en est rien.
kirk.roundhouse
(21h36) kirk.roundhouse La NES c'est plus de 60 millions de consoles. Je ne pense pas que l'ordinateur personnel avait atteint ne serait ce que le 10ème de ce score.
choo.t
(21h36) choo.t MSX, Acorn, BBC Micro, Comodore, ZX Spectrum etc.
choo.t
(21h34) choo.t kirk.roundhouse > (21h32) Car en 83 c'était pas le PC au sens moderne de compatible PC, t'avais des ordinateur personnel (PC) incompatible entre eux, mais y'avait un marché du JV dessus.
kirk.roundhouse
(21h34) kirk.roundhouse Si c'est nier pour juste pour être anti Nintendo, c'est pas très constructif.
choo.t
(21h33) choo.t Nintendo a pas sauver l'industrie, par contre il a mis en places des mécanisme pour en extraire plus facilement la valeur par les constructeur de consoles.
kirk.roundhouse
(21h32) kirk.roundhouse En 83 je ne me rappelle pas que le JV PC était populaire. Et à part les US et le Japon à cette époque, y avait pas beaucoup de marchés pour l'industrie.
choo.t
(21h30) choo.t Le fameux modèle que Nintendo à éviter de reproduire, celui ouvert où n'importe qui peu dev, il se porte toujours aussi bien, c'est le modèle PC>
choo.t
(21h29) choo.t (21h26) Uniquement aux US et si on oublie le jeu PC. Et si on est très souple sur corrélation et causation.
kirk.roundhouse
(21h26) kirk.roundhouse C'est la popularité de la NES qui a fait redécoller l'industrie.
kirk.roundhouse
(21h25) kirk.roundhouse Non c'est un fait.
choo.t
(21h25) choo.t Y’a eu une grosse recession JV au states en 83, mais ça s'arrête là.
choo.t
(21h23) choo.t Le délire du crash de 83 et Nintendo en sauveur du JV ça relève plus de la légende qu'autre chose.
kirk.roundhouse
(20h58) kirk.roundhouse The Great review a une version différente de la raison pour laquelle Nintendo protège ses IP.
choo.t
(20h46) choo.t Toutes leur existence ils ont été des sales merdes, c'est juste que plus jeunes on ne s'en rendait pas compte, et que les infos sur leur procès ne circulait pas dans le grand public.
choo.t
(20h43) choo.t Ils avaient cherché à faire disparaitre la first-sale doctrine quand Blockbuster proposait des jeux à la location (et on fini par reussir en faisant des EULA de l'enfer)
choo.t
(20h41) choo.t Big Apple > Ninendo a toujours été anti-consumer, ils sont presque sages par rapport à leur début. Ils cherchaient à faire interdire les actions-replay car ça bouffé dans leur marge des appel surtaxé sur leur hotline d'aide de jeu.
choo.t
(20h39) choo.t Par contre c'est peut-être le bon plan pour les pirates pour choper des Switch 2 à prix cassé, encore mieux c'est des switch 2 du premier batch donc celle potentiellement les plus vulnérables aux hacks.
Big Apple
(20h39) Big Apple Un bon résumé de ce qu'est devenu Nintendo par une ancienne fan : [youtube.com]
BeatKitano
(18h25) BeatKitano Big Apple > (17h17) Ouais mais il aime ça. On me fera pas croire qu'il est pas maso... payer deux switch2...
Big Apple
(17h23) Big Apple A sa place, je fabriquerai un EMP portatif pour griller l'électronique de sa switch bricked puis je la retournerai au SAV pour me faire rembourser :-)
Big Apple
(17h17) Big Apple C'est marrant quand il rachète une autre Switch2 est se trouve à la limite de la crise cardiaque au moment du démarrage. [youtube.com]
choo.t
(15h57) choo.t Ça ne les empêchera pas de changer leur méthode de detection durant les prochaine MAJ par contre.
choo.t
(15h45) choo.t Ah bha même plus besoin de faire la manip, le MigSwitch a reçu une mise à jour de firmware [reddit.com]
choo.t
(15h43) choo.t Après il me semble que c'est contournable en changeant une resistance sur le MigSwitch, mais y'a toujours le risque de conflit d'ID de jeu.
choo.t
(15h42) choo.t BeatKitano > et encore c'est la version soft ça, c'est pas encore le brick à coup d'efuse.
BeatKitano
(14h24) BeatKitano Nintendo a effectivement ttué l'occasion au passage.
BeatKitano
(14h23) BeatKitano En plus c'est une super idée a la con, parce que tu peux supprimer ton compte mais dès que tu utilises un autre compte t'es rebanni. Du coup... vla les arnaques !
BeatKitano
(14h22) BeatKitano Bon ben c'est confirmé les switch2 deviennent des presse-papiers une fois bannies [youtube.com] On peut plus rien en faire. Faut être con pour acheter cette merde, entre le prix et ça... ahah.
BeatKitano
(03h49) BeatKitano Des jeux très très moyens faits par des gens qui respectent le matériel d’origine. 4/10
Le vertueux
(00h28) Le vertueux Palido > Nous avons hâte d'avoir ta review de Robocop.
Palido
(00h24) Palido Merci donc à Zaza sans qui ces 8 longues heures de jeu ne me seraient jamais arrivé et que je ne récupèrerai jamais.
Palido
(00h24) Palido Mais au final, j'ai réussi à terminer Terminator: Resistance et j'ai pas trop détesté et il y a quelques petites bonne idées. Mais quand même, ohlalala ces dialogues, OHLALALA cette scène de "romance" génante...
Palido
(00h23) Palido Y avait quand même un tas de truc incroyablement nuls mais j'ai pas pu m'empêcher de sourire à plusieurs reprises sur la fin. Je ne sais pas s'ils m'ont eu à l'usure ou si c'est la nostalgie qui a gagné...
Zaza le Nounours
(00h12) Zaza le Nounours Bref, ils savent plus quoi faire et tentent de se rattraper à toutes les branches qu'ils peuvent dans l'espoir d'arrêter une chute absolument inéluctable.
Zaza le Nounours
(00h10) Zaza le Nounours Un PC verrouillé et non-upgradable, évidemment.
Zaza le Nounours
(00h10) Zaza le Nounours rEkOM > si c'est effectivement le plan du moment chez MS (mais qui sait ce qu'ils prévoiront de faire la semaine prochaine ?), ça voudrait juste dire que la nouvelle Xbox serait un PC avec Windows et une surcouche d'UI Xbox.
Tuesday 17 June 2025
rEkOM
(23h03) rEkOM Je lis mal ou on pourra vraiment mettre steam sur la prochaine Xbox ? [theverge.com]
Mascouell
(22h59) Mascouell Combien de fois j'ai vu des parents au resto ou ailleirs foutre leur môme parfois en poussette devant un smartphone pour avoir la paix. L'argument de la précarité ne couvre absolument pas tous les types d'abus, il y a pas mal de marge de manœuvre.
Laurent
(22h58) Laurent choo.t > ya aussi des lames céramiques, mais elles sont plutôt courtes il me semble (la mienne fait pas plus de 1cm). Mais ça se nettoie facile et ça ne coupe pas les doigts.
Mascouell
(22h57) Mascouell Pour les écrans interdits avant 3 ans je vois pas trop le problème. Les dégâts sont connus, avoir une base un peu formelle pour habituer les gens au fait que c'est pas bien, c'est pas plus mal. Personne ne s'attend à des plaintes et des procès.
choo.t
(21h51) choo.t BeatKitano > Y’a des lames inox (et sans besoin d'huile de protection), c'est pas réellement food-safe mais notre bouffe elle même n'est plus food-safe de toute façon :(
BeatKitano
(21h23) BeatKitano Déjà 90TO pleins. Quizivienne avec leurs souscriptions !
BeatKitano
(21h22) BeatKitano J'aime tellement les opendir...
BeatKitano
(21h21) BeatKitano Je vais finir par prendre des actions STX moi. Internet est formidable. [i.imgur.com]
BeatKitano
(21h17) BeatKitano Non j'utiliserais absolument pas pour la bouffe, rien que l'huile d'usinage et l'oxydation rapide c'est niet pour le contact alimentaire.
choo.t
(21h15) choo.t J'avais lâché les cuter car mon problème c'était que c'était chiant pour laver la lame, et que pour couper une pomme, c'était l'enfer. Mais si tu t'en sers pas pour la bouffe ça va très bien.
Le vertueux
(21h15) Le vertueux À quoi bon interdire les couteaux alors que le Karate reste légal ? Cet art qui fera de n'importe qui une arme humaine ambulante ?
BeatKitano
(20h55) BeatKitano (et aussi c'est fou ce qu'on peut mettre dans le corps d'un cutter)
BeatKitano
(20h53) BeatKitano Non non le cutter c'est très bien. les lames ont jamais besoin d'être aiguisée. On peut toujours être proche d'un chantier et donc LE CONTEXTE et ensuite c'est très fin, donc très pratique pour certaines opérations qui ne relèvent pas de la découpe...
choo.t
(20h50) choo.t Par contre ça a une tolérance très faible, donc faut bien s'en occuper (j'en avait une dans la poche qui a fini par se bloquer avec les peluche de tissu )
choo.t
(20h48) choo.t (20h47) Haha
choo.t
(20h48) choo.t Sinon, selon le truc que t'as à coupé, les raptor shear ça me semble le bon plan, c'est surtout un outil de sécu (brise vitre, coupe ceinture, vetement) et c'est plus proche du ciseau que tu couteau donc je vois mal les flics t'embarquer pour ça.
BeatKitano
(20h47) BeatKitano choo.t > Non moi c'est pour ouvrir les emballages de couteau. ;D
choo.t
(20h45) choo.t BeatKitano > Ouai les combo cuter de sécu/brise-vitre c'est super utile.
BeatKitano
(20h35) BeatKitano choo.t > J'ai toujours un cutter sur moi ou dans mon véhicule parce que ça m'a sauvé la peau dans quelques situations ou j'avais besoin de découper des trucs (et je parle pas de violence).
choo.t
(20h31) choo.t Perso, presque tout mon entourage à toujours un couteau sur lui, que ce soit un opinel, un couteau suisse ou un Deejo pour les plus chics.
BeatKitano
(20h22) BeatKitano Laurent > (19h56) IFIXIT DEALERS DE SURINS§ AU TROU §
choo.t
(20h20) choo.t (20h15) Ça s'applique aussi hors des établissement scolaire, c'est préciser la ligne du dessous…
kirk.roundhouse
(20h15) kirk.roundhouse choo.t > la partie sanctions.
kirk.roundhouse
(20h13) kirk.roundhouse choo.t > non. Jamais.
choo.t
(20h12) choo.t kirk.roundhouse > Tu cites quoi là ? Mon lieu ne contient pas cette citation.
choo.t
(20h10) choo.t kirk.roundhouse > T'as pas un couteau suisse sur toi ?
kirk.roundhouse
(20h10) kirk.roundhouse choo.t > (20h00) "dans l'enceinte de l'école". C'est là encore très limité comme interdiction. La justesse amène la justice.
kirk.roundhouse
(20h09) kirk.roundhouse choo.t > (20h00) je ne me ballade pas avec ce genre d'ustensiles, et encore moins en manif ou teuf si j'y allais. Je ne comprends pas cette offuscation.
choo.t
(20h06) choo.t Bref, c'est clairement n'importe quel couteau, et j'ai apporté les sources de mon affirmation.
choo.t
(20h04) choo.t Le truc est déjà abusé, c'est souvent utilisé pour foutre des amendes à proximité des manifs, teufs etc.
choo.t
(20h02) choo.t Rajouter des lois par dessus ça, ça ne sert à rien, hormis les frite de piscine, tous les objets sont déjà la catégorie D.
choo.t
(20h01) choo.t (Ce qui fait que grosso modo, la vaste majorité de la population est quotidiennement en infraction)
choo.t
(20h00) choo.t Je cite leur exemple de catégorie D : «les poignards, les couteaux-poignards, opinel, couteau suisse, cutters, tournevis »
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