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ACTU

FactorAwards 2011 : Les vaporwares

Zaza le Nounours par Zaza le Nounours,  email  @ZazaLeNounours
 
La grande cérémonie des FactorAwards 2011, en partenariat avec Marc Dorcel et Ferrero Rocher, se poursuit inlassablement. Aujourd'hui, nous allons rendre hommage aux vaporwares, ces titres un peu mythiques dont on entend parler mais qu'on ne voit jamais.


Award du plus beau pet foireux qui pue mais qui soulage le bide quand même : Duke Nukem Forever



Comment ne pas rendre hommage en effet au vaporware de tous les vaporwares, celui qui n'aura eu de cesse d'alimenter les rêves les plus fous pendant plus d'une décennie, de nous faire rire avec ses déboires, de faire semblant de mourir lorsque 3D Realms a mis la clef sous la porte, et alors qu'on croyait le jeu définitivement perdu dans les limbes, de faire le come-back le plus inattendu de tous les temps ?

Certes, le développement de Duke Nukem Forever est à lui seul une véritable saga, mais au final, et malheureusement sans grande surprise, le jeu n'est rien de moins qu'une sacrée déception, accusant un retard à tout point de vue, à peine sauvé par son humour pipi-caca-bite-couille et déjà oublié de tous. C'est donc avec fierté qu'on lui décerne ce prix, avec l'assurance de ne plus jamais en entendre parler.



Award du vaporware de l'année : la vékat



Qui d'autre que la vékat de Factor mérite le titre de vaporware de l'année ? The Last Guardian ? Désolé, Fumito, mais tu n'avais même pas encore commencé à envisager ton jeu qu'on planchait déjà sur la quatrième version de notre site chéri.

On va être honnête, nous-mêmes on pensait que la vékat serait mise en ligne cette année. On avait prévu une soirée de folie pour le lancement, à faire pleurer de jalousie Activision et sa petite sauterie Modern Warfare 3. Résultat, on a dû décommander David Guetta, dire aux strip-teaseuses de se rhabiller et renvoyer les 25 kilos de cocaïne en Colombie sous pli discret. Pourtant, on y croyait. On avait même embauché de nouveaux codeurs, qui tels des Peter Molyneux nous avaient chuchoté à l'oreille de douces paroles faites de développement rapide et sans accroc et de mise en ligne au pire du pire pour les dix ans du site. Mais n'oubliez pas ceci, les enfants : il ne faut jamais faire confiance à un codeur. Jamais. Voyez où ça nous a menés. On accepte donc, un peu honteusement, ce prix du vaporware de l'année, en espérant sans trop y croire que son frère jumeau ne le rejoindra pas l'année prochaine.
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