ACTU
Rayman revient telle une Gazel
Rayman, mon tout premier jeu sur Playstation et probablement une de mes bande-son favorite du jeu vidéo. Ses morceaux à la fois orchestraux et puissants, parfois inquiétants mais toujours entraînants.
Il est parfois bon de se rappeler le bon vieux temps. Ce temps où assis devant la console avec une tasse de chocolat chaud on se mangeait la difficulté absurde de ce monde trop mignon pour être vrai en se dandinant sur la musique du combat contre Mr Sax. Mais pourquoi évoquer tout ça au juste ? Pas plus tard qu’hier, Rémi Gazel, le compositeur des musiques de l’époque, a lancé un Kickstarter visant à financer un album de reprise des musiques du premier opus. L’objectif final est fixé à 50.000€ pour que l’ami Rémi puisse enregistrer son CD avec son groupe. Les autres paliers visent carrément à faire péter l’orchestre ainsi que des remixes issus de la scène électro française. On se dirige tranquillement vers la page du projet pour avoir plus d’informations (ici pour la version française) et éventuellement laisser un billet de 100 francs pour avoir droit à un album physique.
Je me rappelle ma joie de gamin quand je me suis rendu compte que le CD du jeu fonctionnait sur le poste que j’avais dans ma chambre et lisait tous les morceaux présents dans l’aventure. Bon allez, il est temps de refermer ce portail vers le passé et de retourner travailler. Zou, on ne veut plus vous voir.
Il est parfois bon de se rappeler le bon vieux temps. Ce temps où assis devant la console avec une tasse de chocolat chaud on se mangeait la difficulté absurde de ce monde trop mignon pour être vrai en se dandinant sur la musique du combat contre Mr Sax. Mais pourquoi évoquer tout ça au juste ? Pas plus tard qu’hier, Rémi Gazel, le compositeur des musiques de l’époque, a lancé un Kickstarter visant à financer un album de reprise des musiques du premier opus. L’objectif final est fixé à 50.000€ pour que l’ami Rémi puisse enregistrer son CD avec son groupe. Les autres paliers visent carrément à faire péter l’orchestre ainsi que des remixes issus de la scène électro française. On se dirige tranquillement vers la page du projet pour avoir plus d’informations (ici pour la version française) et éventuellement laisser un billet de 100 francs pour avoir droit à un album physique.
Je me rappelle ma joie de gamin quand je me suis rendu compte que le CD du jeu fonctionnait sur le poste que j’avais dans ma chambre et lisait tous les morceaux présents dans l’aventure. Bon allez, il est temps de refermer ce portail vers le passé et de retourner travailler. Zou, on ne veut plus vous voir.