TEST The Legend of Zelda : Breath of the Wild
par Nicaulas,
Pour parler pertinemment de Breath of The Wild, il peut être utile de revenir rapidement sur le Zelda « de salon » précédent, Skyward Sword. Déjà parce qu’il n’a jamais été testé sur Factornews, et ensuite parce qu’avec le recul, il apparaît comme un formidable objet d’analyse quant à l’évolution de la licence (sur consoles de salon, encore une fois). Donc, Skyward Sword est le premier (et dernier) Zelda développé spécifiquement pour la Wii, sorti en 2011 et célèbre pour son traitement esthétique audacieux (qui lui a parfois valu d’être taxé de « jeu impressionniste ») et ses contrôles à base de motion gaming impératif (le Wii Motion Plus était obligatoire). Mais ce qui le rend vraiment intéressant pour nous aujourd’hui, c’est la philosophie qui sous-tend sa conception. Car pour jauger Breath of the Wild à sa juste valeur, il faut se rappeler l’impasse intellectuelle que constitue Skyward Sword.