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ACTU

Pouf, pouf, voila les poupées shoutées

Akshell par Akshell, d'après Le Figaro  email
 
Périodiquement, à peu près à chaque pénurie de coke, les marketeux redécouvrent que 50 % de la population est composée de « femmes », et que dans certains secteurs tradionnellement orientés « hommes », cela pourrait représenter une assez grande opportunité commerciale.

Aujourd'hui c'est Ubi Soft qui tente de percer le jardin intime de la femme, pour la faire jouer. Non pas à des jeux spécifiques et souvent mal étudiés (à l'exception notable d'Alexandra Ledermann), mais aux mêmes jeux que les mecs, c'est à dire à des FPS et des jeux de foot.

La solution ? Démontrer que des « filles », jeunes, modernes, peuvent faire mieux que les « mecs ».
Comment ? En créant de toute pièce, à la manière des girls-bands des années 90, des clans de joueuses de jeux vidéo. Déjà implantée aux États-Unis et récemment en Grande-Bretagne, Ubi Soft lance une grande campagne de recrutement pour créer la déclinaison française des Frag Dolls.
Les conditions ? Être étudiante (jeune, disponible, avoir besoin d'argent), être une excellente joueuse sans être une hardcore-gameuse (pas de « kiss, bisoo, gté fragé l0l »), et avoir l'air d'une booth babe de l'E3 mais en un poil moins vulgaire. Le but étant de participer à un maximum d'événements publicitaires pour un salaire de misère (10 € de l'heure) en souriant tout le temps et en racontant sa vie dans son corporate blog.

Le temps où les femmes pouvaient gagner de l'argent simplement en faisant la potiche est bien révolue, mais vont-elles réellement y gagner au change ?
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