Connexion
Pour récupérer votre compte, veuillez saisir votre adresse email. Vous allez recevoir un email contenant une adresse pour récupérer votre compte.
Inscription
En vous inscrivant, vous acceptez les conditions d'utilisation du site et de nous vendre votre âme pour un euro symbolique. Amusez vous, mais pliez vous à la charte.

Un Rédacteur Factornews vous demande :

TEST

Quantum Redshift

Joule par Joule,  email  @j0ule  
Toute console qui se respecte se doit d’avoir son jeu de courses futuriste : la PS2 a son WipEout Fusion et le GameCube son Extreme G3. Manquait à l’appel la Xbox. Pour le coup, Microsoft Games prend lui-même les choses en main, et nous propose sa vision de ce genre apprécié des joueurs.

Nom de Code : Quantum


Quantum Redshift vous projette 100 ans dans le futur. A cette époque, des pilotes de vaisseaux du futur participent à des courses effrénées le plus souvent à des fins personnelles. Chacun des 16 personnages (dont 9 à débloquer) a son antagoniste, et devra lui faire face en duel aux moments clés du championnat. La durée de vie est assez conséquente si vous voulez ouvrir le mode ultime : le niveau de difficulté Quantum Redshift. Pour ce faire, vous devrez parcourir les 8 environnements de 2 courses chacun afin de finir le jeu avec tous les persos. Bien sûr, pour en arriver là, il vous faudra passer outre la lassitude que peut entraîner ce genre de challenge répétitif, mais le défi en vaut la chandelle.

A fond à fond à fond

Encore une fois, la Xbox démontre toutes ses capacités sur ce titre. En un verbe, Quantum Redshift blinde. Mais quand je dis blinde, je parle d’explosion de mur du son à des vitesses avoisinant les 1400 km/h. C’est du délire, le framerate ne bouge pas d’un poil, et les graphismes sont pour couronner le tout somptueux. Circuits ultra colorés ornés de textures plus fines les unes que les autres, des effets spéciaux à tout va, et des ambiances lumineuses réussies. Les différents circuits ont chacun leur ambiance graphique et sonore. La bande son, largement en dessous de celle de WipEout Fusion, aurait mérité des groupes confirmés de la scène électro.

Garçon, un WipEout Light SVP !

Les gâchettes pour accélérer et freiner, les 4 boutons pour le turbo, les armes basiques, les armes téléguidées et l’activation du bouclier. Quantum Redshift fait partie de ces jeux que l’on prend en mains dès les premiers tours de piste, ce qui est un gage de qualité indéniable. C’est là toute la différence entre un WipEout Fusion, à la conduite ultra technique et Quantum Redshift, à la jouabilité immédiate. Du coup, dans les parties multijoueurs de QR (jusqu’à 4 en écran splitté), les armements sont plus importants que la conduite pure, qui permet des erreurs un peu trop souvent, les touchettes ne faisant perde que très peu de temps et pire, n’entraînant aucun dégâts.. Le bon côté, c’est que tout le monde peut gagner, le mauvais, c’est que l’on n’a pas très envie de progresser

Quantum Redshift s’avère être un bon coup d’essai de Microsoft dans les jeux de courses futuristes. Le mode solo est un peu lassant et la bande son aurait dû être meilleure, mais la réalisation exemplaire et le fun procuré à quatre joueurs devraient faire oublier ces défauts et lui octroyer une place de choix dans votre ludothèque.

SCREENSHOTS

Rechercher sur Factornews