Connexion
Pour récupérer votre compte, veuillez saisir votre adresse email. Vous allez recevoir un email contenant une adresse pour récupérer votre compte.
Inscription
En vous inscrivant, vous acceptez les conditions d'utilisation du site et de nous vendre votre âme pour un euro symbolique. Amusez vous, mais pliez vous à la charte.

Un Rédacteur Factornews vous demande :

ACTU

Premières previews pour Batman : Arkham Knight

CBL par CBL,  email  @CBL_Factor
 
Ces gros veinards de PC Gamer ont pu jouer à Batman Arkham Knight et ils ont pris une sacrée claque. Tout d'abord la conduite de la batmobile semble correspondre à ce qu'on attend d'un blindé à grande vitesse : super fun et hyper bourrine. On écrase tout sur son passage. L'auteur de l'article compare même le résultat à Burnout. La batmobile comporte aussi sa panoplie de gadgets permettant d'immobiliser les véhicules ennemis et on peut s'en éjecter pour débuter un vol plané.

La ville est immense : Rocksteady a modélisé une grande partie de Gotham City tout en gardant le même niveau de détails que pour les précédents opus et en ajoutant des éléments comme des zeppelins qui sillonnent le ciel. Pour se déplacer rapidement, non seulement il y a la batmobile mais le vol plané a aussi boosté. Rocksteady a conservé le mécanisme d'Arkham City qui permet de plonger en plein vol pour reprendre de la vitesse (mécanisme issu de Super Mario World en passant) mais a nettement exagéré les effets.  En clair toute la ville n'est qu'à un battement d'aile. Toujours au niveau du vol plané, on pourra maintenant utiliser les gadgets en plein vol (et pas juste le grapin) pour par exemple balancer quelques batarangs histoire de débuter un combat. Les combats justement peuvent impliquer jusqu'à 50 méchants. Globalement la ville a été évacuée et est en proie à la guerre civile entre bandes rivales.

Au niveau de l'histoire, la relation entre le commissaire Gordon et Batman est largement mise en avant d'autant plus que Barbara Gordon sera aussi de la partie (elle était déjà présente dans Arkham Origins). Dans les comics, la fille du commissaire a été pendant un temps Batgirl mais sa carrière de super héroine a été stoppée net quand le Joker lui a tiré dessus et l'a paralysée dans l'excellent The Killing Joke. Elle a continué à servir Batman en temps qu'Oracle dont on entend la voix dans Arkham City. Le nouveau méchant du jeu, Arkham Knight, est décrit comme un croisement entre Batman et Optimus Prime, un type en armure de combat tout droit sorti des 90s. Tout cela fait super envie et on a hate de mettre nos mimines dessus.

Si vous n'avez pas fait les précédents opus, ils sont tous à -75% ce week-end. J'ai fini Batman Arkham Origins récemment et il m'a laissé un gout étrange dans la bouche. Ce n'est pas un mauvais jeu mais c'est clairement du more of the same sans le génie de City ou d'Asylum. Le level design est peu inspiré. Par exemple le monde est coupé en deux. Au milieu on trouve un pont qui prend des plombes à traverser quand on n'a pas encore activé le fast travel. Le jeu comporte quelques bugs étranges comme des quêtes qui disparaissent et les collisions laissent parfois à désirer. A un moment on récupère les gants d'Electrocutioner. C'est plutôt cool de frapper avec mais c'est clairement un cheat code vu qu'ils permettent de percer n'importe quelle défense sans avoir besoin d'utiliser un gadget ou un combo.

L'écriture est aussi moins bonne. L'ensemble est moins épique et moins théâtral. Par contre le Joker remonte vraiment le niveau. Son introduction et le passage qui lui est dédié est un petit bonheur pour les fans. On sent bien la folie du personnage. Le jeu a puisé abondamment dans The Killing Joke. La quête principale est assez courte et si vous ne souhaitez pas vous lancer dans la collecte des paquets de données d'Enigme, le jeu se finit en un week-end.
Rechercher sur Factornews