ACTU
Censure et froussardise, épisode 13 : Morano Power
par CBL,
email @CBL_Factor
Sarkozy. Morano. Besson. Travail. Famille. Patrie. Tout un programme ! Mais rassurez-vous, Factor ne se lance pas dans la politique. On continue de parler de ce qui nous intéresse : les jeux vidéo et donc de cette pauvre Nadine Morano qui s'inquiète de voir ses bambins jouer à des jeux vidéo violents.
"On voit beaucoup trop de jeunes avoir accès facilement aux rayons des jeux vidéo les plus violents, les plus dangereux, et qui ne sont pas de leur âge et passer sans aucune difficulté à une caisse". Selon elle, le responsable est la signalétique PEGI "insuffisamment visible, insuffisamment connue". Elle aimerait donc mettre en place une nouvelle signalétique selon la vieille méthode française du dès-qu'on-pense-qu'il-y-a-un-problème-on-légifère."
Evidemment, le Syndicat des Edteurs de Logiciels de Loisirs est fou de rage et son délégué général s'est exprimé. Morceaux choisi : "PEGI est en vigueur dans 16 pays de l'Union européenne, l'Angleterre vient de l'adopter après six mois de consultation". "On a lancé une nouvelle version plus claire, PEGI 2.0 cette année et elle vient dire que tout ça c'est nul ! D'accord, mais qu'on en discute ! On échange avec les associations familiales qui nous font des critiques qu'on prend en compte ou non, mais avec elle, rien, il n'y a aucun dialogue."
Il fait allusion aux nombreuses demandes de rendez-vous laissées sans suite par le cabinet de la secrétaire d'état. Selon lui, "Comme elle n'a pas étudié son sujet, quand on lui pose une question sur RMC, elle part en vrille". Il pense "qu'il ne se passera rien derrière ça, puisque rien n'est préparé". "On est en période de Noël, on essaye d'informer et paf ! ne sachant pas quoi répondre, elle disjoncte et vient tout parasiter avec ses déclarations à l'emporte-pièce".
"On voit beaucoup trop de jeunes avoir accès facilement aux rayons des jeux vidéo les plus violents, les plus dangereux, et qui ne sont pas de leur âge et passer sans aucune difficulté à une caisse". Selon elle, le responsable est la signalétique PEGI "insuffisamment visible, insuffisamment connue". Elle aimerait donc mettre en place une nouvelle signalétique selon la vieille méthode française du dès-qu'on-pense-qu'il-y-a-un-problème-on-légifère."
Evidemment, le Syndicat des Edteurs de Logiciels de Loisirs est fou de rage et son délégué général s'est exprimé. Morceaux choisi : "PEGI est en vigueur dans 16 pays de l'Union européenne, l'Angleterre vient de l'adopter après six mois de consultation". "On a lancé une nouvelle version plus claire, PEGI 2.0 cette année et elle vient dire que tout ça c'est nul ! D'accord, mais qu'on en discute ! On échange avec les associations familiales qui nous font des critiques qu'on prend en compte ou non, mais avec elle, rien, il n'y a aucun dialogue."
Il fait allusion aux nombreuses demandes de rendez-vous laissées sans suite par le cabinet de la secrétaire d'état. Selon lui, "Comme elle n'a pas étudié son sujet, quand on lui pose une question sur RMC, elle part en vrille". Il pense "qu'il ne se passera rien derrière ça, puisque rien n'est préparé". "On est en période de Noël, on essaye d'informer et paf ! ne sachant pas quoi répondre, elle disjoncte et vient tout parasiter avec ses déclarations à l'emporte-pièce".