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State of Play - Final Fantasy VII Rebirth : le gros résumé

Frostis Advance par Frostis Advance,  email  @FrostisAdvance
Comme attendu et annoncé lors du dernier State of Play du mois de janvier, Final Fantasy VII Rebirth s’est offert son propre show. En même temps, avec une exclusivité pareille pour la PS5, ce serait idiot de la part de Sony et Square Enix de se priver de cette grosse mise en avant.
Avant de commencer, je me dois d’être honnête avec vous. Autant, je suis du genre très calé un paquet de licence, autant concernant Final Fantasy, c’est déjà moins le cas. J’en ai terminé assez peu, et concernant Final Fantasy VII, je n’ai jamais été jusqu’à la fin. Quant à Final Fantasy VII Remake sorti le 10 avril 2020, j’ai évidemment une version collector sur PS4, que je n’ai jamais lancé plus de 10 minutes. Mais comme un gros iencli que je suis, j’ai acheté la mise à jour vers la version Intergrade pour pouvoir en profiter sur ma PS5 et découvrir tout cela en 4K maintenant que je suis équipé pour cela.

FF7 Relecture

Comme on pouvait s’y attendre, FF7 Rebirth se permet quelques grands écarts, comme FF7 Remake lors de sa sortie. Et au final, ce n’est peut-être pas plus mal et je trouve que Square Enix fait là un travail exceptionnel, tant en refonte de l’histoire de son jeu mythique de 1997, qu’en gameplay et évidemment, en graphismes et musiques. Mais même en étant un peu profane, on reconnait bien les personnages, l’ambiance, et on en prend plein les yeux.

Bref, après une courte introduction, ce State of Play laisse place à Yoshinari Kitase (Producer) réannonçant encore une fois la sortie du jeu prévue pour le 29 février 2024. On se prend ensuite une grosse bande-annonce de presque 5 minutes, qui a l’air de dévoiler pas mal de choses, mais qui mettra normalement tout le monde d’accord : ça déboite sévère et la puissance de la PS5 est très bien exploitée. Place ensuite à Naoki Hamaguchi (Director) pour l’introduction des nouveautés par rapport Final Fantasy VII version PlayStation première du nom.

L’exploration au coeur de l’aventure

Si FF7 Rebirth était bloqué dans l’immense Midgard (la ville là, avec les gros réacteurs), ce Rebirth ouvre en grand les portes du monde ouvert. Ou presque, parce qu’il semblerait que l’on soit plus sur une base de Final Fantasy XVI, avec des grandes zones ouvertes, qu’un véritable monde ouvert. Mais ce n’est pas très grave, avec le SSD magique de la PS5, les transitions se font sans que l’on se rende compte de la supercherie. Malin. On y trouve donc une carte du monde avec plusieurs régions, toutes interconnectées. On y voit un aperçu des Grasslands, sorte de partie médiévale avec de grandes vallées, des châteaux et tout ce qui va bien. La région de Junon a l’air aussi très chouette et semble être plutôt orientée vers l’océan mais pas trop, alors que la région de Corel met carrément les pieds dans l’eau avec la station balnéaire Costa del Sol, ainsi que le fameux Gold Saucer (un parc d'attractions). 

L’aventure nous mènera aussi dans la région de Gongaga et du village natal de Zack Fair, le protagoniste principal de Crisis Core Final Fantasy VII et meilleur pote de Cloud durant cette période (que je vais découvrir via Crisis Core, que j’ai acheté aussi, parce que pourquoi pas). On voit aussi un aperçu de la région du Cosmo Canyon où l’on ne croisera certainement pas de Gerudo, mais plutôt tout ce qui touche à la vie de Red XIII, une sorte de panthère trop badass.On nous présente aussi la région de Nibel, qui elle, semble être un passage obligé pour comprendre ce qu’il se passe entre Cloud et Séphiroth. Enfin, un petit tour vers le système d’exploration de l’océan Meridian, à l’aide de véhicules donnés par Cid.

Qui dit monde ouvert, dit aussi exploration et découverte de ce monde. Déjà présent dans Remake, on retrouve Chadley, le scientifique travaillant à la Research and Development Division de la Shinra. Il fera office de “PNJ qui donne des récompenses” si on découvre telle ou telle région, et nous donnera quelques nouvelles matérias et même des artéfacts rares, les protoreliques. Cette exploration est aussi poussée par un système de jobs ou, si je traduis : des quêtes annexes un peu partout dans le monde. Cela permettra d’en savoir plus sur les personnages de ce monde, tout en s’amusant avec les petits délires toujours présents dans la saga Final Fantasy.

4K 60 FPS Atmos SSD

Vous vous en doutez rien qu’en regardant les images, ce Final Fantasy VII Rebirth est magnifique et les équipes de Square Enix ont poussé les potards à fond. On aura droit entre deux modes que l’on connaît maintenant bien : performance pour jouer en 60 images par seconde ou graphismes pour profiter de la 4K de votre écran à 2000€. Un peu dommage de devoir encore choisir, mais il faut se faire à l'idée que le 4K 60 images par seconde, ce sera sur la prochaine génération de console.

Sinon, parlons un peu musique, avec 400 morceaux réorchestrés, le tout tirant partie des technologies audio de la PS5, le fameux Tempest 3D Audio, mais aussi probablement le Dolby Atmos puisque géré maintenant nativement par la console.

Autant être clair : pour profiter à 100% de l’expérience de jeu, il faut un écran 4K de qualité et un système son assez avancé, sans cela, ce sera quand même cool, mais bien moins “claque dans la gueule”.

Synchronisations des combats

Les combats pour un Final Fantasy, c’est presque la chose la plus importante. S’ils sont simplistes dans FF XVI, ce Rebirth reprend les bases posées par Remake, mais en améliorant les choses. L’ajout d’une synchronisation entre les personnages a l’air d’être une super idée, ne serait-ce que pour le dynamisme à l’écran, mais aussi pour enchaîner les combos. Par contre pour cela, et parce que c’est un J-RPG, il faudra probablement faire un paquet de quêtes annexes pour améliorer les liens d’amitiés entre les protagonistes et débloquer des compétences pour chacun d’entre eux.

Une grosse démo !

Enfin, un petit mot de Tetsuya Nomura (Creative Director surbooké) qui n’a pas fait le déplacement et s’est juste enregistré en voix off. En gros, il annonce la démo du jeu (prévoyez 48 Go) disponible sur le PlayStation Store (par ici). Cette démo se focalise sur un flashback de Nibelheim (un petit village dans le Cosmo Canyon) et permet de jouer Cloud et Séphiroth. La surprise étant que le 21 février, la démo aura une mise à jour (parce que pourquoi pas), mettant à disposition une partie de la région de Junon. Et évidemment, jouer à la démo débloque des trucs pour le jeu complet : un charme Kupo et un kit de survie. Autant dire que ce n’est pas trop grave si vous attendez la version complète du jeu.
 
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