Contrairement à 2011 et sa cascade de fermetures de développeurs français (Darkworks, Mindscape, Birdies Road) ou de médias (Yellow Media), 2012 avait à peu près épargné le jeu vidéo français. Jusqu'au 27 septembre dernier, et l'annonce de la mise en liquidation judiciaire du studio nordiste Hydravision (dont on se souviendra pour les Obscure).

Si on avait l'humeur blagueuse, on dirait que ses membres néo-chômeurs vont enfin pouvoir se fondre dans la population locale, mais on préfèrera être tristes et leur souhaiter bon courage et bonne continuation.

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Ca expliquerait les départs successifs de leurs employés pour Ankama ces derniers temps.