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Prince of Persia : The Sands of Time

toof par toof,  email
"Les gens pensent que le temps est tel un fleuve, suivant toujours le même cours. Moi je l'ai vu face à face, et je vous assure, ils se trompent. Le temps est un océan dans une tempête. Vous vous demandez sûrement ce qui me fait dire ça ? Asseyez vous, et laissez moi vous conter l'histoire qui est la mienne.

Je suis le fils de Sharam, Roi tout puissant de Perse. Je décide de prendre part à mon premier combat lors de l'attaque d'Azad et je suis bien déterminé à lui ramener un trésor afin de lui prouver ma valeur. C'est alors que je me retrouve dans l'enceinte du palais bombardé par l'armée de mon père, confronté aux premiers obstacles. En fouillant les premières salles humides, je tombe alors sur un bien étrange objet. Une dague mystérieuse qui semble agir sur le temps. Elle déclencha un évènement mystérieux quand le vizir à l'air sournois du palais me la fit planter dans le grand sablier du temps. Le sable se répandit, transformant à son contact les gardes en d'immondes créatures. Prenant mon courage à deux mains, je réussi à me retirer avec la dague, partant après quelques combats de mise en jambe à la poursuite de l'autre survivant, à savoir la mystérieuse Farah.



Dédales et précipices


Quand ce n'est pas une salle de garde qui m'attend, remplie de créatures sous l'influence des poussières maléfiques du grand Sablier, je me retrouve devant des lieux aux proportions plus gigantesques que mon esprit aurait pu l'imaginer. Au moment où je pénètre dans cette grande bibliothèque, ce n'est plus uniquement mon entraînement physique qui m'est d'une grande utilité. Les mécanismes que j'ai affronté pour arriver jusque là, malgré leur difficulté croissante, n'était qu'une mise en bouche à première vue. Heureusement, ma force et mon agilité me permettent de réaliser facilement les plus belles prouesses qui font ma fierté. Non pas que la progression soit facile, mais mes années de pratique doivent bien m’aider un jour ou l’autre à effecteur des mouvements de virtuoses que beaucoup qualifieraient de surréalistes. Mes capacités corporelles sont telles que je peux surmonter toutes les prouesses, peu me résistent dans ce palais. Trônant face au vide, je m'élance en courant promptement le long d'une paroi afin de m'agripper à une barre fixe. Celle ci me sert alors à prendre de l'élan pour un saut vers un mur sur lequel je prends appuis pour enfin atteindre cette corniche qui semblerait inaccessible pour quelqu'un qui n'aurait pas ma force et mon talent. En équilibre sur une pièce en bois, le long d'une paroi vertigineuse, je contemple alors le chemin brièvement parcouru.



Les architectes des lieux ne sont pas uniquement des bâtisseurs de génie, ils ont aussi réussi à rendre la traversée des lieux si tortueuse que je suis souvent forcé de stopper ma poursuite frénétique quelques secondes afin de savoir comment procéder. Astucieux les bougres, mais plus j'avance et plus leurs énigmes semblent limpides, jusqu'à ce que de nouvelles fourberies s'offrent à moi. Et par moment il faut ajouter à tout cela le caprice que le temps a fait subir aux passages qui s'effondrent sous mes pieds, à moins que ce ne soit la faune locale qui m'agresse et me perturbe, ne souhaitant apparemment pas me voir pénétrer leurs quartiers si bien gardés jusqu'ici. Je m'arrête, par moment, afin d'admirer la beauté de ce palais que je traverse au pas de course, je m'émerveille dedans le talent des architectes. L'éclairage envoûtant de certaines salles, accompagné en permanence d'un voile de sable et de poussière, force mon admiration. Mais le temps joue contre moi, je prends à peine le temps de secouer mes habits, qui deviennent limbes au fur et à mesure de ma progression, et je repars affronter de nouveaux pièges.



Bâti à chaux et à sable


Bien que quelques fois pris à défaut par de trop nombreux ennemis, dans la plupart des cas mon agilité me permet de terrasser mes adversaires avec aisance. Je peux donner un coup à droite puis à gauche en un éclair, puis sauter par dessus un ennemi comme je le fais avec des corniches afin de me retrouver dans son dos. Par moment il me semble entendre de la musique, parfois très mystérieuse, d'autres fois plus percutante et motivante lors de mes combats. Après quelques coups de sabre bien placés, je n'ai plus qu'à pourfendre les créatures à terre afin de leur retirer le sable et ainsi m'en débarrasser définitivement. Sans ce coup final, les assaillants se relèvent sans cesse. Bien entendu, comme je retrouve régulièrement la princesse Farah tout au long de mon périple, je dois m'occuper d'elle, veiller à ce que les créatures des sables ne la blessent pas. Souvent plus gênante qu'autre chose, la petite princesse, mais si belle. Entre nous, son tir agile et précis à l'arc m'est souvent d'une aide précieuse, sans cela j'aurais parfois du mal, mais surtout ne lui dites rien !



Lorsque certains pièges mortels me font face, j'arrive à me concentrer afin de saisir chaque mouvement, comme si tout évoluait au ralenti. Cette concentration m'est également très utile lors des combats, et lorsque aidé par les pouvoirs de la dague du temps, je peux terrasser en un éclair la totalité de mes adversaires. En effet, cette dague mystérieuse qui m'aide à prendre le sable de ces créatures me donnent d'immense pouvoirs qui me permettent de revenir sur mes erreurs. Quelques secondes suffisent afin de palier à un réflexe qui m'aurait fait défaut, ou un ennemi trop féroce que j'aurais surestimé. Mon corps et mon esprit mis à mal par ces épreuves, je trouve heureusement parfois le temps de me désaltérer à une fontaine, afin de reprendre des forces. Quelques fois également je tombe dans d’étranges salles, hors du temps, qui lorsque j'en sors, me donnent encore plus de force pour affronter de nouvelles péripéties.

Mais malgré la dureté soudaine de mes affrontements avec les créatures des sables, malgré tous les parcours mettant à mal mes réflexes et mon endurance, malgré les pièges tortueux que j'ai réussi a surmonter, les énigmes résolues avec brio, je regrette finalement que tout cela soit si vite fini. J'aurais aimer continuer à arpenter les couloirs, les halls et les salles à la beauté exquise du palais de Azad."

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