Joule : « T’as pris quoi comme notes sur Syberia III ? »  Moi : « Attends je relis… Ah : AHHHH FRANCOISE CADOL CONFIRMEE AHHH PUTAIN C’EST GENIAL PUTAIN AAAAAAAAAAHHHHHHH ». J’aimerais bien arrêter ma preview dès cette phrase, mais il y a un peu plus à dire sur la suite des aventures de Kate Walker, dont on nous a montré un peu de gameplay sur le stand de Microids.

Lire la suite sur le site : [E3 2016] Premiers youkis dans Syberia III.

La raison pour laquelle Syberia 1 fonctionnait bien, c'était qu'il y avait de gros mystères et la sensation de partir vers des terres inconnues, par l'intermédiaire d'un espèce de chemin "secret". Un peu comme dans les Jules Verne et de nombreux contes. Sokal est pas mauvais dedans, c'est un peu son trip permanent, mais il y avait la même chose dans l'Amerzone, mais ça fonctionnait moins bien. C'est du pile ou face.

En tout cas c'est génial de voir un retour de la licence, et c'est encore plus surprenant de la voir à l'E3.

Nique toi bien le robot qui refuse de me laisser monter dans ce putain de train. Nique toi vraiment bien.

Ce qui est cool, c'est que Kate Walker a le visage next-gen qui colle parfaitement aux premiers jeux.

MrPapillon a écrit :
La raison pour laquelle Syberia 1 fonctionnait bien, c'était qu'il y avait de gros mystères et la sensation de partir vers des terres inconnues, par l'intermédiaire d'un espèce de chemin "secret". Un peu comme dans les Jules Verne et de nombreux contes. Sokal est pas mauvais dedans, c'est un peu son trip permanent, mais il y avait la même chose dans l'Amerzone, mais ça fonctionnait moins bien. C'est du pile ou face.

En tout cas c'est génial de voir un retour de la licence, et c'est encore plus surprenant de la voir à l'E3.

Ce qui marche super bien dans Syberia, c'est la narration qui représente vraiment bien l'abandon des choses du quotidien, représenté comme insipide, pour quelque chose de plus poétique. En tout cas quelque chose de plus prenant que "faire carrière" ou "se marier" pour Kate Walker. Et on voit les gens de son boulot et son fiancé la perdre petit à petit. J'ai beaucoup aimé cette narration qui dit "N'ayez pas peur de rêver !".