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Swarm

ClémentXVII par ClémentXVII,  email  @ClementXVII
Comment expliquer Swarm en quelques mots ? On pourrait le comparer à un genre de Lemmings, ou au plus récent Flock, mais dans ces jeux, on doit s’assurer de ramener le plus de bestioles à bon port. Dans Swarm, vous gagnez des points en faisant exploser, démembrer, crâmer, bref en s’arrangeant que les swarmites que vous contrôlez meurent des plus belles morts, tout en en gardant juste assez pour continuer le niveau. Un sacré programme en perspective.

Qu’est-ce qu’on mange ce Swarm ?


Swarm nous propose de diriger un essaim (swarm, en anglais – d’où le nom) de petites bestioles bleues et stupides à travers des niveaux remplis de pièges en tous genres. Contrairement à Flock ou Sheep, vous dirigez cette fois directement le troupeau d’animaux. Le stick analogique gauche gère les déplacements, et vous pouvez utiliser les gachettes pour modifier la formation (R2 les fait se déplacer en rangs serrés, L2 les éparpille de tous côtés). Les swarmites peuvent sauter (X), se grimper dessus (en tenant R2 enfoncé tout en tapotant X), et peuvent aussi donner des coups de boost pour détruire des éléments de décor ou effectuer des sauts plus longs que d’habitude.



Au début de chaque niveau, Maman expulse 50 swarmites depuis une sorte de tube, et ceux-ci vont devoir traverser le niveau en explosant le score pour la satisfaire. Pour marquer des points, vous pouvez attraper des sortes de boules d’énergie ou des éléments d’ADN. Plus vous en prenez dans un court laps de temps, plus votre multiplicateur sera élevé. Mais ce qui vous fait marquer le plus de points, c’est de faire mourir vos swarmites dans d’atroces souffrances.

Non seulement, c'est assez jouissif, mais cela augmentera aussi votre multiplicateur beaucoup plus vite qu’en collectant les boules d’énergie. Il faudra donc trouver un bon équilibre entre carnage et survie (car il faut malgré tout arriver à la fin du niveau). Heureusement, çà et là se trouvent des plots de régénération (qui vous ajoutent des swarmites jusqu’à ce que vous en ayez à nouveau 50) ou points de sauvegarde – ceux-ci gardent en mémoire les points temporaires (mais pas le multiplicateur) que vous aviez au moment où vous êtes passés devant. Et Maman est terriblement gourmande : il faudra jongler avec la vie et la mort de vos swarmites si vous voulez lui plaire, et le mouvement relativement brouillon de ce troupeau de swarmites ne facilite pas les choses.


Mamaaaa, just killed a maaan


Graphiquement, Swarm est très coloré, les bestioles vous feront certainement penser aux lemmings qui partent sans broncher vers les pièges tendus par des level designers ayant trop peu de sang dans leur caféine. Les morts sont bien rendues, certains swarmites s’écrasent à l’écran dans une gerbe de sang bleu, d’autres tombent dans l’abîme pour se faire empaler par des piques, ce n’est certainement pas un jeu pour les plus tendres d’entre vous.

Et même si vous n’arrivez pas à atteindre la limite de points imposée par Maman pour accéder au niveau suivant, les morts vous permettent de gagner des médailles de bronze, puis d’argent et d’or pour chaque catégorie. Swarm n’est donc pas seulement un puzzle game, c’est surtout un jeu à conseiller aux amateurs de leaderboards, prêts à passer beaucoup de temps sur un niveau pour gagner le plus de points. En revanche, certains événements très brouillons (pléthore de pièges combinés aux swarmites qui occupent tout l’écran et des explosions partout) risquent de déplaire aux amateurs de jeux mécaniques tels que Lemmings ou The Incredible Machine, car quand on contrôle les swarmites, c’est définitivement moins précis.

Bon défouloir pour tester la solidité de vos manettes

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