Alexaï a écrit :
J'aime bien l'esthétique globale, si seulement ce n'était pas un ado s'espérant drôle et décalé qui s'occupait du script, ce jeu pourrait être immense.

kirk.roundhouse a écrit :
La profondeur du gameplay ?
Ce que tu tentes de décrire, reste toujours un enchainement de boutons à tapoter en rythme. Ok, y a plusieurs enchainements pour donner un semblant de variété, mais le jeu du simon c'est pareil, c'est pas toujours les mêmes boutons qu'il faut taper.

kirk.roundhouse a écrit :
La profondeur du gameplay ?
Ce que tu tentes de décrire, reste toujours un enchainement de boutons à tapoter en rythme. Ok, y a plusieurs enchainements pour donner un semblant de variété, mais le jeu du simon c'est pareil, c'est pas toujours les mêmes boutons qu'il faut taper.

D'ailleurs le genre assume lui même son style très basique en introduisant récement l'aboutissement de la "profondeur du gameplay" : le QTE.

hohun a écrit :
Moi je rêve d'un streets of rage 2009 où on tabasserait des racailles, des emos et des vieux.

montana a écrit :


Bref ce type de jeu me gonfle vraiment, et le pire c'est l'attente qu'il suscite auprès des joueurs. Pire c'est, plus c'est attendu.

PatrickB a écrit :
Grand-guignolesque suppose un spectacle macabre et sanguinolent, j'ai pas du voir la même vidéo.

Cyberpunk a écrit :


On a tendance à l'oublier, mais il a raison ce garçon: "Le qualificatif de Grand Guignol (adjectif grand-guignolesque) s'applique aux divertissements basés sur un spectacle d'horreurs macabres et sanguinolentes. " source

Je me coucherai (un peu) moins con ce soir.